Le ministère de l’Éducation a publié sur sa page Facebook une circulaire rappelant l’interdiction de fumer au sein des établissements scolaires -dans la cour, les salles de classe, les ateliers, la salle des professeurs, les bureaux administratifs et les sanitaires; les buvettes dans les établissements scolaires n’ont pas le droit de vendre des cigarettes aux élèves sous peine de se faire retirer le droit d’exploitation.

Le directeur des établissements scolaires peut mettre à la disposition exclusive des fumeurs -parmi le cadre éducatif et les agents- un fumoir.

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Chaque fumeur est conscient que sa dépendance à la cigarette peut lui causer beaucoup de maladies voire le décès. Pourtant, il existe des exceptions : de grands fumeurs qui vivent plus longtemps tout en continuant à fumer. Ce qui a amené des scientifiques américains à chercher les causes d’une telle  altérité.

Selon ces chercheurs, les  fumeurs qui vivent plus longtemps peuvent avoir des gènes spécifiques favorisant une longue durée de vie en dépit de la toxine qu’ils incorporent. Et « ces gènes de longévité ont également été liés avec une incidence de 11% plus faible de cancer».

Les scientifiques disent que les gènes aident les cellules de l’organisme à maintenir et à s’auto-réparer en protégeant la personne du vieillissement, et des dommages environnementaux comme le tabagisme.

Il est à rappeler que le tabac tue jusqu’à la moitié de ses utilisateurs, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé.

« L’épidémie de tabagisme est une des plus grandes menaces pour la santé publique que le monde ait jamais connue», tuant environ 6 millions de personnes par an ».

Selon l’American Cancer Society, l’usage du tabac est responsable d’au moins 30% de tous les décès reliés au cancer, provoquant 87% des décès par le cancer du poumon chez les hommes et 70% chez les femmes. Sans négliger le fait qu’il accélère le processus de vieillissement.

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La plupart des gens savent que la fertilité d’une femme diminue avec l’âge, mais même au cours de ses années de jeunesse, les choix de mode de vie et les facteurs externes peuvent influer sur les chances d’une femme d’avoir un bébé en bonne santé.

“Les femmes qui veulent augmenter leurs chances de tomber enceinte ne connaissent pas, souvent,  les meilleures choses à faire ou ce qu’il faut surveiller pour “, c’est ce que Francisco Arredondo, endocrinologue et spécialiste de la fertilité de la reproduction à San Antonio, au Texas, estime.

Voici quelques-uns des facteurs qui affectent  la fertilité d’une femme.

L’Obésité

Le surpoids  affecte  la production d’hormones et  rend plus difficile pour une femme de tomber enceinte. Dans le même sens une étude publiée en 2009 dans Fertility and Sterility, a constaté que les femmes qui étaient obèses à 18 ans étaient plus susceptibles de développer le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et avoir des problèmes avec l’infertilité. Ce syndrome  est un trouble hormonal le plus commun chez les femmes en âge de procréer, et la principale cause de l’infertilité.

Être trop mince

Tout comme la graisse corporelle en excès, le manque peut avoir aussi un impact sur la fertilité. Cela  parce que les femmes qui ont un très faible IMC sont déficientes en leptine, l’hormone qui contrôle la faim et le sentiment de satiété. Ayant une faible leptine contribue à l’absence de menstruations, selon une étude de l’Université Harvard de 2009. “Le maintien d’un poids corporel sain et  s’un IMC normal  atteint grâce à une alimentation saine… est l’une des choses les plus importantes qu’une femme peut faire pour augmenter ses chances de tomber enceinte».

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L’être humain est l’être le plus imprévisible. Deux petites séquences filmées mises en ligne de personnes, de cultures et de pays différents, approuvent cette théorie.

A première vue, aucun point commun entre les deux, mais en les visionnant l’une après l’autre, vous allez vous rendre compte que les animaux ou l’instinct animal est meilleur que celui chez l’humain, même s’il s’agit d’une maman.

La première vidéo est celle d’une maman avec son petit enfant d’un an, en train de lui passer sa cigarette électronique, de l’initier à fumer et quant il ne parvient pas, elle la prend et rejette toute la fumé au visage de son petit.

La seconde vidéo, est celle d’un couple dont la femme est enceinte en compagnie de leur chien. Ce dernier, refuse que le compagnon s’approche ou mette les mains sur le ventre de la femme. Les tentatives se poursuivent, en contre partie le tempérament du chien se chauffe. La suite en vidéo.

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La surprise de la campagne c’est le site interactif “tobaccobody” produit de l’agence publicitaire finlandaise «358» grâce auquel on peut comparer le corps d’un fumeur avec celui d’un non-fumeur.

Résultat, boutons d’acné, dents jaunes, mauvaise haleine, teint et cheveux ternes, risques d’ulcère, souffle court et autres séquelles laissées par les cigarettes sur les corps des fumeurs.

Pour vous en rendre compte par vous-même, il vous suffit de choisir un des personnages (homme ou femme), et de survoler les différentes parties de son corps avec la souris pour constater les effets de la consommation de cigarettes.

Conclusion, fumer tue, fumer rend moche, après c’est à vous de décider..

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Des analyses menées par FDA (Food en drug administration américaine) et l’université Queen Mary de Londres ont démontré que les indications sur les flacons peuvent êtres mensongères, dans certains cas, des flacons, réputés contenir zéro nicotine, en contenaient.

