Cette décision intervient à l’issue de la réunion de la commission nationale de prévention et de lutte contre les catastrophes et de l’organisation des secours, tenue le mardi 22 juin 2021 dans le gouvernorat de Tunis.

Ce report est dû au nombre élevé d’infections et au nombre de décès dus au coronavirus et à la dégradation de la situation sanitaire dans le pays.

Cette décision a été prise dans le cadre du suivi de la situation sanitaire dans le pays, aux fins d’éviter la propagation de la contamination par le COVID-19 et de protéger les exposants et le public.En 2020, cette édition a été suspendue pour les mêmes raisons sanitaires.

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Elle est la fondatrice de la marque ‘Nomade Céramique’. Elle est diplômée de l’Ecole des Beaux-Arts. Elle a obtenu le “Prix des meilleures créations artisanales“.

Elle, c’est Sarra Chouchène qui participe à la Foire de la création artisanale 2019 qui se tient au Kram du 22 au 31 mars 2019.

Les créations de Sarra Chouchène continuent de séduire les adeptes des créations artisanales.

Rencontrée par une équipe de DirectInfo lors de cette édition de 2019 de la foire de l’artisanat, Sarra Chouchène assure que certains confondent la marque Nomade Céramique avec les broches ‘Hout Alik’, broches qui se portent été comme hiver, et qui ont rencontré un franc succès au cours de ces derniers mois, au point de faire oublier le nom de l’enseigne.

Mais notre artiste a jugé utile de lancer, il y a quelques mois, sa marque, baptisée “Nomade Céramique“ dont l’objectif est d’être présente dans les Salons en tant que jeune entrepreneur, à travers des créations sobres mais élégantes, explique-t-elle.

Salon de l’Artisanat : Sarra Chouchène, créatrice de Hout Alik, nous parle de son projet

En fait, ses créations ‘fait main’ reflètent son identité tunisienne et berbère, et donc les différentes cultures et régions de ce pays.

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Cet événement prévoit un marché de développement des tissages faits main traditionnels s’étendant sur une superficie de 50 m2.

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Meuble Habib Bennour s’expose à Dar déco du 18 au 27 décembre 2015 au Parc Le Kram.

Voici le stand en photos :

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Le couscous est considéré dans les pays du Maghreb comme l’un des plats phares de la cuisine traditionnelle dans cette région. Cependant, la célébrité de ce plat dépasse la sphère maghrébine au point d’être présenté comme un plat international.

En France par exemple, le couscous sous ses différentes gammes occupe une place prépondérante dans le paysage culinaire. Pour sa part, l’Italie lui a consacré dans la région de la Sicile tout un festival international de renommée.

En Tunisie comme en Algérie le couscous constitue une composante capitale dans les habitudes culinaires des deux pays. On compte en Tunisie  environ 144 plats contre 60 en Algérie, dont bon nombre sont en voie de disparition dans les deux pays.

Eu égard à cette présence dense et profonde qu’occupe le couscous dans notre vie et nos traditions de nourriture, nous jugeons que ce repas mérite d’être l’objet d’une promotion d’envergure.

C’est ainsi qu’un événement “100% couscous” s’est fixé comme ambition d’offrir l’occasion aux visiteurs, aux hôtes, aux professionnels et aux journalistes de découvrir la richesse du patrimoine culinaire aussi bien en Tunisie qu’en Algérie.

En effet, ce patrimoine largement partagé traduit les étroites relations qui unissent et associent nos deux peuples à travers les différentes étapes de l’histoire.

Le contenu de cette manifestation consistera à mettre en œuvre un grand stand d’exposition pour chaque pays qui sera meublé de 100 plats de couscous représentant les différentes régions de la Tunisie et 60 plats de couscous couvrant le territoire algérien.

Une présentation précise, détaillée et fiable sur chaque plat de couscous exposé (origines et régions, ingrédients, préparation ….) ainsi que des séances de dégustation et de préparation de couscous permettront certainement aux visiteurs de vivre ensemble cet événement dans une atmosphère exceptionnelle conviviale et à fort potentiel historique,  culturel et humain ou se mêlent mémoires et souvenirs avec les goûts, de plaisir et de joie.

