Après plus de 38 ans de remise en question et de recherche, Amanda Scarpinati est parvenue à revoir son ange gardien : l’infirmière qui s’est occupée d’elle quant elle avait 3 mois.

Etant nourrissant, Amanda fut admise aux urgences du Central Médical d’Albany à New York, brûlée au troisième degré.

Des photos attendrissantes entre l’infirmière et le petit être totalement couvert de pansement ont été publiées dans la presse à l’époque. Selon la jeune femme, «lorsque j’étais petite, défigurée par les brûlures, j’ai été brutalisée et harcelée, on m’a tourmentée…Je regardais ces photos, et je lui parlais, même si j’ignorais qui elle était. Voir cette femme prendre soin de moi, et paraître si sincère, cela me réconfortait».

Grâce aux réseaux sociaux, Amanda Scarpinati a pu retrouver les traces de son ange gardien et une rencontre médiatisée a été organisée.

À l’époque, Berger Leary, l’infirmière, avait 21 ans, et sortait tout juste de l’université. Elle est désormais vice-présidente exécutive de l’Université Cazenovia de New York. Elle se souvient de Scarpinati, et avait d’ailleurs une copie de ces photos en sa possession.

Retrouvailles émouvantes avec son infirmière 38… par BridozEmotion

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L’association tunisienne de la femme amazighe vient d’être lancée officiellement a annoncé, sa présidente, Nour El Baz lors d’une conférence de presse tenue au club culturel Tahar Haddad à la médina de Tunis.

A vocation culturelle, l’association a pour mission de préserver le patrimoine amazighe menacé de disparition et le savoir-faire ancestral des femmes selon ses dires. Il s’agit d’encadrer les femmes artisanes amazighes à travers l’organisation d’ateliers notamment dans les domaines artisanal et culinaire amazighe.

Par ailleurs, l’association veillera à créer des projets dans les domaines de l’artisanat en vue de promouvoir la condition féminine amazighe.

Pour le président fondateur, Ahmed Trabelsi, la langue et la culture amazighes en général en Afrique du Nord ont pour longtemps été victimes d’une vision unilatérale de l’identité nationale et de politiques coloniales qui ne reconnaissaient pas les spécificités et l’histoire en tant que prolongement de civilisations. Il a, dans ce sens, tenu à préciser que la culture amazighe n’est en aucun cas ni une menace ni un facteur de discorde.

La communauté amazighe en Tunisie (500.000) vit essentiellement dans le sud tunisien, aux frontières algériennes et libyennes.

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La façon dont adorable Emmett , un petit bébé de 10 mois réagit quand ses parents finissent de lire l’histoire : comme si c’était une tragédie. La suite en vidéo.

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Histoire, témoignages, photos et souvenirs sont contenus dans le nouvel ouvrage «Tunisiennes et Révolution: Le combat des femmes», édité en septembre 2015 chez «Simpact», par le journaliste tunisien Moncef Ben M’rad, qui a été présenté, vendredi lors d’une conférence de presse à El Teatro à Tunis.

Paru dans une édition élégante, ce nouvel ouvrage comporte deux parties co-écrites avec la participation de 25 femmes tunisiennes de tous les horizons, dont plusieurs d’entre elles ont assisté à la séance de présentation.

Une partie en langue arabe de 85 pages et une autre partie en langue française de 58 pages sont illustrées de textes et photos avec des pages non numérotées contenant des photos en couleurs.

Les photos contenues dans le livre sont l’oeuvre de plusieurs photographes tunisiens, tels que Mokhtar Hmima et Karim Kamoun. D’autres photos sont tirées de l’encyclopédie du net Wikipédia. Sonia Ben M’rad, Selma Baccar, Noura Borsali, Maya Jeribi et Leila Toubel figurent sur la liste des treize femmes qui ont écrit les textes en français, alors que la partie arabe du livre est signée par douze femmes dont Olfa Youssef, Lina Ben Mhenni et Raja Ben Slema.

Dans la partie en arabe, près de 56 femmes parmi d’autres issues des différentes régions du pays sont présentées en tant qu’héroïnes et militantes ayant largement contribué à l’indépendance du pays et à l’émancipation de la femme en inscrivant ses droits dans le Code du statut personnel (CSP) et la Constitution.

Selon Ben M’rad, il s’agit d’un livre d’art en trois parties en langue française -où les rédactrices reviennent, dans un style narratif, sur l’histoire d’Elyssa en passant par la Kahéna jusqu’à arriver à B’chira Ben M’rad.

La seconde partie du livre s’attarde sur la résistance de toutes celles qui ont contribué à sauver le pays au lendemain de la Révolution de 2011.

En plus des textes, la troisième partie est agrémentée de photos, en couleur et en noir et blanc, de centaines de milliers de femmes. Des photos de l’histoire moderne de la Tunisie qui illustrent la dynamique et le combat de la femme tunisienne, toutes générations confondues, et de tous les niveaux socioculturels, notamment durant les 4 dernières années qui ont suivi la Révolution du 14 janvier 2011.

