C’est le premier accouchement d’une mère contaminée par le Covid-19 en Tunisie.

Selon le responsable de la santé préventive, à Ben Arous, l’état de santé de la mère et du nouveau-né est “stationnaire”. La mère a subi une césarienne; l’opération chirurgicale s’est déroulée dans de bonnes conditions.

La mère et son enfant reçoivent actuellement les soins médicaux nécessaires, a-t-il ajouté.

Le responsable a précisé que la femme s’était présentée à l’hôpital avec des signes cliniques typiques de l’infection par le coronavirus. Classée “cas suspect” par les équipes médicales, la femme a subi les examens nécessaires (aux rayons X) qui ont révélé sa contamination par le Covid-19.

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La Cour d’appel de Tunis a validé la condamnation du médecin obstétricien à l’origine du décès, en 2012, de la journaliste Arij Mahjoub, a indiqué, samedi, le porte-parole de la juridiction Ali Guiga.

Le Tribunal de première instance de Tunis avait condamné, en mai 2016, le médecin obstétricien à l’origine du décès de la journaliste Arij Mahjoub à deux ans de prison avec sursis. Le médecin a été également condamné à verser aux proches de la victime, une amende en guise de réparation des dommages causés.

D’après Me Imed Ben Khamsa, la condamnation du médecin obstétricien a été récemment confirmée en appel et le dédommagement décidé au profit de la victime a été ainsi révisé à la hausse.

Journaliste à Radio Tunis Chaîne Internationale (RTCI) et présentatrice de l’émission “trait-d’union” sur Al-Wataniya 1, Arij Mahjoub est décédée, le 17 octobre 2012, dans une clinique privée à Tunis suite à des complications lors de son accouchement. Son médecin a été accusé par ses proches d’erreur médicale.

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Une femme a donné naissance, samedi 5 septembre2015, à un bébé à bord d’un avion de Nouvelair en plein vol, a-t-on appris auprès d’un des passagers. L’opération d’accouchement a été menée par l’équipage de l’avion desservant Djerba-Paris, sous la direction d’un médecin présent à bord.

L’accouchement s’est déroulé dans de bonnes conditions et le premier cri du bébé a été salué par les applaudissements des passagers du vol. A leur arrivée à l’aéroport de Paris, la maman et son bébé ont été évacués vers une clinique.

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Pour cette association, l’islamophobie est totalement avérée car les premiers éléments délivrés par la victime mentionnent l’arrachage de son voile et la violence physique au niveau du ventre.

Voici le témoignage de la victime :

«Il était 15h25, je marchais le long du trottoir lorsqu’une personne à ma gauche, une dame d’une cinquantaine d’années a ralenti puis, a tiré mon foulard par derrière pour me l’arracher…Le geste a été si brusque que j’ai ressenti une douleur au dos. Je me suis alors retournée pour obtenir des explications, mais elle a recommencé face à moi cette fois-ci, et a tenté de retirer mon foulard une seconde fois en tirant fortement dessus. Par la suite, cette dame, qui m’était complètement inconnue, a poursuivi ses attaques devant de nombreux passants et automobilistes inactifs. J’ai senti de la haine dans son regard, elle m’a alors donnée un coup de pied au niveau du ventre alors que j’arrivais au terme de ma grossesse. C’est à ce moment-là que j’ai ressenti des contractions avec des douleurs au niveau du bas du ventre. Je l’ai alors poussée pour me défendre et la tenir à l’écart […] Elle répétait en boucle: « Les islamistes », « Les islamistes » et aussi « Bim Bim » en mimant le tir d’un pistolet, « Vous allez voir, bientôt ce sera comme la Syrie, Bim Bim »… »Des gens comme vous ne devraient pas exister », en évoquant « arabes », « maghrébins ».

Le mari de la victime a averti les services de police qui sont rapidement arrivés sur les lieux de l’agression.

