À quelle fréquence faut-il laver son linge de lit? Une semaine, un mois, deux mois… Les avis sont différents selon les foyers, les femmes, etc. Pendant notre sommeil, notre corps transpire et nous perdons des peaux mortes. Résultat: nos draps se transforment en véritable nid à bactéries, acariens et germes.

Quelques conseils :

Changer les draps et taies d’oreiller chaque semaine. Cette fréquence permettrait de détruire les substances néfastes et permettre de mieux respirer. Et pour le nettoyage, il est recommandé de laver le linge de lit à hautes températures et de le sécher à l’air libre car le soleil empêche la prolifération des bactéries.

Pour les couvertures ou couettes, les laisser quelques heures à l’air libre au soleil, pour éliminer les odeurs et les bactéries.

Si quelqu’un de votre entourage est allergique ou asthmatique, négligez surtout pas ses consignes pour éviter le dérangement. Donc, à vos machines et profitez des journées ensoleillées…

The post Pourquoi faut-il changer les draps quotidiennement? first appeared on Baya.tn.

Saviez-vous qu’en passant l’aspirateur vous mettez votre santé en péril? C’est ce que montre une récente étude, publiée dans la revue Applied and Environmental Microbilogy.

Selon cette étude, la poussière déposée peut contribuer à des réactions allergiques et des transmissions d’infections à l’intérieur de l’organisme.

Dans les échantillons prélevés, les chercheurs ont découvert un nombre inestimable de bactéries (penicillium, aspergillus, clostridium groupe 1, et des gènes résistants aux antibiotiques). Ils ont affirmé aussi que la plupart des bactéries sont d’origine humaine et que ces résultats mettent en évidence la capacité potentielle de l’aspirateur à diffuser des moisissures et des bactéries.

The post Passer l’aspirateur, c’est mauvais pour la santé ! first appeared on Baya.tn.

L’Organisation mondiale de santé (OMS) affirme avoir découvert une nouvelle maladie sexuellement transmissible qui ne répond pas aux antibiotiques.

Les responsables de l’OMS l’identifient sous le nom de «gonorrhée». D’après eux, c’est l’une des infections les plus courantes sexuellement transmissibles. Elle se transmet par les relations sexuelles orales, vaginales et anales. Environ 106 millions de personnes dans le monde seraient infectées chaque année.

“Une fois que cet organisme développe une résistance complète à ce dernier antibiotique que nous avons, nous n’avons rien d’autre à offrir à ces patients», explique le Dr Manjula Lusti-Narasimhan, chercheur au département de la santé et de recherches génésiques de l’OMS.

L’organisation vient de publier un plan d’action global pour une plus grande campagne de sensibilisation, de prévention et de surveillance sur l’éventuel échec du traitement de la gonorrhée. Les mêmes types de messages de prévention s’appliquent pour la gonorrhée que pour le VIH/sida: des rapports sexuels protégés -l’utilisation correcte et systématique du préservatif- et de limiter le nombre de partenaires sexuels.

L’Australie, la France, le Japon, la Norvège, la Suède et le Royaume-Uni figurent parmi les pays ayant signalé des cas de gonorrhée qui ne répond pas aux céphalosporines, qui est la dernière option de traitement contre la gonorrhée. Ce sont des pays dotés de bons systèmes de soins de santé développés, ce qui signifie que les pays les moins aisés peuvent courir un plus grand risque.

Les conséquences d’une infection non traitée sont néfastes. Elle peut causer l’infertilité chez les hommes comme chez les femmes. Plus de 50% des bébés nés de mères atteintes de gonorrhée ont des infections oculaires sévères, pouvant conduire à la cécité (déficience visuelle totale). Les femmes enceintes peuvent avoir des avortements spontanés ou des grossesses extra-utérines. Si les bactéries pénètrent dans d’autres parties du corps, douleur, l’enflure et la raideur sont possibles.