Le livre se veut surtout «un hommage au militantisme de la femme tunisienne qui a participé à ancrer l’identité de ce pays enraciné dans son histoire millénaire», a soutenu Ben M’rad qui a assuré la coordination entre les différents textes avec l’assistance de Chiraz Ben M’rad Tlijani.

Une séance de présentation-dédicace de «Tunisiennes et Révolution: Le Combat des Femmes», est prévue le 18 septembre à El Teatro.

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Le ministère de la culture vient d’annoncer la réouverture exceptionnelle du musée du Bardo:

– Vendredi 27 mars 2015 – 9h30 – visites réservées aux journalistes et aux élèves

– Lundi 30 mars de 9h30 à 16h00.

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Google, le moteur de recherche le plus utilisé par les internautes, fête la naissance de Emmy Noether, une mathématicienne allemande spécialiste d’algèbre abstrait et physique théorique. Elle est née, il y a près de 133 ans, le 23 mars 1882, et morte à l’âge de 53 ans, le 14 avril 1935.

Emmy Noether est considérée comme« le génie mathématique créatif le plus considérable produit depuis que les femmes ont eu accès aux études supérieures» par  Albert Einstein. Elle a révolutionné les théories des anneaux, des corps et des algèbres.

En physique, le théorème de Noether explique le lien fondamental entre la symétrie et les lois de conservation…

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Etre une femme est une bénédiction divine, mais hélas elle n’est pas reconnue en tant que telle par le commun des mortels. “Etre une femme” c’est devoir se battre pour vivre dignement et honorablement et ceci depuis la nuit des temps. En dépit de ça, nombreuses sont celles qui ont gagné certaines batailles. En voici quelques exemples de femmes qui ne se laissaient pas faire.

• Elyssa (Didon en Latin)

Elle est la fondatrice légendaire et première reine de Carthage.

Elyssa était une princesse phénicienne, première-née du roi de Tyr, dont la succession est entravée par son frère Pygmalion qui assassine son mari Sychée. Pour éviter qu’elle soit assassinée à son tour et une guerre civile, Elyssa quitte Tyr…

Débarquée sur les côtes de l’actuelle Tunisie, vers 814 av. J.-C., elle choisit un endroit où fonder une nouvelle capitale pour le peuple phénicien: Carthage. Elle obtient pacifiquement des terres par un accord ingénieux avec le seigneur local : elle obtint une terre pour s’établir «autant qu’il en pourrait tenir dans la peau d’un bœuf». Elle choisit alors pour fonder sa ville une péninsule qui s’avançait dans la mer et fait découper une peau de bœuf en lanières extrêmement fines. Mises bout à bout, elles délimitent l’emplacement de ce qui deviendra plus tard la grande Carthage. On fait souvent référence à ce stratagème en mathématiques, dans le domaine qui étudie les problèmes d’isopérimétrie.

• Kahena, son vrai nom Dihya ou Damya

C’est une reine guerrière berbère, son père était Kusayla, chef de la résistance à la Conquête musulmane du Maghreb (règne de 660 à 686). Ce dernier, converti à l’islam, entre en conflit avec Oqba Ibn Nafi Al Fihri, général de l’armée des Omeyades. À son décès en 686, Kahena prend la tête de la résistance. Fille unique, elle aurait été élue ou nommée par sa tribu après la mort de son père. Elle procéda à l’appel de nombreuses tribus de l’Afrique du Nord orientale et du Sud pour déclencher la guerre contre les Omeyades.

Elle règne sur tout l’Ifriqiya pendant cinq ans et défait deux fois la grande armée des Omeyyades avant d’être vaincue en 693 par Hassan Ibn N’uman…

Kahena/Dihya sera la seule femme de l’histoire à combattre l’empire Omeyyade.

Une statue à l’effigie de la Kahena a été élevée à Khenchela en Algérie en 2003.

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Nous sommes le vendredi 13 février 2015. C’est le premier “vendredi 13” de l’année.  Au cours de celle-ci  il y aura deux.

C’est déjà une date flippante en soi, lui additionner le fait qu’elle soit la veille du Saint Valentin peut la rendre encore plus pour les amoureux! Du coup, nous leur souhaitons d’agréables moments en compagnie de leurs Jules.

Si malgré tout vous n’avez pas eu votre dose d’adrénaline en sensation forte, nous vous proposons deux histoires de horreur  à déguster pour ce Vendredi 13:

Legende bloody mary

La légende de Bloody Mary (la Vierge sanglante) veut que lorsqu’on est dans une pièce sombre, devant un miroir éclairé à la chandelle et que l’on prononce “Bloody Mary” treize fois de suite, un visage de femme ensanglanté fasse son apparition dans
le miroir pour parfois s’attaquer à ceux qui l’ont appelé.
Plusieurs façons différentes d’invoquer cette mystérieuse femme semblent d’ailleurs exister. La façon la plus populaire reste
quand même la suivante. Enfermez-vous dans une salle de bain munie d’un grand miroir, y éteindre les lumières pour s’y retrouver dans la noirceur complète et allumer deux bougies que l’on placera de chaque côté du miroir.

