Il a expliqué, dans une déclaration à l’Agence Tunis Afrique Presse, que les statistiques publiées par l’association sur sa page officielle “Facebook” sont le résultat d’une étude menée par un bureau d’études tunisien au cours du premier trimestre de cette année sur l’utilisation de “Instagram” et “Facebook” par les différents groupes d’âge.

Il a souligné que la catégorie concernée par ces statistiques sont les enfants de la tranche d’âge de 13 à 17 ans, et leur nombre est actuellement de plus de 500 000 utilisateurs.

Il a, à cet effet, appelé à l’élaboration d’une stratégie nationale pour protéger les enfants du cybermonde et d’un texte juridique la réglementant, face aux menaces et aux risques qu’il peut représenter pour les enfants et les jeunes.

Il a, également, appelé à imposer un contrôle sur l’utilisation de l’espace virtuel par ce groupe et à l’encadrer. La stratégie nationale devrait, selon lui, impliquer tous les ministères concernés et la société civile.

Il a estimé que de nombreux dangers menacent l’enfance dans le cybermonde, notamment le discours de haine, en plus des dangers d’embrigadement pour le compte de réseaux terroristes et de la migration irrégulière.

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Certains enfants stressent devant des situations particulières tels que les devoirs ou encore les examens. Pour aider votre enfant à réduire son niveau de stress et être plus disposé aux études, l’Académie du lac vous conseille :

Marcher en famille :

Effectuer de petites promenades à pied en compagnie des parents. Pour profiter des bienfaits de la marche, il suffit de 15 à 20 minutes par jour. La promenade offre, à tous les membres de la famille, une occasion en or d’échanger. La marche procure un sentiment d’apaisement.

Pratiquer un sport :

La pratique d’un sport de façon régulière a d’énormes pouvoirs sur la réduction du stress et favorise l’estime de soi. En effet, en plus de générer beaucoup de plaisir, elle permet au corps de sécréter une bonne dose d’endorphine qui est un antistress naturel.

Prendre le temps de respirer :

À première vue, ce conseil peut sembler superflu puisque la respiration est un réflexe inné. Cependant, il n’est pas rare qu’au cours d’une journée, les enfants ne prennent pas le temps de respirer profondément. Pour aider votre enfant à bien s’oxygéner, une fois par jour, apprenez-lui à bien respirer.

Visualiser les évènements :

Pour les enfants, les sources de stress sont nombreuses : les exposés oraux, les examens de fin d’étape, etc… Pour aider votre enfant, invitez-le à imaginer chaque étape d’une leçon ou d’un devoir et les solutions.

Pratiquer le yoga :

En plus d’aider les enfants à relaxer, la pratique du yoga intervient de manière positive sur l’attention. Une bonne raison de s’y mettre rapidement ! Pour initier votre enfant, vous pouvez acheter des ouvrages qui traitent du sujet ou regarder des vidéos en ligne.

Méditer :

La méditation est aussi bonne pour le corps que pour l’esprit. Elle aide les enfants à se recentrer et à réduire leur anxiété ainsi que leur stress.

Colorier :

Il existe toutes sortes de cahiers à colorier pour les enfants. Cette activité a un étonnant pouvoir calmant.

Rire de bon cœur :

Le rire a de nombreux bienfaits. Il est prouvé qu’un bon « fou rire » diminue l’anxiété. Le rire soulage et apaise comme un puissant relaxant.

Manger lentement :

Prendre le temps de bien manger, de mastiquer et ne pas se presser. Cette activité peut être une grande source de réconfort et d’apaisement et permet une bonne digestion.

Dormir suffisamment :

Pour être en forme, et pour bien réussir à l’école, votre enfant a besoin d’un sommeil réparateur. La quantité et la qualité du sommeil influencent l’émotivité et jouent un rôle majeur sur l’anxiété et le stress.

Lire :

La lecture est une excellente activité relaxante. Quelques minutes seulement par jour permettent à l’enfant de relaxer et de diminuer d’une manière significative son état de stress.

Utiliser le cahier de texte :

La peur est un remarquable facteur de stress pour les enfants. Que ce soit celle d’oublier un devoir ou d’échouer à un examen, l’effet est le même. Vous pouvez aider votre enfant à limiter ses oublis en l’aidant à bien utiliser son cahier de texte.

