C’est avec grande fierté que Mme Wafa Turki, fondatrice de l’enseigne de pâtisserie haut de gamme « Maison TURKI » a inauguré samedi 24 novembre 2018 son sixième point de vente à La Marsa.

En présence de nombreux invités de marque et clients, Mme Turki a présenté la panoplie de produits fin faits à la main. Des créations originales et savoureuses telles que les mignardises, le chocolat et les mini-bouchées salées, offrent un mélange parfait de tradition et de modernisme.

Sa fameuse Baklawa au chocolat est l’un des produits phares qui traduit bien l’esprit de la marque à savoir la revisite de la pâtisserie tunisienne.

« Maison Turki », l’histoire d’une passion

Derrière « Maison Turki » se cache une jeune femme entrepreneuse et ingénieur de formation.  Après une carrière académique doublée d’une formation professionnelle, Wafa franchit le pas et se lance dans l’entrepreneuriat : plonger dans sa passion, la pâtisserie.

Et en 2013, elle fonde à Sfax la « Maison Turki », le premier magasin d’une chaîne qui compte aujourd’hui 6 magasins installés dans les quartiers les plus prisés du pays : Route aïn à Sfax  (Aout 2013), Route 18 janvier à Sfax (Juin 2014), Lafayette à Tunis  (Juillet 2014),  Sousse (Juin 2015), Menzah 6 (Mai 2017) et aujourd’hui La Marsa (Novembre 2018).

Mais la passion de Wafa Turki c’est son esprit créatif qui la nourrit ; et son attention pour la qualité la guide dans ses créations traditionnelles avec une touche de modernité.

C’est donc l’histoire d’une passion et d’un partage qui grandit et se concrétise aujourd’hui avec « Maison Turki ».

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La huitième édition du semi-marathon “Les Foulées du Mégara” organisée dimanche 27 mars à la Marsa, verra la participation de plus de 6000 coureurs de nationalités différentes lors de cette manifestation qui comprend deux courses “la Marsoise” une course pour tous de 5 km et le semi-marathon, une course de 21,100 km.

Riadh Ben Zezia, président du comité d’organisation a précisé lors d’une conférence de presse tenue lundi matin à Tunis, que ce semi- marathon, qui figure dans le calendrier des compétitions de la fédération Tunisienne d’athlétisme, connait d’une édition à l’autre une affluence grandissante qui imposent aux organisateurs d’assurer les meilleures conditions de réussite, malgré la situation difficile et les évènements actuels dans le pays.

“Nous voulons, à travers cette manifestation adresser un message fort et montrer que notre pays demeurera une terre de paix, d’amitié et de fraternité. L’affluence grandissante des participants qui atteint cette année plus de 6000, alors que nous avons commencé à 300 lors de la première édition, est la preuve que ce semi-marathon fait désormais partie des plus importantes courses sur routes organisées en Tunisie en nombre des participants” a-t-il affirmé.

“Nous avons pris toutes les dispositions nécessaires aux plans sécurité, technique, logistique et médical pour assurer le succès à cette manifestation qui est devenue un rendez-vous convivial pour les amateurs du sport, de la culture et de la fraternité.

La 8e édition connaitra cette année la participation de nombreux athlètes étrangers d’Algérie, Maroc, Egypte, France, Etats-Unis, Italie, Jamaique, Allemagne, Brésil, Chine, Japon, Espagne, Inde, Angleterre, Irlande, Russie et Suède, a ajouté Riadh Ben Zezia, soulignant qu’elle verra l’introduction du chronométrage électronique autonome, qui son site à faire endosser aux coureurs du semi-marathon des dossards électroniques.

Des prix en nature seront remis aux trois premiers (1100 dinars pour le vainqueur, 800 pour le deuxième et 600 dinars au troisième, a-t-il enfin ajouté.

Le départ du semi-marathon se fera à 9h00 sur l’avenue Habib Bourguiba à la Marsa et les coureurs traverseront les rues de la Marsa avant de se diriger vers Carthage, Sidi Bou said puis Gammarth avant le retour sur l’avenue Habib Bourguiba.

Inscriptions La Marsoise (5km)  : http://www.lesfouleesdumegara.com/la-marsoise-5-km

Inscriptions Semi-Marathon (21.1km) : http://www.lesfouleesdumegara.com/semi-marathon

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Pour Badi, ce viol a des avantages, tel que la stimulation de la conscience chez les parents ainsi que le degré de vigilance dans les crèches, garderies et jardins d’enfants.

