William Hart a courbé les énormes mots «Hi Mum J- God Bless U» (Salut maman, que Dieu vous bénisse) dans la neige sur le toit d’un garage voisin à l’hôpital, lundi dernier.

Aidé par de son père et de son oncle, les trois hommes ont fait plaisir aux autres résidents en plus de Sharon Hart qui souffre d’une leucémie aiguë.

Selon le Chicago Tribune, les patients et leurs familles étaient émus par le message de William adressé en premier à sa maman mais aussi à eux «God Bless –U».

La photo a été postée sur Facebook par les infirmières de l’hôpital.

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Kathy Beitz est une maman canadienne de 29 ans, aveugle depuis qu’elle est jeune à cause d’une maladie héréditaire qui affecte la région centrale de la rétine, la Macula.  Elle a perdu la majeure partie de sa vue au fil des années. Grâce au développement technologique et à la recherche, Kathy a pu voir son fils pour la première fois à l’aide d’une caméra incorporée dans une paire de lunette, eSight, qui projette des images sur un écran HD.

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Les gens se plaignent toujours d’être seul et ils sont régulièrement à la recherche de l’âme soeur. Nul ne peut donner la formule parfaite, il existe cependant une façon pour augmenter les chances de trouver une personne de spécial.

D’après les psychologues, «il ne s’agit pas de faire quelque chose de plus, au contraire, il s’agit de faire moins».

Alors, si vous voulez trouver l’amour de votre vie, vous devez arrêter de faire ces choses:

1. Cessez de vous concentrer « intensément » sur vos besoins :

Nous sommes des êtres humains, des créatures pleines de désirs. Nos besoins ne sont pas toujours logiques encore moins sages ou bénéfiques. Ils sont tout simplement agréables plus qu’autre chose, du moins, nous  le croyons. Nous voulons profiter de tout dans la vie et ce sont ces plaisirs qui nous incitent à continuer d’explorer et vivre. Le problème dans le fait de se concentrer sur soi-même, c’est que nous n’avons pas de limites en cela, ce qui peut très vite tourner  au vinaigre.

2. Apprenez à écouter:

Les gens écoutent rarement pour entendre. Nous écoutons tous avec l’intention de donner une réponse. Or l’autre personne n’est pas toujours à la recherche des conseils ou de réponses. Il veut qu’on l’écoute pas plus, lui donner un peu de temps et d’attention sans aller plus loin. Si vous voulez trouver quelqu’un pour passer avec lui le reste de votre vie,  apprenez à écouter sans plus.

3. Arrêtez de penser que vous êtes le plus important dans le monde:

Aimer quelqu’un, c’est se sentir unis, «une seule âme dans deux corps», faire partie de l’autre. Les propres envies et besoins ne passent plus en priorités : ceux du couple le sont. Rien n’est plus important que le bien-être de votre partenaire qui fera pareille pour vous.

4. Arrêtez d’être égoïste et irréfléchie :

Pour une raison quelconque, la plupart des gens semblent penser qu’ils n’ont pas besoin d’ajuster leur personnalité en entrant dans une relation. Et pourtant, il le faut ! Vous devez apprendre à être attentif et chercher à satisfaire au mieux les envies de votre partenaire.

5. Arrêtez d’être  « insatisfait(e) » ou difficile à satisfaire :

Dans la vie, vous n’obtenez pas toujours ce que vous voulez… Sachez que personne ne veut être en relation avec une personne qui ne fait que se plaindre et diffuser sa négativité. Votre partenaire veut des moments agréables qui se transforment en de beaux souvenirs. Il ou elle veut une attitude positive dans la vie et c’est impossible lorsque vous êtes si difficile à satisfaire.

6. Arrêtez de  chercher la perfection : elle n’existe pas !

Vous devez comprendre que si vous ne vous arrêtez pas de chercher tout le temps quelque chose de mieux, vous ne trouverez jamais ce que vous cherchez.

