Aucune idée si c’est une bonne ou mauvaise nouvelle, mais ce qui est sûr c’est qu’elle est à débattre ! Il paraît mes dames, selon des recherches réalisées par des scientifiques de l’Université de Stirling en Ecosse, en collaboration avec l’Université Charles de la République Tchèque, que nous « trouvons l’odeur de sueur plus attirante chez les hommes après avoir mangé de l’ail ».

Du coup, certains appellent à ne plus utiliser de parfum ou de crème après rasage et de remplacer le tout par l’ail!

Les chercheurs ont suggéré que si les femmes peuvent préférer l’odorat produit dans la sueur des aisselles d’un homme  qui manger de l’ail, car elle suggère que la personne est en bonne santé. Une seconde raison est avancée, elle est plus logique que la première surtout qu’elle se base sur les bienfaits de l’ail, surtout qu’il a des antibiotiques, des propriétés antivirales et antifongiques.

Les scientifiques avancent que « l’action antibactérienne de l’ail  réduise la densité des microbes qui causent les mauvaises odeurs surtout  au niveau des aisselles… »

Des études ont suggéré aussi que l’ail l peut aider à réduire l’incidence des rhumes, et même l’hypertension artérielle et de certains cancers.

«Certes, l’odeur d’haleine joue un rôle crucial dans la plupart des rencontres sociales et celle de la sueur joue  un facteur important dans les relations intimes… Nos résultats indiquent que la consommation de l’ail peut avoir des effets positifs sur la perception de l’odeur de corps (le plaisir qui en découle), peut-être en raison de ses effets sur la santé, par exemple des propriétés anti-oxydantes ou son activité antimicrobienne ».
Pour l’étude, 42 hommes ont été invités, en rotation, à manger de l’ail cru et de porter des protections au niveau des aisselles pendant 12 heures pour recueillir l’odeur de leur corps.

Ensuite, les chercheurs ont demandé aux 82 femmes de renifler les échantillons d’odeurs et de les juger sur leur : agrément, attractivité, masculinité et intensité.

L’odeur de corps des hommes a été perçue comme «beaucoup plus attrayante et moins intense» quand ils avaient mangé de l’ail.

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Les femmes ont beau se regarder dans la glace, se maquiller, mettre des talons, coordonner leurs tenues, faire du sport… elles ne se sentent pas belles et ne se voient pas belles!

Pour sa dernière campagne de sensibilisation à travers le monde, Dove a décidé de mettre la lumière, encore une fois, sur le manque de confiance en soi des femmes et la façon dont elles se perçoivent.

Pour sa nouvelle «expérience», la marque a mit deux étiquettes sur deux entrées d’un même bâtiment, l’une  mentionnée dessus «Belle» et la seconde «Moyenne». L’étiquetage a été réalisé dans cinq  grandes  villes au monde : San Francisco, Sao Paulo, Shanghai, Londres et Delhi. Filmées par une caméra, la réaction des femmes était révélatrice: la majorité d’entre elles ont choisi d’entrer par la porte où est mentionnée «moyenne».

Plus loin encore, Dove avait relevé que la minorité, des passantes par la porte « Belle », étaient accompagnées par  une amie ou un être cher qui a joué un rôle moteur dans son choix.

La marque continue à tourner des messages forts rappelant aux femmes qu’elles sont belles et à être plus indulgentes et  gentilles  avec elles mêmes.

Des avis et des réactions inspirants, en vidéo:

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Alana a été conçu avec le matériel génétique de trois parents: Sharon et Paul Saarinen, qui a fourni l’ovule et du spermatozoïde, et une seconde femme qui a contribué aux gènes de Alana, les mitochondries, les organites centrales électriques qui alimentent chaque cellule.

La technique expérimentale a rendu cela possible -un transfert cytoplasmique, dans le cas d’Alana en 2001. Maintenant, en dépit des incertitudes quant à sa sécurité, les scientifiques aux États-Unis et au Royaume-Uni exhortent la légalisation pour une version plus ciblée. “Nous mélangeons l’ADN de deux femmes dans un seul bébé”, a déclaré Sheldon Krimsky, un bio-éthicien à l’Université Tufts. “Je ne vois pas comment cela peut être éthique”.

Les mitochondries sont des organelles minutes à l’intérieur des cellules vivantes, flottant à l’écart du noyau dans le cytoplasme. Ils créent de l’énergie pour les activités de la cellule. Alors que la plupart de l’ADN de la cellule se trouvent dans le noyau, chaque mitochondrie contient son propre petit ensemble de 37 gènes, hérité uniquement de la mère.

