Ce comportement alimentaire, a-t-elle expliqué, peut provoquer une hyperglycémie puis une hypoglycémie au bout de deux heures, entraînant des maux de tête pendant le jeûne.

Elle a ajouté, dans une déclaration, mercredi, à la TAP, que les maux de tête pendant la période de jeûne ont d’autres causes, notamment le tabagisme et les stimulants, mais la douleur diminue après un certain temps (5 jours de jeûne au moins), appelant à limiter la consommation de sucre.

D’autre part, la spécialiste a appelé à répartir la consommation d’aliments générateurs d’énergie sur trois périodes après la rupture du jeûne afin de ne pas fatiguer l’estomac, le cœur, le foie et le cerveau.

Elle a également insisté sur le fait de ne pas manger beaucoup de dattes (une ou deux seulement) à la rupture de jeune, de boire un peu de lait pour protéger l’estomac, d’attendre un peu, puis de commencer à manger la soupe et de faire une pause de 5 minutes avant de prendre la salade. Elle a recommandé d’éviter les aliments gras, de ne pas manger beaucoup de féculents et de réduire la consommation de sucre pendant la soirée.

En ce qui concerne les causes de la somnolence ressentie après le dîner, Alouane a souligné qu’elle est due à la fatigue et à un manque d’oxygène délivré au cerveau puisque le cœur pompe d’importantes quantités de sang dans l’estomac en raison de mauvaises habitudes alimentaires (manger rapidement ou trop gras).

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Le mois saint du Ramadan est un mois riche en spiritualité et en ferveur religieuse, Il implique également des changements des habitudes alimentaires et requiert ainsi une vigilance et une hygiène de vie adéquats afin de préserver notre bonne santé.

Cette attention est d’autant plus importante et cruciale pour les centaines de milliers de diabétiques tunisiens qui désirent jeûner durant tout un mois. En effet, le jeun du patient diabétique nécessite un suivi encore plus rapproché et une préparation préalable impliquant patient et soignants.

C’est dans cette optique que les laboratoires Novo Nordisk^® Tunisie ont joint leurs efforts à ceux de leurs partenaires pour préparer et sensibiliser face au diabète en général, et les précautions à prendre chez les patients diabétiques jeunant, et ceux durant les journées « Diabète et Ramadan » : une suite d’actions de sensibilisation durant tout un week-end, couvrant les villes de Tunis, Sousse et Sfax.

Durant la matinée du 20 Mai 2017 se sont tenus deux actions concomitantes à Sousse et à Sfax, la première à Sousse, en partenariat avec le Croissant Rouge Comité Local de Sousse Jawhra et le service de Médecine interne de l’hôpital universitaire Sahloul, à Beb Bhar, accueillant plus de 250 participants pour un control de tous les paramètres notamment la glycémie et un entretien avec des experts en nutrition pour prodiguer les conseils et les recommandations .

En effet, étant contre indiqué dans la majorité des cas, et autorisé avec précaution chez d’autres, le jeun est autant un défi pour le patient tenant à le pratiquer, qu’à son médecin qui l’accompagne durant ce challenge, d’où la nécessité de ce genre d’approches.

La ville de Sfax a connu  à son tour une action similaire menée par L’amicale des endocrinologues et diabétologues de Sfax en collaboration avec la maison du diabète et a permis de dépister près de 600 participants dont 113 patients diabétiques mal équilibrés, qui ont pu profiter  des conseils diététiques et  thérapeutiques nécessaires à l’équilibre de leur diabète.

Cette action a aussi permis de diagnostiquer 42 nouveaux diabétiques.

Enfin, les journées « Diabète et Ramadan »  ont été clôturé la matinée du 21 Mai 2017 par la dernière manifestation au Centre Urbain Nord à Tunis.

En effet, diabétologues, néphrologues et cardiologues étaient au rendez-vous pour recevoir, écouter, et contrôler l’équilibre des 150 participants.

Des stands d’équivalence en glucides, graisses, protéines et sels contenus dans les différents aliments habituellement consommés durant le mois de Ramadan ont été mis en place par les experts en nutritions présents, et n’ont pas peu secoué les idées reçues des participants et attisé leur étonnement.

Médecins, patients, ainsi qu’un professeur en théologie ont également eu l’occasion de se réunir le temps d’une discussion ouverte portant sur les challenges du diabétique durant le mois du ramadan, discussion caractérisé par une riche interaction et la pertinence des interventions  portant sur l’équilibre, les changement de rythmes, et les pratiques à adopter afin de pallier aux risques que courraient les patients les moins disciplinés .

Cette suite d’événements a concrétisé l’implication des différents acteurs de lutte contre cette pandémie qu’est le diabète : des sociétés savantes, aux services de santé publiques en passant par la société civile et les laboratoires pharmaceutiques. Un événement pluripartite qui vise le bien être du patient diabétique pour mieux gérer sa maladie et jouir  ainsi du mois de Ramadan

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Le ministère de la Santé appelle les Tunisiens à prendre les mesures préventives qu’il faut pour pouvoir affronter la vague chaleur attendue qu’elles atteignent les 48° au Sud avec une apparition de coups sirocco.

