La directrice de la médecine scolaire Ahlem Gzara a indiqué jeudi que le calendrier national de vaccination scolaire dans les établissements scolaires publics et privés a été parachevé au cours du mois de janvier et février 2020 avant la décision de confinement sanitaire général.

Elle a souligné dans une déclaration à l’agence TAP que la vaccination des élèves en milieu scolaire a été effectuée normalement comme les années précédentes, avant les vacances scolaires du deuxième trimestre.

” Les élèves de la première année du cycle primaire ont été vaccinés contre l’hépatite virale type A , a-t-elle déclaré, signalant qu’un rappel de vaccination a été effectué pour tous les élèves de la deuxième année primaires dont notamment le tétanos, la diphtérie et la coqueluche .

De son coté, la chargée de mission au ministère de la santé Rafla Dallagi a déclaré à l’agence TAP que le calendrier national de vaccination en Tunisie n’a subi aucun changement affirmant que la vaccination des nourrissons de la tranche entre 0 a 18 mois est menée selon les besoins et les cas.

Elle a affirmé que des changements peuvent s’opérer sur les rendez -vous des bénéficiaires de vaccins pour éviter l’encombrement , en prévention du nouveau coronavirus, ajoutant que cette opération sera organisée selon la nouvelle conjoncture liée à la pandémie.

” Les femmes enceintes seront vaccinées selon un planning établi par les services de vaccination et la vaccination du nourrisson sera reportée en cas d’oubli par la famille ou d’empêchement, à la premiere opération de vaccination après ce retard”, a-t-elle assuré.

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Le ministère de l’éducation a “strictement interdit” la séparation entre les filles et les garçons dans les salles de classe ou dans les salles de révision ainsi que dans les cours, terrains de sport ou complexes culturels.

Dans une circulaire adressée aux commissaires régionaux à l’éducation et aux directeurs des écoles, collèges et lycées publics et privés, le ministère souligne que toute violation de ces dispositions constitue une faute disciplinaire grave devant être sanctionnée, conformément à la réglementation en vigueur.

Cet avertissement intervient, selon le ministère, suite aux dépassements commis au niveau de l’application des dispositions de l’article 21 de la constitution et des articles 1 et 8 de la loi d’orientation numéro 80 de l’année 2002 en date du 23 juillet 2002 relative à l’éducation et à l’enseignement scolaire qui prévoit la non-discrimination basée sur le genre.

Le ministère a appelé les directeurs des écoles primaires, des collèges et des lycées ainsi que les directeurs des établissements d’enseignement privés à s’abstenir de prendre des mesures contraires aux dispositions de cette circulaire et à appliquer la loi à l’encontre des contrevenants. Les commissaires régionaux à l’éducation sont, également, tenus à veiller au respect de cette circulaire, ajoute la même source.

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Intervenant lors d’une conférence de presse tenue mercredi au siège de la centrale syndicale, Yaacoubi a estimé que l’année scolaire 2017/2018 est la plus médiocre dans l’histoire du pays. Un manque flagrant évalué à quelque 1700 enseignants a été constaté dans les établissements scolaires depuis le début de l’année, a expliqué Yaacoubi.

Après la réunion tenue avec le ministère de l’éducation, il a été convenu d’affecter provisoirement seulement 400 enseignants, mais ils ne sont toujours pas affectés, a-t-il regretté.

C’est un “crime de travail” perpétré par le gouvernement et le ministère de l’éducation en employant des suppléants avec des contrats provisoires en infraction à la loi, sans couverture sociale et avec des salaires ne dépassant pas les 200dinars par mois, a ajouté Yaacoubi.

La fédération générale de l’enseignement secondaire poursuivra son militantisme pour défendre les droits des instituteurs et des établissements scolaires, a souligné Yaacoubi.

Cette grève sera organisée pour protester notamment contre le délabrement de l’infrastructure des établissements scolaires, la prolifération de la violence et du taux de la délinquance en milieu scolaire, rappelant que 50pc des élèves consomment de la drogue, a souligné Yaacoubi.

Ce mouvement de protestation intervient également pour contester une mauvaise gestion dans le secteur ainsi que des dossiers de corruption outre la baisse du budget du ministère de l’éducation pour l’année 2018 qui aura des répercussions sur le processus de promotion, a encore ajouté Yaacoubi.

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Le ministère de l’Éducation a publié sur sa page Facebook une circulaire rappelant l’interdiction de fumer au sein des établissements scolaires -dans la cour, les salles de classe, les ateliers, la salle des professeurs, les bureaux administratifs et les sanitaires; les buvettes dans les établissements scolaires n’ont pas le droit de vendre des cigarettes aux élèves sous peine de se faire retirer le droit d’exploitation.

Le directeur des établissements scolaires peut mettre à la disposition exclusive des fumeurs -parmi le cadre éducatif et les agents- un fumoir.