Sihem Badi qui n’a pas encore fini de nous étonner, ajoute qu’il n’y aucune preuve concrète et matérielle contre l’accusé de viol de la petite fille de trois ans.

Bravo Madame !

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La mère de la petite fille a démenti la version des faits donnée par la ministre de la Femme, Sihem Badi, samedi 23 mars, qui avait déclaré, à Esssabah News qu’elle est au courant de tous les détails du viol d’une jeune fille de 3 ans survenu dans un jardin d’enfants à La Marsa.

Selon elle, le viol a eu lieu en dehors du jardin d’enfants, « dans le cadre familial élargi », avait-elle soutenu. Avant d’ajouter que la direction du jardin d’enfants n’a rien à voir dans cette affaire alors que plusieurs cas du genre ont été signalé en 2012.

Par ailleurs, la ministre a signalé qu’elle continuera son travail à la tête de son ministère malgré les appels à la démission lancée suite au viol de la jeune fille.

Selon la mère, qui dit avoir réagi car la directrice du jardin d’enfants n’a toujours pas été inquiétée, l’agresseur ne fait pas partie de la famille et a été arrêté.

Le juge d’instruction de Tunis a émis un mandat de dépôt à l’encontre du gardien du jardin d’enfants à La Marsa, accusé d’avoir violé la petite fille. Il sera déféré devant la chambre criminelle pour répondre de ses actes. Il risque la peine de mort.

ABM
Source DirectInfo

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Début février, “Vi, pour la nature” a ouvert à La Marsa une petite boutique aux couleurs acidulées, aux jolis messages écolos sur les murs.

« Vi, pour la nature » est un espace de vente et d’échanges qui s’inscrit dans une démarche de commerce équitable et de développement durable. Les produits y sont bio et/ou 100% naturels.

Ecologiste depuis son plus jeune âge, Yousra Chaibi, la propriétaire du lieu, ingénieur agronome de formation, est convaincue que notre santé passe par notre assiette. Proposer des produits bio, sains est pour cette experte, qui connaît bien les effets des pesticides, plus qu’une tendance, un véritable enjeu.

Mais elle insiste, la petite boutique se veut plus qu’un simple commerce, un lieu d’échanges dans lequel elle programme d’organiser des workshops autour de l’écologie. Yousra veut créer un véritable réseau à travers toute la Tunisie, qui permettra non seulement de soutenir la micro-économie locale mais aussi de développer l’offre en augmentant la demande, et d’aider les producteurs de produits bios à se faire connaître.

Dans cette logique, « Vi, pour la nature » privilégie les produits locaux, ce qui est importé n’existe pas sur le marché local.

Vous trouverez dans ce petit espace de quoi déguster de bons plats : légumes de saison, pâtes, herbes sèches, chocolat, huile d’olive et condiment, épices, œufs… mais aussi des produits d’entretien pour la maison, des lignes de cosmétiques. Il y a également un rayon de produits diététiques à base de soja, sans gluten et sans sucre pour les personnes ayant besoin d’un régime spécial.

Enfin, on trouve des objets d’artisanat local, bois d’olivier de Sidi Bouzid, terres cuites de Sejnane, paniers de Tozeur qui s’inscrivent parfaitement dans l’idée du commerce équitable et solidaire.

Autre petit détail qui compte, pour les gens pressés, on peut commander son panier de produits frais à l’avance et profiter ainsi des arrivages… car la boutique a beau être toute nouvelle, elle a déjà énormément de succès. Il faut dire que les légumes sont particulièrement savoureux, que le pain au blé intégral (uniquement le mardi sur commande) est un délice. Plein de bonnes raisons donc de se déplacer pour aller faire un  petit tour dans la nature marsoise !

Vi, pour la nature, 6, rue Abdelhafidh El Mekki, 2078 La Marsa (à côté du marché municipal de la Marsa), tél : 71 727 111 – contact@concept-vi.com.tn 

Z comme Zohra

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Le PLUG est un lieu incontournable de la scène alternative sur Tunis, situé au deuxième étage de Kobbet el hawa à la Marsa.

Le Plug est tout un concept, ouvert du lundi au samedi dès 15H, vous pouvez bouquiner, grignoter, vous connecter via le wifi et surtout venir boire un verre entre amis. C’est dans une ambiance décontract que vous serez entouré des quatre mousquetaires des lieux : Khaled alias « Le bougé bougé »,Haythem alias « Ogra », Zof alias «  Maitre Ninja » et le dernier Fawziman alias « l’ancêtre », leur devise c’est une citation de l’humoriste français Coluche « Tous Unis, tous pourris ! ».