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Ça se passe en Tunisie, dans nos écoles publiques, plutôt devant nos établissements.  Collège Assad Ibn Fourat, #Kram  comme vous voyez sur l’image, sur la pancarte le tag inscrit (ici se vend le canabis en poudre)” هنا تباع الزطلة مرحية” 

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Depuis plusieurs années, le Salon dardéco a pour ambition d’améliorer l’offre de décoration et de faire des objets de décoration des objets d’art. Il s’agit de rapprocher les producteurs fabricants du corps professoral de l’université et des écoles spécialisées pour booster les créations et les innovations.

dardéco se veut être au plus proche des envies et aspirations des visiteurs. La diversité mais également la complémentarité des styles représentés font de ce lieu un rendez-vous unique pour les passionnés de décoration et du design.

Pour permettre aux visiteurs de trouver toutes les réponses à leurs besoins en matière de décoration et aménagement d’intérieur, le concept de dardéco s’affine et ne présente plus que 3 principaux espaces spécialisés qui forment sa structure :

L’Espace Création & Design : Cet espace est axé sur les dernières tendances en matière de design. Des objets uniques, réalisés par des créateurs et des designers seront exposés. Par ailleurs, cette année dardéco organise un concours pour labelliser le meilleur designer de l’année.

L’Espace Maison déco : cet espace s’articule autour de la décoration des espaces intérieurs de la maison et articles de décoration, les tissus d’ameublement, les luminaires intérieurs, le mobilier d’appoint, les arts de la table et les produits de bien être.

L’Espace Jardin déco : Espace vert mis à la disposition des visiteurs, offrant quelques clés pour concevoir son propre jardin et réussir son aménagement (meuble de jardin, luminaires extérieurs, fontaines, etc. …), Jardin déco se veut un espace d’innovation et d’exploration botanique.

Et pour la première fois un espace d’exposition dédié aux oiseaux d’ornement, sera intégré à l’Espace Jardin.

Plus de 220 exposants (créateurs, designers, artistes, artisans d’art et paysagistes) ont répondu à l’appel. L’occasion pour ces derniers de mettre en lumière, de la plus belle des manières, leurs créations et savoir faire et exposer les nouvelles collections.

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Le salon vise, notamment, à développer les exportations de l’industrie pharmaceutique et des prestations de soins.

Les ministres de la Santé, Mohammed Salah Ben Ammar, et du Commerce et de l’Artisanat, Nejla Harrouch, ont inauguré le Salon et parcouru ses différents stands, prenant ainsi connaissance des différentes branches d’activité du secteur de la santé exposées à cette occasion.

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Revenant sur les raisons de la régression des ventes des tapis berbères après la révolution du 17 décembre 2010-14 janvier 2013, l’artisan Imem Harmassi, qui exerce ce métier depuis longtemps à Feriana estime qu’elle est due à la crise politique et son corollaire la crise économique. “Auparavant, je produisais 800m2 par mois, alors qu’aujourd’hui, je ne parviens même pas à produire 50 m2”, a ajouté cet artisan de 70 ans spécialisé dans les tapis berbère. Le prix d’un m2 de tapis berbère est estimé, cette année, à 70 dinars contre 50 dinars maximum auparavant, a-il fait savoir.

Dalila Youssefi, artisane originaire de Sidi Bouzid a pris place au stand de l’Office nationale de l’artisanat où elle a installé sa “machine à tisser” le Klim. Cette femme de 48 ans fait ce métier à domicile depuis 20 ans. Pour elle, l’étape la plus difficile est toujours celle de la vente de ses œuvres. “Mes ventes sont limitées à quelques commandes que je reçois par l’intermédiaire de l’ONAT de Sidi Bouzid et à la clientèle de la foire”, a-t-elle déclaré. “Je passe toute l’année à tisser mes Klims et Hayeks, pour les exposer, en fin, à ce salon national du tapis”, a-t-elle poursuivi.