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C’est ce qu’a annoncé le ministre Noomane Fehri lors de son passage, mardi 15 septembre, sur Express Fm, promettant l’annonce d’autres nouveautés sur ce volet d’ici la semaine prochaine.

Dans ce même ordre d’idées, M. Fehri a souligné que sur les 6.000 écoles que compte le pays, 4.000 sont déjà connectées sans pour autant qu’elles aient l’entretien nécessaire surtout dans les régions intérieurs.

Rappelons que parmi les principaux objectifs du ministère des TIC d’ici 2020, figure celui de «une école 100% numérique».

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Le ministre de l’Education, Néji Jalloul, a affirmé que la date de la nouvelle rentrée scolaire sera inchangée et donc maintenue au 15 septembre 2015, contrairement aux rumeurs qui ont circulé concernant son report au 15 octobre 2015.

Dans une déclaration aux médias en marge d’une conférence de presse organisée aux Berges du Lac à Tunis, le ministre a souligné que tous les efforts seront déployés pour garantir la paix sociale.

Il a ajouté que toutes les dispositions ont été prises pour garantir la réussite de la rentrée scolaire, indiquant, à cet égard, que tous les manuels scolaires sont disponibles et que de nouveaux recrutements ont été effectués.

Par ailleurs, M. Jalloul a qualifié de « réussie » l’initiative visant à entretenir et à restaurer les établissements éducatifs dans le cadre du “mois de l’école” qui, a-t-il dit, a atteint ses objectifs, affirmant que cette action se poursuivra pour que l’école retrouve son prestige d’antan.

Concernant les litiges entre le cadre éducatif, les structures professionnelles et le ministère de l’Education, Néji Jalloul a loué les efforts déployés par les cadres dirigeants de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ainsi que par la présidence du gouvernement, la présidence de la République et le ministère de l’Education pour assainir l’ambiance générale.

Tous les problèmes sont en passe d’être résolus, a-t-il dit, faisant part de sa conviction que la nouvelle année scolaire sera réussie.

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La Commission régionale de lutte contre les catastrophes naturelles (CRLCCN) à Jendouba a appelé les écoles primaires, les collèges secondaires et les écoles de bases dans la région à reprendre, lundi 2 mars 2014, les cours suspendus depuis 4 jours en raison des intempéries et des inondations, à l’exception des établissements scolaires de Bousalem et Balta – Bouaouen, qui devraient rester fermés jusqu’à nouvel ordre, selon les membres de la commission.

Selon le représentant de la direction régionale de l’éducation et membre de la CRLCCN, Adel Madiouni, la décision de maintenir fermés les établissements scolaires dans ces deux délégations a été prise compte tenu de l’état des routes et des quartiers populaires dans ces deux localités, les plus sinistrées après les dernières pluies torrentielles qui ont arrosé la région.

«Les eaux submergent encore les quartiers populaires dans ces localités, tels que les cités Al Khalij, Fattouma Bourguiba, Diamonta et Snit», a témoigné le responsable.

Selon le correspondant de la TAP dans la région, les habitants de ces délégations s’attachent, eux-mêmes, à la décision de ne pas envoyer leurs enfants aux établissements scolaires jusqu’à ce que les services de la protection civile achèvent les travaux de drainage et de curage des quartiers et des logements.

Ceux-ci attendent aussi les décisions qui émaneraient du Conseil ministériel spécifique au gouvernorat de Jendouba.

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Ça se passe en Tunisie, dans nos écoles publiques, plutôt devant nos établissements.  Collège Assad Ibn Fourat, #Kram  comme vous voyez sur l’image, sur la pancarte le tag inscrit (ici se vend le canabis en poudre)” هنا تباع الزطلة مرحية” 

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Selon les résultats d’une pré-enquête menée en février 2013 dans plusieurs établissements éducatifs de Tunis, 43,9 % des élèves ont essayé le tabac (56,6% des garçons et 32,7% des filles) alors que 17,1% ont fumé, durant l’année scolaire écoulée.

L’étude montre, aussi, que 12,8% des élèves ont consommé au moins une fois l’alcool et 4,9% déclarent en avoir touché tout au long de l’année.

A noter que 3% des élèves, des garçons pour la plupart, ont essayé le cannabis, alors que 1,6% affirment avoir consommé le cannabis au cours de l’année précédente.

Pour s’en approvisionner, les élèves s’adressent principalement aux cafés et salles de jeux situés à proximité de l’établissement scolaire. Et dans 50 % des cas, les drogues sont vendues aux alentours de l’école.

L’étude révèle, par contre, que les filles consomment ou expérimentent plus que les garçons les psychotropes. La consommation de la cocaïne et de l’ecstasy demeure peu répandue dans les établissements scolaires, ces produits étant difficilement accessibles et coûtent cher.

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