Les gènes qui régissent la production de mitochondries, à la fois dans le noyau et dans l’organite lui-même, peuvent être défectueux, et les défauts peuvent être transmis de la mère à ses enfants. Les maladies mitochondriales sont rares, mais elles peuvent être dévastatrices et sont incurables. La recherche suggère qu’entre 9 et 12 sur 100.000 personnes ont une maladie mitochondriale.

Les scientifiques ont testé des techniques de fertilisation qui permettraient à une femme avec des défauts mitochondriaux d’avoir des enfants sans leur passer les anomalies. L’une des techniques : le génome nucléaire de la mère est inséré dans un ovule d’une donneuse, qui est ensuite fécondé par un spermatozoïde du père. Dans un autre, le génome est transféré à l’œuf de donneuse après la fécondation.

Dans les deux cas, l’ADN nucléaire est originaire de la mère et du père, mais les mitochondries et leur ADN proviennent d’une deuxième femme. Les chercheurs qui veulent des techniques approuvées disent qu’il n’y a aucune preuve de préjudice et un avantage évident pour un petit nombre de femmes qui pourraient autrement avoir des enfants biologiquement sains… Mais la question d’éthique est à débattre entre pour et contre !

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Antoine Garrot est un jeune infirmier Rennais de 26 ans qui a décidé de mener une expérience sociologique intéressante.

Dégoûté par l’hypocrisie, omniprésente selon lui sur Facebook, Antoine s’est lancé le défi de répondre en toute honnêteté et spontanéité à chacune des publications qui apparaîtraient sur son “mur” pendant 24 heures. Largement relayés par la presse locale, présente sur place lors de l’exploit, les résultats sont pour le moins édifiants.

Regardez ce que ça donne en image :

PS : Si vous voulez tenter l’expérience à votre tour vous devez accepter le deal de sacrifier la moitié de vos amis voire plus.

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Dans un récent sondage, un tiers des femmes interrogées ont avoué avoir dormi sans se démaquiller au moins deux fois par semaine. Pourtant, toutes les femmes –ou presque- savent que le maquillage peut être nocif à leur peau. C’est du moins ce que les industriels de la beauté ne cessent de répéter.

Mais en êtes-vous sûre? N’est-il pas juste un faux prétexte pour augmenter les ventes de leurs produits cométiques relatifs au soin de la peau? Pour en avoir le cœur net, une journaliste de Dailymail a vérifié la théorie: se démaquiller est-il une nécessité pour la préservation de la peau de notre visage?

« … J’ai relevé le défi de quitter mon démaquillant non seulement pour une nuit, mais pendant un mois entier. Je laverai mon visage rapidement sous la douche chaque matin, mais je n’utiliserai aucune de mes crèmes nettoyantes habituelles, et je me maquillerai chaque jour sur les vestiges de l’ancien…»

L’expérience a commencé. Elle raconte : «… après, un jour chaud et collant qui comprenait les déplacements en métro à travers Londres, j’étais désespérée de ne pas pouvoir me laver le visage et de l’hydrater.

Pour ne pas céder à la tentation, j’ai caché mon fidèle pot de crème nettoyant et crémeux dans une armoire à clé et je suis allée au lit maquillée.

Le lendemain matin, ma taie d’oreiller semblait avoir souffert plus que ma peau. Autre que d’avoir les yeux qui piquent et quelques bouquets tenaces de mascara accrochées à mes cils j’ai comparu relativement indemne.

A la troisième nuit d’expérience, le reflet de mon image dans le miroir été différent. J’avais développé une série de petits kystes blancs autour de mes cils et ma peau était si sèche et tendue… Une inspection minutieuse de ma peau dans un miroir grossissant révélait que la surface de ma peau est devenue squameuse et grumeleuse, un peu comme un mur mal plâtré».

Les effets nocifs du maquillage commençaient à se sentir de plus en plus pour la journaliste; après une dizaine de jours, elle s’est trouvée avec un œil gonflé et qu’elle pouvait à peine ouvrir.

Au fil des semaines avançant, ses lèvres sont devenues sèches et sa peau craquelée douloureusement dans les coins de la bouche, de la peau sèche sur ses lèvres, les joues, et les paupières sont devenues rouges et agrandies. Elle a développé une aversion intense à cause de l’application du mascara.

Pour une évaluation objective, elle est allée revoir le spécialiste pour analyser les effets de cette expérience «mensuelle».

Verdict :

L’analyse a montré que :

–     Les pores étaient plus grands et dilatés de 5%

–     Rougeurs

–     Peau plus sensible

–     Peau plus sèche et moins élastique

–     Rides plus profonds

–     Baisse de 5% du taux d’humidité dans la peau

Les experts ont estimé que sa peau était biologiquement plus âgée de 10 ans en comparaison avec l’état premier, c’est-à-dire avant l’expérience.

Mariem Soualhi

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