Les deux enseignes FNAC et DARTY ouvrent leurs portes au Centre commercial Carrefour Sidi Daoud-La Marsa.

Sur une superficie globale de plus de 2000 m², ces deux magasins juxtaposés sont spécialisés en biens culturels, de loisirs, de produits technologiques et d’électroménager.

Sur une superficie globale de plus de 1000 m², le magasin FNAC a dédié à sa clientèle un premier espace comprenant un choix éditorial de près de 35.000 titres en arabe, en français et en anglais (littérature, bande dessinée, ouvrages spécialisés, livres d’art…), aux côtés d’une place de choix réservée à l’édition tunisienne, constituant ainsi la plus grande offre culturelle du marché. L’objectif étant de contribuer au rayonnement de la culture sous toutes ses formes.

La deuxième moitié du magasin FNAC disposera d’une offre de produits les plus récents en High-Tech: informatique, téléphonie, son, vidéo, et image… Elargissant son offre aux petits gadgets innovants et design, aux jeux-jouets, à la papeterie, ou encore aux objets connectés, en plus de la mise en place de nouveaux services, la FNAC fait sans cesse évoluer son modèle pour répondre toujours mieux aux attentes de ses clients.

Par ailleurs, un service de billetterie sera mis en place pour permettre de réserver, d’acheter ou de retirer des billets pour les spectacles culturels, les festivals et les événements exceptionnels.

Un espace Forum à été prévu afin d’héberger les animations et événements culturels, y compris les dédicaces d’auteurs, talkshows et débats culturels…

Le magasin DARTY, quant à lui, proposera sur près de 1000 m² tous les produits et accessoires pour la maison en électroménager, image, son, multimédia et téléphonie, dont plusieurs marques en exclusivité. Son design se caractérise par un merchandising performant et innovant.

Les équipes en place ont bénéficié d’une formation technique très poussée afin de soigner particulièrement l’expérience client, en l’accompagnant dans sa découverte des produits, en le conseillant dans ses choix et en l’informant sur la valeur ajoutée de ses services.

DARTY Tunisie souligne qu’elle accordera une place prépondérante au service après-vente et au suivi dont sa clientèle bénéficiera sur toute la chaîne grâce à l’expertise et au savoir-faire de ses équipes, véritable marque de fabrique de l’enseigne.

L’ouverture de ces magasins a permis la création de plusieurs dizaines d’emplois directs dont une majorité de jeunes diplômés du supérieur, issus des ISET et des écoles de commerce.

D’autres ouvertures sont prévues prochainement, assurant la continuité du déploiement de FNAC DARTY sur les prochaines années, toujours dans le même esprit de proximité et de qualité au profit du client tunisien.

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Un prix littéraire inauguré par l’Académie Nationale de Cuisine en 1983

Rappelons que le Grand Prix de la Littérature culinaire, instauré par l’Académie Nationale de Cuisine en 1983, récompense chaque année différents types d’ouvrages et de sites internet. Il distingue les ouvrages publics et les ouvrages professionnels et d’enseignement et sépare les spécialités : cuisine/herbes/boulangerie-pâtisserie/cuisine créative…

And the winners are…

Cette année, parmi les ouvrages Grand Public, très vivement recommandés par l’Académie, notre très célèbre chef Rafik TLATLI recevait, dans la catégorie Cuisines du Monde, le Grand Prix de l’Académie Nationale de Cuisine, avec les félicitations unanimes du Jury, pour son ouvrage Saveurs de Tunisie, paru aux Éditions GESTE.

Jacqueline BISMUTH, quant à elle, toujours dans la sélection des ouvrages Grand Public, catégorie Cuisines du Monde, se verra remettre le Prix de l’Académie Nationale de Cuisine, qui recommande vivement la lecture de son Carnet de cuisine, Tunisie Gourmande, aux Éditions de La Martinière.

Notons également que l’ouvrage d’Amel Djait, écrit en collaboration avec la GIZ, Tunisiennes et Saveurs des Terroirs, a été nominé par l’Académie Nationale de Cuisine, dans la catégorie Cuisines du Monde.  Un geste fort voulu par l’Académie alors que l’ouvrage d’Amel n’est pas destiné au grand public !