Par ailleurs, la vaporisation de la nicotine ou le passage de liquide à l’état d’aérosol après avoir été chauffée par la batterie (dispositif de fonctionnement de la e cigarette) varie en fonction des modèles d e-cigarettes, dont le dispositif de chauffage peut-être plus ou moins efficace. Quoi qu’il en soit, près de 60% en moyenne de la nicotine (de 21 à 85%) présents dans une cartouche sont effectivement vaporisés, selon des travaux de l’université Queen Mary (Londres).

Ensuite, on ignore combien le vapoteur en ingère exactement, cela pouvant varier notamment selon la profondeur des aspirations. Dans les e-cigarettes, qui vaporisent efficacement de la nicotine, le montant inhalé à partir de 15 bouffées serait plus bas comparé à celui d’une cigarette normale, selon la seule étude un peu poussée sur le sujet. Pour savoir quelle dose de nicotine est délivrée au consommateur, il parait donc important de refaire des études et des mesures, surtout si la e-cigarette devient un médicament (lire notre dossier dans Sciences et Avenir 797). Rendez-vous dans trois à cinq ans… Sciences et Avenir refera les calculs avec vous.

L’e-cigarette est-elle vraiment efficace pour arrêter de fumer ?

En France, les experts sont plus prudents. «Le taux d’arrêt à un an chez les personnes ayant cessé de fumer brutalement et sans aide se situe habituellement entre 5 et 10%. Les résultats italiens rentrent donc dans cette moyenne», relativise le Pr Bertrand Dautzenberg, président de l’Office français de prévention du tabagisme.

Source : Science et avenir

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Premiers gestes :

-Prévenez vos amis et votre famille et demandez-leur d’éviter de fumer en votre présence.
-Evitez tout ce qui peut vous faire penser à fumer : cendriers, briquets, allumettes et bien entendu « les paquets de cigarettes ».
-Au travail, évitez de rejoindre les collègues fumeurs dehors, lors des pauses « cigarettes ».
-Evitez de fréquenter les cafétérias les premières semaines.
-Pensez à vous occuper les mains par une boule anti stress.

Pas de panique il y a la cigarette électronique ! C’est une cigarette sans tabac. Elle permet de fumer dans les lieux publics, mais aussi de maintenir la gestuelle de la cigarette en main. Ainsi elle vous libère de votre frustration de ne plus avoir la clope entre les doigts.

Fumer c’est fini avec l’homéopathie ! Quand le besoin survient vous pouvez utiliser ces remèdes vendus sous forme de granules en pharmacie homéopathique : Aconitum 15 CH et  Gelsemium 15 CH.

Ne plus fumer devient banal avec les plantes médicinales ! L’avoine possède une action intéressante sur l’assuétude, c’est à dire sur le ressenti de besoin. Il y a aussi le Millepertuis, connue pour ses vertus antidépressives, permet de limiter les fluctuations d’humeur consécutives à la période de sevrage.

A essayer les comprimés ou pastilles à sucer : Ils contiennent de la nicotine, à déposer sous la langue ou à sucer. Contrairement aux patchs qui vous délivrent la nicotine tout au long de la journée, les comprimés vous l’administrent au coup par coup, permettant de gérer l’apport de nicotine en fonction des besoins du moment.

L’inhalateur surtout pour les grands fumeurs ! Il se compose d’un embout avec une cartouche qui ressemble à un porte-cigarettes et délivre de la nicotine sous forme d’inhalations buccales. Le plus avec l’inhalateur c’est qu’il permet non seulement de soulager les symptômes de manque en rapport avec l’absence de nicotine, mais aussi d’agir sur la gestuelle en mimant l’acte de fumer.

La psychothérapie comportementale pour chasser ce mal ! Elle vous permet de prendre conscience de votre problème, d’apprécier le degré de motivation et de vérifier que le moment du sevrage est bon. Elle participe à la prise en charge de troubles souvent associés au tabagisme comme l’anxiété et la dépression.

Mâchez des gommes pour oublier les clopes ! Elles aident à calmer une envie brusque de fumer. Elles sont bien adaptées au cas des personnes qui fumaient de façon irrégulière et permettent aux ex-fumeurs de jouer un rôle actif dans le sevrage. Elles assurent aussi le maintien d’une certaine gestuelle.

Sentez les huiles essentielles ! Les huiles essentielles de menthe et de cèdre détiennent une propriété antitabac. Un autre mélange se compose d’huiles de géranium, de sassafras et de verveine est efficace. Elles agissent toutes sur l’apaisement et sur la dépendance tabagique, vous n’avez qu’à diffuser le mélange de votre choix dans l’air ! Il y a également le basic qui renforce la volonté et qui apaise la sensation de manque. Le mélange de l’huile de la sauge et de la marjolaine est également recommandé. Mais aussi, la mixtion à base de menthe poivrée, de lavande, de benjoin, de bois de gaïac, de sauge et de copaïba qui peut être ajoutée à une crème de beauté ordinaire à appliquer ensuite dans le cou et dans le dos.

Collez des patchs et timbres ! Ce sont des substituts nicotiniques qui se présentent sous la forme d’un patch à appliquer sur la peau. Ils vous aident à tenir le coup en vous délivrant de la nicotine de manière régulière tout au long de la journée.

Le sport pour une volonté de fort ! L’activité sportive constitue est un excellent élément de motivation à l’arrêt. L’exercice régulier, mais pas nécessairement intense, vous aidera surement.

L’astuce de grand-mère : Remplacez le geste de fumer par le fait de mâcher du Louben ou de sucer des bonbons.

Sonia Ben jaballah

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