Une enquête a été menée par par l’Institut National de la Statistique (INS) sur « la perception du citoyens de la sécurité, des libertés et de la gouvernance locale ». Les résultats présentés, vendredi lors d’une rencontre avec la presse, ont révélé  que 64ù des Tunisiens sont insatisfaits des collèges et des lycées en raison de la prolifération du phénomène des cours particuliers. Les taux les plus élevés d’insatisfaction ont été enregistrés dans le district du Grand Tunis avec 70% et dans le nord-Est du pays avec 78%.

Selon la même source, l’insatisfaction des Tunisiens est due, également, à l’absence de l’encadrement lors des heures creuses (45%), notamment, dans le district du grand Tunis (80%) et au faible niveau pédagogique des professeurs (44%).

Le directeur général de l’INS, hédi Saidi, qui a présenté les résultats de l’enquête a indiqué que 55% des Tunisiens sont insatisfaits des écoles primaires en raison des cours de rattrapage imposés aux élèves. Plusieurs autres motifs ont été évoqués telle que l’absence de l’eau potable (28,5%), notamment dans le district du centre Ouest où ce taux s’élève à 74%.

S’agissant des raisons de l’insatisfaction des Tunisiens des instituts supérieurs et des universités, l’enquête mentionne, notamment la manière d’octroi des bourses et des crédits (47%), le problème du logement universitaire (42% )et l’encadrement des étudiants (45%).

En ce qui concerne les motifs de non-scolarisation, les personnes interrogées qui ont des enfants de sexe masculin qui n’ont jamais accédé à l’école, en majorité issus d’un milieu non communal, ont justifié cette réticence par l’incapacité de la famille d’assumer les frais de scolarisation (40%), la longue distance qui sépare l’école de leur domicile (18,4%) et l’aide que l’enfant apporte à sa famille (15%).

Pour les filles qui n’ont jamais rejoint les bans de l’école, les motifs de leur non-scolarisation tiennent à l’incapacité de leur famille d’assumer les frais de leurs études (36%), à l’éloignement de l’école (27%) et à l’assistance apportée à la famille(21%).

Concernant les raisons de l’abandon scolaire des garçons, l’enquête évoque l’échec scolaire (52%), la désaffection totale à l’égard de l’école (39%) et l’incapacité de la famille d’assumer les frais de scolarisation (26%).

Pour les filles, les raisons de l’abandon scolaire tiennent à l’échec scolaire (48%), la désaffection totale à l’égard des études (30%) et l’incapacité de prendre en charge les frais de scolarisation (28%).

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Au cours de la semaine du 02 novembre 2015, dans une école primaire à Ghar-El-Melh (gouvernorat de Bizerte), une dizaine de cas de gale ont été enregistrés.

Dans une déclaration sur les ondes de la radio Jawhara FM, le directeur régional de la Santé de Bizerte a indiqué que les services de la médecine scolaire se sont dépêchés de prendre en charge les enfants atteints, afin de circoncire le phénomène et éviter sa propagation.

Il est à noter que la gale est une maladie très contagieuse et qui peut toucher des personnes de tous âges. Cette maladie se manifeste essentiellement par des démangeaisons qui peuvent persister pendant 2 à 4 semaines sous traitement médicale.

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C’est ce qu’a annoncé le ministre Noomane Fehri lors de son passage, mardi 15 septembre, sur Express Fm, promettant l’annonce d’autres nouveautés sur ce volet d’ici la semaine prochaine.

Dans ce même ordre d’idées, M. Fehri a souligné que sur les 6.000 écoles que compte le pays, 4.000 sont déjà connectées sans pour autant qu’elles aient l’entretien nécessaire surtout dans les régions intérieurs.

Rappelons que parmi les principaux objectifs du ministère des TIC d’ici 2020, figure celui de «une école 100% numérique».