Écouter de la musique :

Peu importe le genre, écouter de la musique aide l’enfant à diminuer son stress.

Discuter avec des amis :

Les amis sont là pour jouer, mais aussi pour écouter. En tissant un lien social fort et en discutant avec des jeunes qui partagent avec lui sa réalité, votre enfant pourrait bien voir son niveau de stress diminuer considérablement.

Régler les conflits :

Les disputes entre jeunes se répercutent sur l’état de stress des enfants. Apprendre à son enfant à les éviter grâce à une maitrise de soi ou encore à ne pas les laisser traîner cette relation conflictuelle demeure la meilleure façon pour diminuer les tensions.

Chanter :

Il est scientifiquement prouvé que le chant rend heureux. En plus d’être une activité plaisante qui fait appel aux émotions, il est extrêmement bénéfique pour l’esprit puisque le chant :

• Brise l’isolement,
• Régule la respiration,
• Améliore l’estime de soi,
• Réduit le niveau de stress, etc…

Prioriser :

En aidant votre enfant à établir des priorités, vous l’aidez à faire ses choses à temps et donc à se décharger d’un stress inutile. Cette capacité à placer les tâches sur une échelle de priorités lui servira toute sa vie.

Faire une promenade en forêt ou à la montagne quand c’est possible :

Pour prendre contact avec la nature et profiter de la tranquillité qu’elle offre, une simple promenade à l’extérieur suffit. Vous pouvez y amener votre enfant le plus souvent possible et, lorsque le temps le permet, vous installer sous un arbre pour lire.

La lecture est un excellent anti-stress et une bonne manière de s’évader et de s’apaiser.

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Cette journée portes ouvertes cible les jeunes de la tranche d’âge 15-17 ans (nés entre le 30 août 2004 et le 29 août 2006) sous condition de l’accord parental.

Le ministère de la Santé a précisé que le vaccin administré pour les enfants âgés de 15 à 17 ans est le vaccin Pfizer avec 2 doses, il est administré dans plusieurs pays du monde pour les moins de 18 ans.

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Il a expliqué, dans une déclaration à l’agence TAP, que les enfants sont exposés au risque d’infection par le Coronavirus, contrairement à ce qui a été relayé auparavant, soulignant que le nourrisson (33 jours) décédé hier dimanche dans le gouvernorat de Mahdia par le Covid-19, souffrait de Bronchiolite et n’ a pas pu résister au virus qui lui a été transmis par ses parents testés positifs.

Douaji a souligné qu’entre 50 et 60 enfants infectés par ce virus ont été hospitalisés.

Il a démenti les informations selon lesquelles les enfants et les nourrissons n’étaient pas exposés au risque d’infection par le virus “Corona”, expliquant que 15% des enfants et des nourrissons infectés par Coronavirus présentaient des symptômes allant de sévères à modérés.

Douaji a appelé les parents à prendre les précautions nécessaires et à respecter les mesures préventives contre le coronavirus pour protéger leurs enfants contre les infections qui surviennent souvent dans l’environnement familial, en particulier pour les enfants de moins de deux ans.

Il est à noter que la direction régionale de la santé de Mahdia a enregistré, hier, dimanche, le décès du premier nourrisson atteint du coronavirus, depuis le début de la pandémie, et à l’âge de 33 jours, dans l’une des cliniques privées où il a été transféré deux semaines après son infection.

Le ministère de la Santé a annoncé, dimanche soir, que le 30 janvier 2021 et jusqu’à 23h00, 74 décès ont été enregistrés des suites du coronavirus, portant le nombre total de décès à 6754, depuis mars 2020.

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A cette occasion, Emna Barkaoui, pédiatre au centre a expliqué que la campagne vise à protéger la santé des enfants des complications résultant des risques d’infection par l’hépatite virale “A”.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Barkaoui a indiqué que le centre a informé les parents du démarrage de la campagne de vaccination contre l’hépatite A à travers une application élaborée par le ministère de la santé signalant qu’aujourd’hui le centre a enregistré la présence de plusieurs parents accompagnés de leurs enfants.

Dans ce contexte, elle a fait remarquer que le centre, placé sous la tutelle de l’hôpital d’enfants Béchir Hamza, assure annuellement la vaccination de plus de 20 mille enfants contre plusieurs maladies.