« La délégation tunisienne de l’Académie Nationale de Cuisine est particulièrement fière de ce palmarès, où pour la première fois dans l’existence de ce fabuleux concours littéraire culinaire, deux Tunisiens accèdent à deux prix majeurs et où une Tunisienne est nominée pour son travail remarquable. Ce palmarès rayonne, une fois de plus, le tonus de notre art culinaire, qui palpite, non seulement à travers ses chefs, mais aussi à travers des auteures, passionnées de cuisine et oeuvrant pour la préservation de notre patrimoine culinaire tunisien. » déclarait Erich ALAUZEN.

Les diplômes seront officiellement remis aux lauréats lors du Salon EUROPAIN qui se tiendra à Paris du 3 au 6 février prochain.

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“Maman je n’aime pas CETTE école”. Le jeu de mots est voulu, le titre est écrit par un enfant de 6 ans, tient à préciser Sondes Khalifa, professeur et auteur de cet ouvrage pédagogique qui peut servir de guide pour des parents désorientés dont les repères éducationnels ne correspondent pas aux besoins et aux exigences de leurs progénitures. La haute technologie est passée par là, les enfants sont hyperactifs, de plus en plus attirés par les IT et ne se retrouvent plus dans les schémas et cursus classique de l’enseignement. 

Pour Sondes Khalifa, «il s’agit de mettre en lumière les défaillances du système qui uniformise, inhibe les compétences propres et tue la créativité… or c’est exactement ce que demande l’économie actuelle et encore plus celle de demain».

L’ouvrage est bien écrit, langage simple et châtié, il est accessible à tous à condition que l’on prenne la peine de se le procurer.

L’auteur explique: «j’ai écrit ce livre pour vous, parent. Vous dont l’enfant ne veut pas aller à l’école, invente mille raisons à 8h moins quart pour ne pas monter dans la voiture, il a mal au ventre, il va vomir… C’est psychosomatique, vous dira le médecin. Vous, qui ne comprenez pas pourquoi votre enfant est agressif, pourquoi il n’aime pas aller à l’école, pourquoi il est timide, nerveux ou colérique. Adolescent, il sèche les cours. A la fac, il veut arrêter les études, il vous dit que de toutes les façons c’est le chômage qui l’attend et que ça ne mènera à rien. Vous ne savez pas quoi lui dire, vous sentez de l’amertume et de l’impuissance. J’écris pour les centaines de parents que j’ai rencontrés et qui sont plongés dans le désarroi. Les parents de mes étudiants, qui regardent avec un immense chagrin leurs enfants diplômés passer leur temps sur les terrasses des cafés et devant la télé, réalisant que le diplôme pour lequel ils ont donné leurs vies ne vaut pas grand-chose.

Jeune étudiant ou à la recherche d’un emploi, parent, enseignant ou décideur, je n’ai pas pour ambition de vous convaincre de la toxicité du modèle éducatif en place, d’autres l’ont très bien fait dans le passé, avant même que je sois née. J’ai écrit avec le cœur, en espérant donner une vision d’avenir et un espoir à ceux qui les ont perdus».

L’auteur interpelle également ses collègues, enseignants et décideurs car ils sont la responsabilité de la réforme du système éducatif.
Elle fustige également le corps enseignant faisant preuve de beaucoup de courage face à un syndicalisme corporatiste destructeur: «Vous enseignants, vous pouvez détruire une personne avec, un mot, une note. Vous pouvez également déclencher l’envie de vivre et de faire, un élan vers un domaine ou un métier particulier, avec des mots et des gestes simples».

Pr Khalifa n’a pas exclu les élèves et les étudiants de son ouvrage: «pour que vous choisissiez en conscience l’autoroute que vous allez prendre. Car à l’autoroute, on ne peut pas faire marche arrière, ni même ralentir. Je pense à ces étudiants qui ont investi toute leur énergie dans le copier-coller d’une masse de théories figées et de travaux (bien) dirigés. Licence ensuite mastère, pour revenir vers moi en disant avec amertume “Si seulement je savais, si quelqu’un me l’avait expliqué, je n’aurais jamais emprunté cette voie“».