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Ayant pris une décision au sujet de la Responsabilité Sociétale visant à promouvoir et à valoriser le savoir, Attijari bank s’intéresse, comme chaque année, aux élèves des écoles des régions défavorisées et participe à l’amélioration de leurs conditions d’enseignement. Dans la continuité des actions déjà réalisées à l’instar de la rénovation de l’école Bir Atig à Jbal Lahmar, l’école 9 Avril à Oued Mliz à Jendouba, l’école Sidi Ameur à Siliana,… Cette année, le choix s’est porté sur l’école primaire «Naggaz» de la délégation Laâla du gouvernorat de Kairouan.

A cet effet, la banque a pris en charge la maintenance, l’entretien et l’équipement de l’école dans le but de permettre aux écoliers de vivre une rentrée scolaire 2015-2016 dans les meilleures conditions. Les écoliers étaient fous de joie…  leurs yeux qui brillaient nous ont rempli de bonheur.

Ce n’est pas la première fois qu’Attijari bank se préoccupe de la rentrée des classes des enfants dans les régions défavorises. Chaque année, elle mène une enquête sur le terrain pour définir les priorités de chaque établissement. Son engagement dépasse l’achat des fournitures scolaires, ou l’aménagement des classes. La banque s’engage à aider les jeunes à aller le plus loin possible dans leurs études et participer ainsi au développement du pays.

Cette année une cantine scolaire et une salle informatique ont été mises en place afin de créer un espace éducatif adapté offrant la commodité nécessaire, sans oublier les cartables et fournitures scolaires qui ont été distribués aux écoliers de tous les niveaux dans une ambiance de fête et de joie.

Un geste qui a pour objectif: motiver les écoliers et leur permettre de démarrer au mieux l’année scolaire et par conséquence réduire le taux d’abandon scolaire.

L’intervention de la banque au niveau de ces établissements n’est pas ponctuelle et limitée à la rentrée mais elle continue tout au long de l’année à travers le suivi des élèves et la récompense des lauréats à la fin de l’année.

Il est à noter que la culture de Responsabilité Sociétale est partagée par tout le personnel de la banque qui participe à son tour à ses actions. Cette année et outre l’action de l’école Naggaz, la banque et son personnel ont participé à la campagne nationale de collecte de fonds pour la réhabilitation et la rénovation des écoles primaires baptisée « le mois de l’école ».

La banque confirme ainsi son positionnement, pas uniquement en tant qu’acteur économique, mais également en tant que banque citoyenne qui accorde une grande importance à la promotion du savoir, à la jeunesse et à l’excellence.

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Un groupe d’instituteurs ont entamé, vendredi à Tunis, un sit-in ouvert au siège d’une direction annexe relevant du ministère de l’éducation, a déclaré à la TAP, le secrétairegénéral du syndicat général de l’enseignement de base, relevant de l’union générale tunisienne du travail (UGTT), Mastouri Gammoudi.

Gammoudi a précisé que ce mouvement qui n’a pas été décidé par le syndicat vient refléter la grogne des instituteurs en raison de la non satisfaction de leurs revendications que le syndicaliste a qualifiées de « légitimes ».

Il a, à cet égard, indiqué que ce groupe de protestataires est déterminé à poursuivre ce sit-in si leurs doléances demeurent insatisfaites, ajoutant que le syndicat qui ne peut pas les obliger à renoncer à la décision qu’ils ont prise, intervient pour assurer leur protection.

Joint au téléphone par la TAP, le porte-parole officiel du ministère de l’éducation, Mokhtar Khalfaoui a affirmé qu’un groupe d’instituteurs a entamé, vendredi, un sit-in ouvert au siège de la direction des concours, faisant savoir que le département attend le résultat des négociations, actuellement, en cours au niveau de la présidence du gouvernement au sujet des revendications des enseignants du primaire.

A rappeler qu’un grand nombre d’instituteurs venus des différentes régions de la République ont observé, vendredi matin, un mouvement de protestation devant le siège du ministère.