Le lancement de la campagne de vaccination contre l’hépatite virale “A” intervient un an après son intégration dans le calendrier national de vaccination par le ministère de la Santé en âge préscolaire sachant que ce vaccin était administré aux enfants au niveau primaire.

A noter que dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, la direction du centre a mis en place toutes les mesures préventives nécessaires (mesure de température, distanciation, port du masque) pour assurer la vaccination contre l’hépatite A en toute sécurité.

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L’enfant était arrivé du Congo en compagnie de sa mère et de sa sœur, explique à l’agence TAP le directeur régional de la santé au Kef, Tarak Rajhi.

Ses premiers prélèvements étaient négatifs, contrairement à ceux des deux membres de sa famille qui ont été transférés à Monastir au centre d’isolement sanitaire obligatoire.

Quelques jours après son arrivée au Kef, les premiers symptômes de la maladie sont apparus chez l’enfant. Les analyses effectuées se sont révélées positives ce qui a nécessité son transfert au centre Covid + à Monastir, près de sa mère et de sa sœur.

Des prélèvements pour analyse ont été effectués sur six autres membres de la famille élargie qui étaient en contact avec l’enfant à son retour en Tunisie.

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Selon le sous-directeur de la santé de base à Kébili Ali Tabbal, cette infection potentiellement mortelle est due à des bactéries qui se propagent habituellement par l’eau ou les aliments impropres et développe des symptômes comme la fièvre prolongée, la fatigue, les céphalées, les nausées, les douleurs abdominales, la constipation ou la diarrhée.

Le traitement de la fièvre typhoïde serait au moyen d’antibiotiques et pour diminuer le risque de transmettre l’infection à autrui, il nécessaire de se laver plusieurs fois les mains à l’eau et au savon et éviter de préparer ou servir de la nourriture à d’autres personnes, a-t-il ajouté à l’Agence TAP.

Une enquête épidémiologique avait été ouverte récemment par la direction d’hygiène à Kébili après avoir constaté des problèmes de diarrhée chez des enfants dans la localité de Tanbib.

18 enfants ont été admis à l’hôpital régional de Kébili et deux autres ont été transférés aux CHU de Monastir et Sfax où leurs sont effectués les analyses et soins nécessaires.

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Une erreur s’est glissée dans la version finale du texte. Elle sera rectifiée, modifiée et complétée par un décret-loi à paraître dans le Jort, précise la présidence du gouvernement dans un communiqué rendu public dimanche.

L’article 10 du décret-loi n°2020-208 du 2 mai 2020 fixant les dispositions du confinement sanitaire ciblé et publié samedi au Jort, avait cité parmi les personnes qui demeurent concernées par le confinement sanitaire généralisé, les femmes enceintes et les mères dont l’âge des enfants ne dépasse pas 15 ans.

Sont concernées par les dispositions de confinement sanitaire généralisé, selon le décret-loi, les personnes âgées, les femmes enceintes, les patients atteints de maladies chroniques et les enfants de moins de 15 ans et non pas leurs mères, précise la présidence du gouvernement.

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Selon ce décret, les personnes concernées par le confinement sanitaire total, lors de la période de confinement ciblé, sont aussi :

– Les personnes retraitées âgées de plus de 65 ans
– Les femmes enceintes.
– Les personnes diabètiques,
– Les maladies respiratoires chroniques dont l’asthme,
– Les maladies cardiovasculaires, l’insuffisance rénale et les maladies cancéreuses.

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Un colloque régional a été organisé, mercredi, au gouvernorat de Kasserine autour de “la protection des enfants des dangers des réseaux sociaux”.

Cette rencontre, tenue à l’initiative de l’Association “Yosr développement” en coopération avec le commissariat de la femme, de la famille et de l’enfance, vise à rationaliser l’utilisation des réseaux sociaux par l’enfant et la famille en vue de minimiser les risques et impacts sur ces catégories.

Parmi ces dangers figurent le suicide dû à la dépendance des enfants aux jeux-vidéos, l’abandon scolaire, l’addiction et la désintégration familiale.

Tijani Harhouri, chef de service de l’inspection et de la formation au sein du commissariat régional des affaires de la femme à Kasserine, a souligné l’importance d’intensifier les campagnes de sensibilisation sur les risques des réseaux sociaux et la création d’activités et programmes culturels incitatifs aux enfants.

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