L’auteur revient sur un constat fait depuis plus d’une décennie dans notre pays, le diplôme n’assure pas la qualification ou la compétence. «Aujourd’hui la qualification ne s’obtient plus via l’école, mais via d’autres circuits encore peu visibles et peu fréquentés, dont les centres de formation professionnelle, les centres de formation à l’intérieur même des entreprises, et même sur le web: un monde de possibilités encore inconnues par la majorité des jeunes».

Elle conclut en disant que le monde est en train de changer et que l’on accompagner son évolution.

Le livre est fait en 3 temps: d’abord des scènes de vie qui reflètent les limites du système (du primaire au supérieur). Ensuite un arrêt sur image sur cette génération de “digital natives” et de la transition (éco- géo-politico-climatique) en cours. Enfin des pistes pour booster l’initiative privée dans notre pays en remédiant aux causes originelles qui l’inhibent, depuis le départ, c’est-à-dire sur les bancs de l’école, mais aussi pour repenser l’école/l’éducation en fonction des enjeux du monde de demain (vert- collaboratif et solidaire) ou noir (comme le pétrole) compétitif et prédateur).

Amel Bel Hadj Ali

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Seulement 15% des tunisiens possèdent un livre chez eux, à part les magazines, journaux, livres scolaires et le Coran. Le même sondage fait ressortir que les femmes lisent plus que les hommes de 6% ( 21% femmes et 15% les hommes cours des 12 derniers mois.

A noter que ce sondage a été effectué entre le 24 et le 27 mars 2016, sur un échantillon de 1000 personnes, issues des 24 gouvernorats tunisiens.

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Agée de neuf ans, Maissa Ben Mim, élève non voyante, est venue en compagnie de son père au siège de l’association « Dar El Mourabi » (maison de l’éducateur) à Tunis pour recevoir le deuxième prix du concours national du jeune romancier (édition 2015).

Maissa a été récompensée pour son roman intitulé « Alaa yaghrissou chajara » (Ala plante un arbre), une oeuvre écrite en Braille.

Bien que souffrant de cécité, Maissa a réussi à transcender son handicap qui ne l’a pas empêchée d’être joyeuse et d’afficher un sourire permanent qui a séduit la foule venue découvrir ses talents et admirer son courage et sa persévérance.

En recevant son prix, Maissa est, désormais, persuadée qu’elle représente un vrai projet de romancière talentueuse.

Interrogée par la TAP, elle a fait part de sa joie immense et débordante, se disant résolue à participer aux prochaines éditions de ce concours et à rafler davantage de prix et de récompenses. « Je remercie Dieu, a-t-elle dit d’avoir pu, malgré mon handicap, réussir dans mon parcours scolaire et me consacrer à ma passion, l’écriture des romans ».

De son côté, le chef de service des affaires des élèves à la direction générale du cycle primaire au ministère de l’Education, Maha Ben Mohammed, a déclaré à l’Agence TAP que la troisième édition du concours national du jeune romancier a été marquée par la participation d’élèves de l’école des non voyants de Sousse dont la petite Maissa qui a remporté le deuxième prix.

La jeune candidate, a-t-elle dit, a participé à ce concours en déposant deux copies de son roman, l’une éditée en langue arabe et l’autre en Braille ».

Pour le premier prix du concours, il est revenu à l’élève Nour Ben Mouallam, âgée de six ans et originaire du gouvernorat de Sfax pour son roman intitulé « Nour wal Kitab » (Nour et le livre), alors que le premier prix du roman en langue française a été décerné à l’élève Mariem Boukadder, âgée de 11 ans et originaire du gouvernorat de Ben Arous, pour son roman « je danse avec ma Tunisie ».

« Les romans primés sont bientôt édités et seront disponibles sur le marché », assure Maha Ben Mohammed.

De son côté, le ministre de l’éducation, Néji Jalloul a déclaré aux médias qu’il est « important de valoriser ces compétitions dans l’enseignement primaire et qu’il importe de les généraliser à toutes les écoles ».