Ils ont, ensuite, organisé une marche en direction du palais du gouvernement à La Kasbah. La commission administrative sectorielle avait décidé d’organiser, ce vendredi, une journée de colère pour protester contre la non activation des revendications contenues dans les conventions publiées dans le Journal Officiel de la République Tunisienne (JORT).

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Le ministre de l’Éducation, Naji Jalloul, a révélé qu’il est possible d’adopter un nouvel emploi de temps pour la rentrée des écoles au début de la prochaine année scolaire. Le ministre prévoit que la première moitié des journées de classes soit consacré aux études et le seconde consacrée à des activités culturelles, en plus des activités sportives prévues l’après-midi du vendredi. Un emploi de temps adopté aussi par les écoles privées.

Jalloul déclare aussi sur les ondes de « Mosaique fm » qu’un nouveau calendrier de vacances scolaires sera adopté dans 60 écoles privées en plus de quelques changements mineurs dans le système des examens, rappelant que ces changements seront introduits dans toutes les écoles au cours de l’année scolaire 2016 et 2017.

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Un accord de partenariat a été signé, lundi à Tunis, entre le ministère de l’enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et des Technologies de l’information et de la communication, le ministère de l’éducation, Tunisie Télécom et l’entreprise de télécommunications Ericsson pour que les deux écoles primaires (de la Rue de Russie à Tunis et l’école primaire Tarek Ibn Zied à Kairouan) adhèreront le programme mondial « Connect to learn » (C2L) visant à garantir aux élèves l’accès aux outils d’apprentissage modernes et aux ressources éducatives numériques.

Intervenant à cette occasion, Taoufik Jelassi, ministre de l’Enseignement supérieur, a annoncé que cette expérience pilote sera évaluée avant de la généraliser à toutes les écoles primaires, collèges et lycées secondaires. Il a ajouté que le programme comprend la fourniture de 60 ordinateurs portables, des tableaux interactifs, des Kits TIC destinés aux enseignants, un accès internet haut débit, du contenu éducatif en ligne et la formation du corps enseignant.

« Grâce à ce programme, les élèves et les enseignants auront accès à des outils et ressources pédagogiques du 21ème siècle et pourront se connecter à d’autres écoles dans le monde entier dans le cadre d’un espace collaboratif », a précisé le ministre.

Jelassi a signalé que la signature de cet accord s’inscrit dans le cadre du plan national stratégique Tunisie digitale 2018 dont l’e- éducation figure parmi ses composantes.

Il a, en outre, exprimé son souhait de voir la Tunisie adhérer au projet « cartable électronique » qui consiste à fournir une tablette pour chaque élève avec un contenu pédagogique de qualité outre la possibilité d’accéder à un espace collaboratif.

De son côté, Fathi Jarray, ministre de l’Education, a souligné que le choix s’est porté sur l’école primaire de la Rue de Russie à Tunis et l’école primaire Tarek Ibn Zied à Kairouan en raison de leur disposition à adhérer à ce programme au niveau des espaces, du personnel et de la représentativité (une école en milieu urbain et une école dans une région intérieure).

Il a fait remarquer que cette expérience sera évaluée à la fin de l’année scolaire avant de la généraliser à d’autres écoles primaires, notamment, les 1200 écoles prioritaires des zones rurales.

Jarray a ajouté qu’un autre projet de « tablettes éducatives » sera lancé, prochainement, en partenariat avec Tunisie Télécom et vise à fournir des tablettes, notamment, aux élèves des écoles situées en milieu rural.

« Ces tablettes seront connectées à Internet et comporteront des applications sur les programmes scolaires et parascolaires dont le contenu pédagogique sera élaboré par le ministère de l’éducation », a-t-il précisé. Lancée en 2010, « Connect to learn » est une initiative mondiale de l’éducation visant à généraliser l’accès à une éducation complète et de qualité en particulier aux filles.

Il s’agit d’un partenariat public-privé entre Ericsson, l’Institut de la Terre à l’université Columbia, Millennium Promise et d’autres partenaires. Ce programme est actuellement déployé dans une quinzaine de pays à travers le monde.

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