Sameh Mâaoui, 32 ans, spécialisée dans le tissage de Margoum de Ouedhref (gouvernorat de Gabès) affirme qu’elle a appris ce métier de sa mère. Elle aussi travaille pour son propre compte, mais en collaboration avec une équipe d’artisanes de sa région, qui exercent chez elles, “J’ai toujours du mal à trouver des débouchés pour vendre mes produits, d’autant plus que je suis appelée à rémunérer mes collaboratrices”, a déclaré la jeune femme…

Pour sa part, Dalila Abdallah Mansour Zayen (34 ans), s’est dite mécontente de l’absence d’incitations de la part de l’ONAT, “J’attends impatiemment ce salon, qui constitue, pour moi, une opportunité pour écouler mes produits et j’ai demandé à l’ONAT de me faire bénéficier d’un stand gratuit mais sans succès”, a-t-elle avancé avec regrets.

Titulaire du premier prix de la création artisanale en 2010, Dalila qui est originaire de Gabès, s’est sentie “lésée” parce qu’elle n’a pas pu participer gratuitement au salon. “A cause de mes difficultés financières, j’ai du demander à mon frère de l’argent pour payer les frais de participation (800 dinars pour la location du stand, 200 dinars pour les frais de logement et autant pour le transport), a raconté cette jeune femme diplômée, mais en chômage depuis 2000. “Malgré ces difficultés, j’ai tenu bon à participer au salon, car si je ne vends pas mes Margoums, leur qualité risque de se dégrader, étant donné que je ne dispose pas d’un espace convenable pour leur stockage”.

D’après des chiffres de l’ONAT, la filière du tapis et du tissage ras compte, jusqu’à 2009, 11.000 artisans, soit 70% du nombre total des artisans. Pour certains artisans du métier de tissage, les difficultés par lesquelles passe la filière ne sont que conjoncturelles. Mais, pour d’autres, il ne s’agit pas seulement de chercher des circuits pour vendre un produit traditionnel, il est aussi question de sauvegarder un héritage précieux qui fait partie de notre identité et d’assurer sa pérennité en l’adaptant aux exigences de la modernité.

Source: TAP

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Nous avons été scandalisés comme beaucoup d’autres tunisien(ne)s par cette annonce publiée sur Facebook. Nous avons tenté d’avoir plus d’informations sur le sujet: une association au nom de «Yoser association islamique de bienfaisance» qui lance une journée ouverte, jeudi 13 juin, pour la scarification (حجامة) dédiée aux femmes et aux enfants.

L’annonce ne s’arrête pas là, la journée est consacrée aussi, entre autres, aux traitements et la prévention de : l’épilepsie, l’énurésie, des problèmes gastronomiques, gynécologique et le vaginisme.

L’association semble très sérieuse dans son annonce. Elle certifie même que ce sont des pratiques ayant fait leurs preuves avec le prophète Mohamed.

Nous avons composé le numéro joint à cette annonce qui est le 94…. Une jeune femme (du moins c’est ce que nous croyons) décroche et nous lance «assalamou Alaikom» en guise d’allo. Et voici le récit :

-« Assalémou alaikom »

-« Allo, bonjour nous avons lu l’annonce publiée sur votre page Facebook au sujet de la journée ouverte, et nous aimerions avoir plus d’informations ».

-« C’est quoi votre problème ? »

-« En fait nous voulons savoir si ce qui a été publié est vrai comme début ».

-« Oui c’est le cas ».

-« Est-il possible de venir vous rejoindre? Et si c’est oui c’est à quel endroit ? »

-« L’adresse est déjà inscrite, oui vous seriez la bienvenue. Nous avons déjà commencé si vous voulez, venez nous rejoindre ».

-« Ce que vous faites est légal? Je veux dire est-ce qu’il y a des gens connaisseurs ou c’est juste des débutants? »

-« Non, ce n’est pas le cas, nous sommes une association sérieuse. La sœur Om Hanin (celle qui va ausculter) est médecin ».

-« Excusez moi, mais médecin en quoi? »

-« C’est une généraliste ! »

-« Est-ce que le ministère de la Santé est au courant de cette opération? »

-« Oui bien sûr, il l’est, et cette journée portes ouvertes est approuvée par le ministère ».

-« D’accord, je passe vous voir ».

Intrigués par la première conversation, nous tentons une seconde fois en changeant de numéro de téléphone et d’interlocuteur. Cette fois le discours change. Désormais pour une auscultation il nous faut un dossier médical ?! De plus nous devons avoir un rendez-vous ! Oups un rendez-vous lors d’une journée «portes ouvertes»?!

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