« Ce qui est inquiétant, c’est que la police n’a pas pris les mesures adéquates pour empêcher l’agresseur, qui serait une quinquagénaire, de s’en aller. Il y a eu flagrant délit d’agression mais elle n’a pas plus été inquiétée. »

La victime a été hospitalisée à la suite de cette agression car elle était à quelques jours du terme, elle a été contrainte d’accoucher. Grâce à Dieu, le nouveau né et sa mère se portent bien.

H.B

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C’est lorsqu’une femme est enceinte sans qu’elle se rende compte, une méconnaissance de son état. En l’absence de signes physiques de grossesse (pas de prise de poids, pas de nausées ou de vomissements, pas de changement au niveau de la poitrine, les seins, des règles irrégulières…), la femme se trouve «coincée» en cette situation. Ce qui la rend plus fragile sur le plan psychologique et psychique.

Il existe deux types de déni, l’un partiel et l’autre absolu. Le premier consiste au fait que la future maman apprend l’existence du bébé avant l’accouchement, alors que le second est plus problématique car la femme a la possibilité de se rendre compte de ce qui lui arrive avant le dénouement final: au moment de l’accouchement!

Il arrive que certaines victimes du déni de grossesse refusent de mettre au monde leur bébé en refusant de pousser ou tout autre type d’intervention. Les plus chanceuses donneront naissance en bénéficiant d’une assistance médicale, les autres en voiture, dans leur salle de bain… seule, le cas de Nadia Watson.

Une autre patiente témoigne, dans une récente étude sur le déni de grossesse, qu’elle avait mal au ventre “… J’ai pris un bain…, je pensais que c’était mes règles. Et puis tout a claqué, il y avait du sang, du sang, et je suis restée dans le bain”…

L’étude a été réalisée, en France, sur 56 cas observés en maternité de déni de grossesse, par trois médecins qui estiment que cet événement (l’accouchement) constitue pour la femme un drame d’une gravité peu commune… Non seulement dans les heures qui suivent la naissance -elle réalise qu’elle était enceinte sans le savoir d’où l’angoisse…-, mais parfois aussi elle apprend la mort de son bébé!

En France entre 600 à 1.800 femmes sont concernées chaque année par le déni de grossesse, ce qui constitue un réel problème de santé publique.

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L’histoire est surprenante. A Weston-super-Mare, Nadia s’est réveillée au milieu de la nuit, souffrant de ce qu’elle croyait être des douleurs menstruelles. Sur le sol de sa salle de bain, elle s’effondre et commença le travail! Elle hurla de douleur pendant plus d’une heure, son petit ami Lewis Mc Sweeney dormait dans la pièce d’à côté et ne se réveilla pas malgré ses cris. Elle hurla si fort que ses voisins appelèrent les secours. Pendant une longue heure, allongée sur le sol, sans comprendre ce qui lui arrivait, Nadia subit un accouchement naturel sans aucune aide. Une fois le travail fini, les secours arrivent, ils étaient sur place quelques minutes après la naissance de sa petite fille. Elle la prit entre ses bras, le cordon pas encore coupé, et arriva à réveiller son copain qui se leva de son sommeil lorsque Nadia lui présente leur fille!

La jeune maman s’est confiée à Dailymail que son ami «peut dormir littéralement n’importe où, et qu’aucune alarme ne peut le réveiller. Je n’ai aucune idée comment il le fait… Je suis rentrée dans notre chambre après avoir donné naissance, je l’ai montré à Lewis et il s’est rendormi. Je l’ai réveillé de nouveau et là il a réalisé ce qui s’était passé… Il était complètement sous le choc».

D’après les médecins, Nadia a eu une grossesse non diagnostiquée : un déni de grossesse, un cas rare surtout que la jeune femme a gagné très peu de poids.

«Au moment où Lewis s’est réveillé, deux voitures de police sont arrivées avec trois ambulanciers, ils ont coupé le cordon et nous ont emmenées à l’hôpital. Quand «Poppy» est née, elle était complètement silencieuse ce qui m’a absolument terrifié. Je n’ai été soulagée que lorsqu’elle a remué la tête».