7. Arrêtez de penser que vous serez seul pour toujours

Dans la vie, nous avons souvent ce que nous méritons. En pensant que vous ne trouverez jamais quelqu’un ne fera qu’augmenter vos chances de ne jamais le trouver !

Cela peut paraître idiot, mais vous devez croire que vous allez trouver la personne tant attendue. Il faut garder à l’esprit aussi que dans la vie tout est possible. Gardez une attitude positive, gardez l’espoir et vous trouverez votre bonheur.

M.S

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Il s’agit, ni plus ni moins, d’Ariana Rosado, une cheerleading de Chiacago Bulls de Luvabulls, qui a été surprise par cette demande, et ce lors d’un match de son équipe jeudi dernier…

La suite en vidéo et en images !

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Sandrine Péneau, maître de conférences à l’Université Paris XIII, membre de l’Equipe de coordination de l’étude NutriNet-Santé, a étudié le fait de manger sous le coup de l’émotion et son lien avec le surpoids. L’étude a été réalisée sur un échantillon de 35.641 adultes, lancée en 2009 et coordonnée par l’Unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle. Elle offre l’opportunité d’identifier les facteurs de risque ou de protection des maladies chroniques liées à la nutrition.

Dès à présent, cette étude permet de mieux comprendre les facteurs qui déterminent les choix alimentaires et l’état nutritionnel des populations.

Les résultats de cette étude spécifique sur l’émotionalité alimentaire et le surpoids ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition et montrent que:

* Les femmes ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion: 20% d’hommes et 52% de femmes indiquaient une forte émotionalité alimentaire.

* Les personnes au régime ont davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion: 35% des personnes n’ayant jamais fait de régime amaigrissant avaient une forte émotionalité alimentaire, contre 58% des personnes ayant fait un régime dans le passé, et 71% des personnes au régime lors de l’étude.

* Les personnes ayant davantage tendance à manger sous le coup de l’émotion ont un risque plus élevé d’être en surpoids que les autres.

* L’association entre émotionalité alimentaire et surpoids est la plus forte chez les femmes n’ayant jamais fait de régime.

* Une association entre émotionalité alimentaire et surpoids était également observable chez les hommes avec peu de différence en fonction de la pratique ou non de régimes amaigrissants.

Cette étude fournit des informations nouvelles sur l’association entre les facteurs psychologiques et le surpoids. Elle montre que les femmes et les personnes au régime ont particulièrement tendance à manger sous le coup de l’émotion. De plus, les résultats ouvrent la voie à de futures études sur les relations entre les facteurs psychologiques, le surpoids et l’obésité.

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Nous pouvons obtenir bien plus que ce que nous avons déjà car nous avons en nous la capacité infinie de nous améliorer et d’améliorer notre vie.

S’améliorer, c’est devenir différent, c’est changer quelque chose en soi ou dans sa vie. Et la recette du changement nécessite des ingrédients très simples mais parfois difficiles à mettre en œuvre.

Le 1er ingrédient : savoir exactement ce que l’on veut. C’est une première étape fondamentale que nombre de personnes zappent car elles se concentrent davantage sur ce qu’elles ne veulent pas plutôt que sur ce qu’elles veulent.

Le 2ème ingrédient : s’engager dans le changement.
Ne vous contentez pas d’essayer pas de faire, faites-le ! Et acceptez de payer le prix en terme de temps, d’énergie ou d’argent.

Le 3ème ingrédient : comprendre et jouer avec les forces du changement.
Dans un processus de changement, il y a des forces qui nous poussent, qui nous tirent, qui nous retiennent … forces derrière lesquelles il y a nos émotions. Développer la conscience de soi, de ses émotions, de ses désirs, attentes, besoins, va vous permettre de mieux vous comprendre et de mieux utiliser les sources d’énergie inépuisable qui sont en vous.

Le 4ème ingrédient : développer une solide discipline personnelle.
La plupart des gens qui échouent dans l’accomplissement de leurs rêves n’échouent pas par un manque de compétence mais par un manque d’engagement et de discipline personnelle.