Fixez des yeux le miroir très attentivement, directement vers votre propre réflexion. Débutez ensuite à prononcer à voix très basse et très douce, voire presqu’invitante, le nom de “Bloody Mary” puis commencez à tourner sur vous-même. Tout en continuant de tourner, prononcez le nom de l’esprit de plus en plus fort, presque comme dans un chant, pour que la treizième fois, vous l’imploriez, presqu’en criant.

À chaque tour sur vous-même, fixez le miroir en passant. Au treizième tour, votre réflexion sera maintenant celle
de la Vierge sanglante.

À ce que l’on dit, elle est vraiment effrayante; son visage est recouvert de sang et ses mains cherchent à vous prendre. Pour
quelques croyants, cette femme ne veut que vous effrayer en bondissant de l’avant, vers vous. D’autres affirment que la Vierge sanglante vous attaque littéralement, vous laissant vous aussi en sang si vous ne réussissez pas à vous enfuir.

Cette légende a tellement été prise au sérieux qu’en 1978, aux États-Unis, la folkloriste Janet Langlois décida d’écrire un
essai sur cette histoire. On l’utilise encore dans certains cours universitaires sur les légendes urbaines en Amérique.

Le film d’horreur “CANDYMAN” est d’ailleurs basé sur cet essai.
Une autre croyance, adaptée pour les plus braves, est celle de provoquer l’apparition de Bloody Mary en ajoutant à son nom
la phrase suivante: “Bloody Mary, I killed your baby!” (Vierge sanglante, j’ai tué ton enfant). Cependant, on raconte qu’une
telle invocation provoque une attaque immédiate de l’entité. Une attaque sauvage et sans merci.

Plusieurs pensent que Bloody Mary est la Vierge Marie en personne venue vous avertir de ne pas jouer avec son nom, ni le nom de son Fils, Jésus. D’autres racontent qu’elle serait une sorcière jadis brûlée vive par les habitants de son village pour
sorcellerie et que quiconque invoque son nom en vain sera frappée par la malédiction par laquelle elle menaça ceux qui l’ont brûlée.

Une minorité disent que c’est l’esprit d’une femme décédée avec son fils dans un accident d’auto quand la voiture
s’enflamma, laissant sans vie la mère et le petit. La dame décida de vivre à jamais dans les miroirs, pour se venger de ceux…

La suite sur histoire-d-horreur-b-r.skyrock.com

Deuxième histoire – Ps: nous vous conseillons de l’entendre, seule, le soir dans votre chambre et si possible dans le noir, pour une “sensation meilleure”

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Calise Manning est la petite héroïne du Michigan. Elle a 4 ans et elle a sauvé sa mère enceinte de 9 mois, Centerria Manning, qui était aussi épileptique. Cette dernière  s’est écroulée brutalement sur le sol. Elle était seule avec sa fille dans la maison, son fiancé était au travail au moment des faits.  Calise Manning appelle les urgences en composant le 911.

-« Ici le 911 »

-«C’est Calise Manning. Ma mère est tombée, elle tremble et elle a un bébé (enceinte). Ma maman est vraiment enceinte, elle a un garçon et elle a vraiment besoin d’aide»

-« quel âge as-tu?»

-« J’ai 4 ans et je vais grandir plus…»

L’appel a duré entre 7 et 12 minutes, le temps que les secours arrivent à la maison.

Dans une interview sur la CNN, la maman Centerria Manning affirme qu’elle est fière de sa petite fille. Elle affirme qu’elles ont répété ensemble, quoi faire? Et à qui parler si quelque chose de mal se produisait, comme une crise épileptique. Elle lui a appris leur adresse complète, leur nom de famille et tout ce qui est utile.

La mère a été emmenée à l’hôpital où elle a mis au monde son fils en bonne santé.

Calise qui porte un T-shirt, écrit dessus  «I’m the big sister»  (Je suis la grande sœur), a dit au journaliste  de la WWMT à l’hôpital “C’était vraiment bien de monter dans l’ambulance avec maman.”

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William Hart a courbé les énormes mots «Hi Mum J- God Bless U» (Salut maman, que Dieu vous bénisse) dans la neige sur le toit d’un garage voisin à l’hôpital, lundi dernier.

Aidé par de son père et de son oncle, les trois hommes ont fait plaisir aux autres résidents en plus de Sharon Hart qui souffre d’une leucémie aiguë.

Selon le Chicago Tribune, les patients et leurs familles étaient émus par le message de William adressé en premier à sa maman mais aussi à eux «God Bless –U».

La photo a été postée sur Facebook par les infirmières de l’hôpital.

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