Elle appelle les citoyens à prendre des sels minéraux aussi bien lors de la rupture du jeûne que lors du S’hour. Le ministère préconise également de miser sur les légumes frais ou cuits et sur les protéines végétales.
Aussi, elle appelle à éviter les grands efforts physiques et à éviter autant que possible de sortir entre 11 heures du matin et 15 heures de l’après-midi où le soleil sera en plein zénith.

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Les Tunisiens, amateurs de bonne chère, prennent d’assaut les grandes surfaces dans une frénésie de consommation aux premiers jours du mois de Ramadan.
Alors que 45% des tunisiens souffrent d’un excès de poids ou d’obésité, dont les 2/3 sont des femmes, les jeûneurs ne se privent pas de plats à base d’œufs, de thon, de fromage ….. Toutes les “envies” sont permises.

Pour Henda Jamoussi, chef de service des maladies de la nutrition à l’Institut National de la Nutrition (INN), les tunisiens consomment beaucoup de graisses saturées, au cours du mois de Ramadan (viandes, produits laitiers (fromage) et fritures). Ils mangent aussi, plus de sucreries qui sont également, frites.

Selon des statistiques de l’Institut National de la Consommation (INC), la consommation de sucre et sucreries a atteint un pic de 60%, au cours du mois de ramadan 2015, par rapport aux autres mois de l’année, avec tout le lot de maladies qui en découlent.

Pour Amel Gamoudi, nutritionniste à l’INN, “la consommation du tunisien au cours du mois saint, doit être identique à celle de tous les jours, à laquelle on ajoute une soupe. On doit également consommer de l’eau à température ambiante et éviter l’eau froide qui peut causer des désagréments gastriques”.
Elle recommande aussi, de privilégier le pain normal (255 kilocalories les 100g), aux pains spéciaux (345k/cal) .
Pourtant, un engouement spécial est constaté pour la baguette et les pains spéciaux, d’après l’INC, leur consommation augmente de 35% au cours du mois de Ramadan alors que la consommation du gros pain n’augmente que de 20%.

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Le comportement alimentaire des Tunisiens change au mois de Ramadan. Ils semblent faire fi des conseils des nutritionnistes pendant ce mois du jeûne, où la consommation explose et des produits phares restent les mêmes chaque année. Selon des statistiques de l’Institut National de la Consommation (INC), qui a effectué une comparaison entre la consommation moyenne au courant de l’année et celle du mois saint, c’est la consommation du sucre et sucreries qui atteint un pic de 60% au mois de ramadan, avec tout le lot de maladies qui en découlent.

Toujours selon l’INC, le Tunisien revient, pourtant, à des mets traditionnels plus sains à l’instar de la Bsissa (+51%) et s’oriente vers certains produits plutôt que d’autres, compte tenu de la dégradation de son pouvoir d’achat.

L’INC a évoqué, dans ce contexte, la campagne lancée, depuis le 29 mai pour inciter à consommer tunisien, sachant que 7% seulement des citoyens savent que le code à barre des produits nationaux est de 619. La campagne de l’INC se poursuivra jusqu’au début du mois de Ramadan.

Avec TAP

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Deux étudiantes de la Miami Ad School des Etats-Unis, Chennai Divay Seshadri et Megan O’Neill, ont créé un nouveau concept d’éthylotest sous forme de tatouage. Ce petit accessoire prévient celui qui le porte qu’il a dépassé le taux d’alcoolémie autorisé pour prendre le volant.

Le «SafeStamp »  de couleur jaune au départ est composé d’une puce intelligente. Il change de couleur et vire au bleu lorsque le taux d’alcoolémie  dans le sang du porteur dépasse la norme autorisée pour prendre le volant. L’engin mesure le niveau d’alcool à travers la sueur attirée par les ondes électromagnétiques émises par la puce. Une invention qui pourra sauver plus d’une vie!

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Une journée portes ouvertes sur la prévention de la cécité par glaucome se tiendra samedi prochain à l’institut Hédi Rais à l’initiative du comité médical de cet institut, selon un communiqué publié mardi par le ministère de la santé.

Cette action de prévention est menée à la veille du mois de Ramadan afin de sensibiliser les patients glaucomateux à ne pas arrêter leur traitement par collyres pendant le jeûne vu les risques de cécité auxquels ils peuvent s’exposer.

Au programme de cette journée, des consultations assurées de 8h à 14h ainsi qu’un enseignement post-universitaire sur les glaucomes difficiles.

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Au niveau de la répartition sectorielle des projets approuvés, la banque a précisé dans des données publiées sur son site web, que le secteur des industries agroalimentaires a la part du lion des financements avec un montant de 79,5 MDT (326 projets), suivi par le secteur de services (54 MDT et 301 projets), des industries chimiques et plastiques (48,4 MDT et 142 projets) et des industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre (39,2 MDT et 113 projets).