Voir la vidéo :

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Nous ne sommes pas toujours raisonnables. Et même dans les tâches où nous sommes sensés l’être, la science nous affirme que c’est l’émotionnel en nous qui décide, avant même que le cognitif ne se mette  en marche.

Avoir une hygiène émotionnelle revient à dire que l’on ne se laisse pas gouverner par nos émotions, que l’on identifie ses émotions ou ses états émotionnels, sa colère, sa tristesse, sa joie, son angoisse, etc. Enfin, mais surtout, hygiène émotionnelle, veut dire que l’on a la capacité de contrôler ses émotions, et idéalement, de les optimiser.

Si ce sont les émotions qui gouvernent, la personne peut avoir de graves problèmes, que ce soit dans la vie privée, ou dans la vie professionnelle. Une personne trop nerveuse, ne peut pas communiquer correctement et travailler en équipe. Une personne trop anxieuse ne peut pas assurer lors d’un examen, d’un oral, ou d’un entretien d’embauche.

Quelles conséquences en tirer ? Il nous faut prendre soin de nos émotions….

Certaines émotions sont négatives, destructrices, la colère, le stress, l’angoisse, la peur, la culpabilité, etc. Elles nous prennent notre énergie, elles nous handicapent et nous empêchent de vivre. Ce qui ne s’exprime pas, s’imprime. Cela veut dire que les émotions qui restent enfouies en nous-mêmes, vont nous marquer d’une façon ou d’une autre.

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L’angoisse, le stress, la colère, les remords, la peur, la culpabilité… autant d’émotions négatives qui produisent des énergies négatives. Toutes ces émotions, qui nous envahissent parfois, et qui peuvent nous paralyser, nous handicaper, nous empêcher de réfléchir ou de nous concentrer. Ces émotions qui peuvent nous empêcher de profiter, simplement, de la vie, de vivre des moments sereins. Que ce soit au travail ou dans notre vie de famille.

Bien souvent, on se demande que faire pour lutter contre cette situation. Comment chasser ces émotions ?

En fait, il faut justement ne surtout pas chercher à nier ses émotions ou à les chasser. Les progrès en neurosciences nous montrent que le cerveau perd plus à chasser ces émotions qu’à les vivre. C’est donc la pire des choses à faire !

Les émotions viennent du cerveau limbique ou reptilien. Contrairement à la pensée raisonnée et raisonnable, qui vient elle du « nouveau » cerveau, ou néocortex. Chasser ses émotions, les renier, revient à installer un conflit entre ces deux cerveaux. Ce qui peut causer bien des problèmes, que ce soit psychiques ou physiques carrément, sous-entendre des problèmes de santé.

Nos émotions, surtout celles négatives, il faut les accepter et accepter qu’elles sont là… bien là : voilà la meilleure stratégie.

Accepter qu’elles existent, qu’elles sont présentent et même fortes. Surtout ne pas les nier! S’entendre dire « Mais calme-toi ! pourquoi tu t’énerves ?! » quand on est en colère, c’est d’ailleurs encore plus énervant. Ou alors « Ne t’en fais pas, tu vas l’oublier ! Viens on sort ! Tu en connaîtras d’autres et tu vas l’oublier ! » alors qu’on souffre d’un chagrin d’amour, c’est extrêmement frustrant.

On n’oublie jamais rien, on apprend à vivre avec, on apprend à accepter, ce qui était au début … inacceptable. Renier la colère ne sert à rien, parce qu’elle va finir par sortir un jour. Mais pire, renier la colère, ou le chagrin, va permettre de les « somatiser ». C’est-à-dire qu’elles vont passer dans le corps, et le corps va nous faire savoir que nous avons été en colère, et que ça nous a fait du mal.

On ne compte plus le nombre de maladies où le stress, la colère, etc, sont facteurs de risque.

Alors attention… Accepter, accepter et accepter… Voilà la première étape et la plus importante.

Après, pour en sortir, des solutions existent. Parler avec un professionnel est le plus important. Alors prenez rendez-vous et consultez. Le bien-être physique dépend du bien-être mental, et vice-versa.

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