Ce projet est né d’une envie d’Haythem Achour (Ogra) de créer un espace dédié aux musiques actuelles amplifiées. Ogra est issu du milieu du cinéma et de la musique, c’est aux détours de ses nombreux voyages qu’il a voulu en quelque sorte partager son expérience et faire découvrir la musique contemporaine. « A mon retour en Tunisie, j’ai voulu tout d’abord monter une école de musique actuelle amplifiée, ce projet est actuellement en suspens car je me consacre a faire vivre ce lieu qu’est « Le Plug », ce qui me prends beaucoup de temps. »

C’est ainsi qu’en parallèle de son collectif d’artistes de DJs« Waveform »qu’est venu s’ajouter « Le Plug », ces deux projets sont complémentaires, ils sont le fruit  d’une volonté commune de faire la fête autrement et de créer un lieu de rencontre avec une véritable programmation artistique et non pas juste de l’animation. Au programme pour cette année, la découverte  de nouveaux artistes, des projections de films, des expositions. Au niveau musical, des lives, des DJs set et une programmation riche de DJs et producteurs étrangers.

Le collectif  « WaveForm » s’est illustré auparavant par sa soirée « Under couvre feu » qui a réuni plus d’une dizaine de Djs, producteurs et Vj’s (vidéo jokey) de l’ensemble des collectifs tunisiens (Wfob, FRD, Komet records, Tenchnomusic.tn …). Cette soirée à but caritative fut un énorme succès ! De plus Ogra a également organisé une soirée à Paris «Over couvre feu » dans l’idée de promouvoir les Djs Tunisiens et d’avoir une visibilité de quelques disciplines (vidéo, mode, Dj). Le but étant de montrer que le pays possède une jeunesse active, qui prône une certaine universalité.

Ogra recherche sans cesse de nouveaux talents, son principal terrain de jeu est facebook «  Je répère sur Facebook, les personnes ayant un gout prononcé pour la musique et je lui propose de venir mixer durant une soirée,  « Le Plug » est ouvert à tout le monde ! »

Au niveau de la déco, il n’existe pas un lieu semblable sur Tunis, toute la déco est le fruit d’une décoratrice Fatma Chammari qui a chiné et customiser les éléments pour donner vie à ce projet. Des coins salons sont dispersés un peu partout dans l’espace avec des bibliothèques, des lampes, tout y est fait pour se sentir comme chez soi

Je vous conseille vivement d’y aller faire un tour, de jour pour y boire un café avec une vue sur la mer, de nuit pour y boire un verre à la découverte de nouvelles musicalités.

Farah. B

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Elle est partie en voyage. En fait elle s’est carrément tapée l’incruste chez les autres. Polifema n’a peur de rien, elle n’a ni froid aux yeux ni froid aux fesses. C’est que Polifema est une gourmande. Elle a pris ses cliques et ses claques et elle est partie changer de vie. A croire que l’on rêve tous de la même chose. Cette demoiselle tout en formes et en rondeurs s’est invitée dans une quarantaine d’œuvres, histoire de multiplier les expériences.

Et c’est Michela Margherita Sarti qui est à l’origine du projet. « J’ai demandé à des artistes, dont j’aime le travail, de me donner des œuvres, et moi j’y ai ajouté mon personnage. J’ai aimé faire ses petites performances. Et j’ai aimé travailler sur différents supports avec différentes techniques. » Voilà comment on se retrouve avec une expo personnelle-collective.

Karim Kamoun, photographe, s’est prêté au jeu. « J’ai donné deux photos à Michela et le résultat me plaît. Elle a fait exactement ce que j’avais en tête ! »

« En fait, je me suis rendue compte que ça fonctionnait bien d’intégrer Polifema dans d’autres œuvres», raconte Michela.  Et effectivement, en balayant la salle des yeux, on voit bien que le style des œuvres change mais que Polifema s’adapte partout.

Florence Pescher a carrément écrit un livre : « La vie extraordinaire de Polifema », un journal qui retrace le parcours de la demoiselle. « Le travail de Michela, les incursions de Polifema dans le travail des autres m’a inspiré toute une vie. Je n’étais pas à l’aise avec l’idée de faire un tableau. Alors j’ai décidé de faire une création qui serait un mélange d’images et de mots», raconte Florence.

Une vie et un voyage en plusieurs séquences.  Polifema, la femme méditerranéenne cherche sa voie et cherche l’amour. Elle finit par rencontrer le tout à Paris.  En attendant, elle est en escale à La Marsa, galerie Efesto-Salon des artistes, jusqu’au 1^er mars.

Sana Sbouai

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