Les projets approuvés par la BFPME ont bénéficié à l’ensemble des régions du pays, dont 101 projets à Kasserine (22 MDT), 83 projets à Gafsa (plus de 11MD), 81 projets à Zaghouan (31 MDT) et 77 projets à Béja (23 MDT).

La banque a approuvé, aussi, 122 projets à l’Ariana (22 MDT), 105 projets à Sousse (22 MDT) et 91 projets à Sfax (32 MDT). La BFPME a révélé que 1325 projets sont actuellement en cours de réalisation, pour un coût global de 811 MDT, moyennant des crédits à hauteur de 273,8 MDT.

Ces projets couvrent, essentiellement, les secteurs de l’agroalimentaire (285 projets) mobilisant des crédits de la BFPME à hauteur de 65,3 MDT, des services et divers (238 projets pour des crédits de 38,4 MDT) et des industries des matériaux de construction, de la céramique et du verre (94 projets pour des crédits de 30,1 MDT).

Les secteurs du textile et de l’agriculture ont reçu des crédits respectivement de 28 MDT (194 projets) et 12,3 MDT (79 projets).

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La Tunisienne Raafa Manai, 27 ans, vient de soutenir brillamment sa thèse de doctorat en Physique Chimie des matériaux à l’Université Pierre et Marie Curie (UMPC), à Paris.

Elle a effectué son projet doctoral sous la direction de Philippe Bergonzo, dans le cadre du projet européen SNIFFER au sein du laboratoire Capteurs Diamant (LCD) du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) à Saclay.

Elle s’est consacrée durant sa thèse à développer un capteur mimant l’olfaction pour la détection de stupéfiants et composés explosifs. En parallèle, Raafa Manai a également effectué des missions de conseil et d’expertise scientifique auprès d’incubateurs de start-ups et accélérateurs d’entreprises.

Elle est aussi engagée dans l’association PhD Talent qui a pour but de valoriser et d’améliorer l’insertion professionnelle des jeunes docteurs au sein d’entreprises et industries européennes.

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Une drogue qui ne se fume pas et ne s’injecte pas dans le sang. Pour avoir une dose, il suffit d’avoir un casque, un bandeau sur les yeux et un fichier mp3 la «I-dose»: une musique spéciale. Un «simple» mélange de fréquences sonores d’une durée comprise entre 15 et 30 minutes qui font office de dose.

La particularité de cette drogue, jusqu’à maintenant 100% légale/halal, c’est qu’elle utilise les battements binauraux, découvert en Allemagne en 1839 : le fait d’entendre deux sons de fréquence légèrement différente dans chaque oreille produirait un effet sur les ondes du cerveau et déclencherait ainsi une sorte d’hypnose sonore.

Afin de mieux connaître le produit, nous avons fait quelques recherches sur différents sites vendeurs et forums dédié à l’e-drogue. Elle se vend sous forme de fichiers audio à télécharger et à écouter.

Ils affirment que ce type de produit permet : de vous sentir mieux rien qu’en écoutant de la «musique», qu’elle améliore votre sommeil, elle vous permet de vous détendre plus profondément et rapidement, accélère votre développement personnel, augmente votre capacité d’attention et de concentration, améliore votre mémoire, vous débarrasse des états de nervosité, de fatigue ou de dépression, corrige la dyslexie et aide les enfants hyperactifs…

Sur les sites nous avons trouvé un grand choix de la «e-dose» avec les effets de chacune, et le témoignage du consommateur.

Exemples :

Effets “Peyote” (Cactus hallucinogène)
«Après une dizaine de minute, alternant yeux ouverts/fermés de temps en temps, j’ai remarqué que la porte de la chambre, se mettait à onduler! Ensuite, il s’est passé la même chose avec les murs! Je me sentais de plus en plus fatigué et, étant assis confortablement sur une chaise, je sentais ma tête partir inexorablement vers l’arrière!…»
Effets “Orgasmes”
“Condition: dans mon lit, 0heure30, relaxé, lumière entièrement éteinte, yeux fermé
Effets: Alors au début rien de particulier a part mes muscles qui se contractaient et que je ne sentais plus mes bras ni mes pieds mais tout à coup au bout de 5 minutes je sens une chaleur extrême et un plaisir énorme et la j’ai ressentie que le soldat a commencé à être au garde a vous et a la 7ème minutes il l’était complètement, je n’en revenais pas!

Une dose extrêmement efficace au niveau de l’excitation et largement plus efficace que la viagra et beaucoup plus rapide!”

Des allégations affirmées par certains et démenties par d’autres, jusqu’à présent aucune étude n’a été publiée sur les effets nocifs de l’e-drogue, même certains spécialistes et médecins luttant contre toutes les formes de dépendance affirment que l’e-drogue constitue un vrai danger pour la santé, le cas au Liban où deux cas de dépendance auraient été enregistrés contrairement à la Turquie où plus de 2.000 cas sont traités.

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