Pour sa part, le nouveau papa déclara: «je suis vraiment très gêné et un peu dégoûté d’avoir raté l’accouchement … une fois j’ai laissé une pizza au four pendant plus d’une heure et je ne me suis pas réveillé lorsque l’alarme d’incendie s’est déclenchée. J’ai été réveillé par mes voisins qui tentaient de rentrer chez moi pour éteindre le feu». Il expliqua aussi qu’il venait de terminer son travail de nuit, un boulot supplémentaire à celui de la journée… Mieux encore, il raconta qu’il avait dit à Nadia un jour avant la naissance de sa fille qu’il n’est pas prêt d’être un papa… pas avant 10 ans et «…voilà 12 heures plus tard j’ai eu un bébé!».

Le petit bébé se porte à merveille aujourd’hui ainsi que sa maman.

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Pour préparer la liste de naissance, il est important de bien vous organiser à l’avance, prévoyez plusieurs visites à la boutique bébé! La première visite dans un magasin de puériculture vous laissera perdue et hésitante.

Toutefois, il ne faut surtout pas paniquer devant la multitude d’articles disponibles (tétines à jets variables pour les biberons, table à langer repliable ou non, siège auto intégrant la poussette, ou est-ce l’inverse? On perd son nord…).

Une deuxième visite vous permettra de reprendre votre sang froid et de mieux cibler vos besoins.

A la troisième ou quatrième visite, vous poserez des questions à la vendeuse (le siège auto là, il possède bien un système rotatif, n’est-ce pas?) et à la cinquième, vous aurez établi une liste de naissance parfaitement adaptée aux besoins de votre futur trésor.

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L’Organisation mondiale de santé (OMS) affirme avoir découvert une nouvelle maladie sexuellement transmissible qui ne répond pas aux antibiotiques.

Les responsables de l’OMS l’identifient sous le nom de «gonorrhée». D’après eux, c’est l’une des infections les plus courantes sexuellement transmissibles. Elle se transmet par les relations sexuelles orales, vaginales et anales. Environ 106 millions de personnes dans le monde seraient infectées chaque année.

“Une fois que cet organisme développe une résistance complète à ce dernier antibiotique que nous avons, nous n’avons rien d’autre à offrir à ces patients», explique le Dr Manjula Lusti-Narasimhan, chercheur au département de la santé et de recherches génésiques de l’OMS.

L’organisation vient de publier un plan d’action global pour une plus grande campagne de sensibilisation, de prévention et de surveillance sur l’éventuel échec du traitement de la gonorrhée. Les mêmes types de messages de prévention s’appliquent pour la gonorrhée que pour le VIH/sida: des rapports sexuels protégés -l’utilisation correcte et systématique du préservatif- et de limiter le nombre de partenaires sexuels.

L’Australie, la France, le Japon, la Norvège, la Suède et le Royaume-Uni figurent parmi les pays ayant signalé des cas de gonorrhée qui ne répond pas aux céphalosporines, qui est la dernière option de traitement contre la gonorrhée. Ce sont des pays dotés de bons systèmes de soins de santé développés, ce qui signifie que les pays les moins aisés peuvent courir un plus grand risque.

Les conséquences d’une infection non traitée sont néfastes. Elle peut causer l’infertilité chez les hommes comme chez les femmes. Plus de 50% des bébés nés de mères atteintes de gonorrhée ont des infections oculaires sévères, pouvant conduire à la cécité (déficience visuelle totale). Les femmes enceintes peuvent avoir des avortements spontanés ou des grossesses extra-utérines. Si les bactéries pénètrent dans d’autres parties du corps, douleur, l’enflure et la raideur sont possibles.

L’OMS ne connaît pas encore l’ampleur de la propagation de la gonorrhée résistante aux médicaments. Les bactéries peuvent devenir résistantes aux antibiotiques en raison de la sur-utilisation ou de la mauvaise utilisation des antimicrobiens ainsi que des versions de mauvaise qualité de ces médicaments. Les souches de gonorrhée en particulier semblent avoir particulièrement bonne capacité à devenir résistantes.