L’OMS ne connaît pas encore l’ampleur de la propagation de la gonorrhée résistante aux médicaments. Les bactéries peuvent devenir résistantes aux antibiotiques en raison de la sur-utilisation ou de la mauvaise utilisation des antimicrobiens ainsi que des versions de mauvaise qualité de ces médicaments. Les souches de gonorrhée en particulier semblent avoir particulièrement bonne capacité à devenir résistantes.

Mariem Soualhi

The post Santé : Le monde face à une bactérie sexuellement transmissible, pire que le Sida ! first appeared on Baya.tn.

Les résultats des analyses réalisées d’urgence par le ministère de la Santé sur des échantillons prélevés sur le réseau des eaux douces et de climatisation, dans l’une des unités du complexe hôtelier de Dar Djerba, ont démontré la conformité de cette eau aux normes en cours, ce qui prouve qu’elles ne provoquent aucun risque pour la santé humaine et qu’il n’y a “pas de traces de la bactérie légionellose dans une forme inquiétante, mais demeure dans les normes en cours”.

A ce propos, Dr Mohamed Rabhi, directeur de la préservation de la santé du milieu et de la protection de l’environnement au ministère de la Santé, a expliqué que, grâce aux résultats de ces analyses rapides, en attendant d’autres réalisées selon les méthodes traditionnelles qui seront prêtes le 21 septembre 2013, il n’y a aucune crainte ou retombées sur la santé des clients résidant à l’hôtel.

Il a indiqué que cette “bactérie n’est nocive que lorsqu’elle dépasse une certaine quantité par litre d’eau, ce qui est loin d’être le cas dans les échantillons analysés”. Le responsable a ajouté que l’hôtel demeure sous surveillance, avec un programme d’auto-contrôle réalisé par la direction de l’unité d’hébergement.

Les autorités tunisiennes se sont attachées à approfondir les examens sur cette question, surtout qu’aucune infection n’avait été constatée chez les résidents. Elles ont, dans ce sens, décidé de réaliser d’autres analyses et de laisser l’hôtel ouvert, sans transférer les touristes dans une autre unité hôtelière.

Ceci contredit les résultats des tests qualitatifs effectués sur le système de distribution d’eau par les équipes de Marmara qui “ont révélé la présence de bactéries qui peuvent provoquer des infections ophtalmiques et respiratoires”.

En outre, Marmara affirme “travailler en étroite collaboration et en toute transparence avec les autorités sanitaires tunisiennes et la fédération tunisienne de l’hôtellerie afin de prendre les dispositions nécessaires pour rétablir la situation”.

Difficile dans ces conditions de savoir où est la vérité.

The post Santé : les résultats de l’enquête des hôtels de Dar Djerba first appeared on Baya.tn.

Suite à la découverte d’une bactérie légionellose à l’île de Djerba, le ministère du Tourisme a réagi en indiquant «… qu’une équipe d’inspecteurs de l’hygiène relevant du ministère de la Santé publique a été dépêchée samedi dernier, dans un hôtel à Dar Jerba, géré par le tour-opérateur français Marmara. L’équipe devait procéder aux prélèvements et analyses nécessaires… et que les résultats de cette expertise seront connus dans les brefs délais”.

La légionellose est une maladie infectieuse. Elle est due à une bactérie d’origine hydro-tellurique (eaux, sols) qui se développe dans les réseaux d’eau douce naturels ou artificiels et dans un milieu organique favorable à leur développement (stations thermales, climatiseurs). Les installations d’eau en cause sont la douche, les robinets, les spas, fontaines, les nébuliseurs et surtout les tours aéroréfrigérantes.

La maladie se caractérise par une infection pulmonaire aiguë et sévère pouvant entraîner le décès dans 11% des cas. La fréquence des légionelloses est plus élevée au cours de l’été.

The post Découverte d’une bactérie dangereuse dans un hôtel à Dar Djerba first appeared on Baya.tn.