Mariem Soualhi

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Une femme de 39 ans à bord d’un avion en destination de Bologne en Italie avait senti les premières contractions quelques minutes après le décollage. Selon un communiqué publié par la Royal Air Maroc; le commandant de bord a décidé, par mesure de précaution, de dérouter le vol vers Barcelone. Heureusement pour la maman, il y avait une sage-femme à bord, le travail a commencé et tout le personnel de la RAM a participé à l’opération d’accouchement qui s’est déroulée avec succès à quelques secondes avant l’atterrissage. Le bébé et la maman, qui étaient “en bonne santé”, ont été transférés rapidement à l’hôpital San Joan de Deu.

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Alors que les scientifiques s’efforcent de comprendre les causes de l’autisme, une nouvelle forme potentielle vient d’émerger. La situation est associée à la précipitation de l’accouchement, selon une nouvelle étude. Lors de l’épreuve, avec les contractions qui deviennent de plus en plus fortes, longues et plus fréquentes, la futur maman et l’équipe prénatale ont tendance a augmenté voire stimuler plus les contractions. Une procédure qui peut porter préjudice à la maman et à son enfant surtout si les mères ont déjà des problèmes de santé.

Toutefois, les chercheurs n’ont pas pu prouver que ces traitements provoquent l’autisme. Simon Gregory, chercheur à la Duke University Medical Center et principal auteur de l’étude, estime que les femmes (enceinte) ne doivent pas lire la nouvelle étude, publiée dans la revue JAMA pédiatrie, au risque qu’elles décident de ne pas accélérer le travail sur cette base. Il ajoute que “c’est une décision à prendre en collaboration avec leur équipe de soins et de santé».

Les troubles du spectre autistique sont des conditions du développement caractérisés par des facteurs sociaux, des difficultés de communication et de comportement. Environ 1 personne sur 88 enfants a un trouble du spectre de l’autisme diagnostiqué, selon la dernière estimation faite pas les Centers for Disease Control and Prevention aux Etats-Unis. Bien qu’il soit prouvé que la génétique joue un rôle, les facteurs environnementaux peuvent aussi entrer en jeu en altérant le développement normal.

Une récente étude de jumeaux a constaté que la susceptibilité à l’autisme peut augmenter dans des environnements prénatale et postnatale précoce. L’étude a porté sur plus de 625.000 dossiers de la naissance et d’éducation des enfants de la Caroline du Nord (USA). Les chercheurs ont obtenu des données sur les caractéristiques démographiques des deux parents: l’âge, l’historique médical de la mère, lors de la grossesse aussi.

Résultats : Les chercheurs ont constaté un lien étroit entre les traitements pour accélérer le travail (l’accouchement) et les hommes qui ont eu l’autisme sachant qu’il y a moins de femmes souffrantes que d’hommes.

Les nourrissons de sexe masculin nés avec des traitements accélérant l’accouchement sont plus susceptibles d’avoir l’autisme que ceux dont la mère n’en a pas eu recours avec un taux de 35%.

«Le risque est modeste mais significatif, étant donné que c’est un facteur de risque de nombreuses femmes enceintes qui peuvent être exposées pendant le travail», selon un communiqué d’Autism Speaks, un des principaux scientifiques de l’autisme.

L’écart entre les sexes observé dans l’étude est intéressant pour les scientifiques, l’autisme est plus fréquent chez les hommes en général, près de cinq fois plus de garçons que de filles ont des troubles du spectre autistique.

Les chercheurs ont également trouvé d’autres facteurs de risque de l’autisme. L’âge de la mère augmentait le risque de 30%, soit un risque accru pour le premier-né de 21%.

Une mère atteinte de diabète gestationnel hausse le risque de 24%.

Ils n’ont pas trouvé de risque accru pour les enfants nés par des césariennes par rapport aux accouchements par voie vaginale.

Mariem Soualhi

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