« L’objectif ultime de la réforme éducative étant de ramener l’enseignement à ses origines et à favoriser l’attrait de l’élève pour son école », a fait savoir le ministre, appelant le cadre éducatif à oeuvrer davantage en vue de multiplier ce type de compétitions dans les différentes régions du pays. »

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La façon dont adorable Emmett , un petit bébé de 10 mois réagit quand ses parents finissent de lire l’histoire : comme si c’était une tragédie. La suite en vidéo.

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Histoire, témoignages, photos et souvenirs sont contenus dans le nouvel ouvrage «Tunisiennes et Révolution: Le combat des femmes», édité en septembre 2015 chez «Simpact», par le journaliste tunisien Moncef Ben M’rad, qui a été présenté, vendredi lors d’une conférence de presse à El Teatro à Tunis.

Paru dans une édition élégante, ce nouvel ouvrage comporte deux parties co-écrites avec la participation de 25 femmes tunisiennes de tous les horizons, dont plusieurs d’entre elles ont assisté à la séance de présentation.

Une partie en langue arabe de 85 pages et une autre partie en langue française de 58 pages sont illustrées de textes et photos avec des pages non numérotées contenant des photos en couleurs.

Les photos contenues dans le livre sont l’oeuvre de plusieurs photographes tunisiens, tels que Mokhtar Hmima et Karim Kamoun. D’autres photos sont tirées de l’encyclopédie du net Wikipédia. Sonia Ben M’rad, Selma Baccar, Noura Borsali, Maya Jeribi et Leila Toubel figurent sur la liste des treize femmes qui ont écrit les textes en français, alors que la partie arabe du livre est signée par douze femmes dont Olfa Youssef, Lina Ben Mhenni et Raja Ben Slema.

Dans la partie en arabe, près de 56 femmes parmi d’autres issues des différentes régions du pays sont présentées en tant qu’héroïnes et militantes ayant largement contribué à l’indépendance du pays et à l’émancipation de la femme en inscrivant ses droits dans le Code du statut personnel (CSP) et la Constitution.

Selon Ben M’rad, il s’agit d’un livre d’art en trois parties en langue française -où les rédactrices reviennent, dans un style narratif, sur l’histoire d’Elyssa en passant par la Kahéna jusqu’à arriver à B’chira Ben M’rad.

La seconde partie du livre s’attarde sur la résistance de toutes celles qui ont contribué à sauver le pays au lendemain de la Révolution de 2011.

En plus des textes, la troisième partie est agrémentée de photos, en couleur et en noir et blanc, de centaines de milliers de femmes. Des photos de l’histoire moderne de la Tunisie qui illustrent la dynamique et le combat de la femme tunisienne, toutes générations confondues, et de tous les niveaux socioculturels, notamment durant les 4 dernières années qui ont suivi la Révolution du 14 janvier 2011.

Le livre se veut surtout «un hommage au militantisme de la femme tunisienne qui a participé à ancrer l’identité de ce pays enraciné dans son histoire millénaire», a soutenu Ben M’rad qui a assuré la coordination entre les différents textes avec l’assistance de Chiraz Ben M’rad Tlijani.

Une séance de présentation-dédicace de «Tunisiennes et Révolution: Le Combat des Femmes», est prévue le 18 septembre à El Teatro.

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Conscients des fléaux sociaux qui peuvent affecter nos enfants et nos jeunes comme la violence, l’incivilité, ainsi que l’existence de rapports conflictuels entre les citoyens, et dans le but de la promotion des valeurs de citoyenneté, de tolérance, de dialogue, du respect de l’autre et le respect de la loi, l’association Kolna Tounes et l’association AIDAS (Association Internationale pour le Développement des Apprentissages Scolaires) organisent en collaboration avec la Maison d’éditions CELI, une action citoyenne intitulée : « Livre, Citoyenneté et Solidarité » qui sera mise en œuvre du 14 Aout au 31 Octobre 2015.

Cette action, soutenue par plusieurs  entreprises tunisiennes, consiste à publier une bande dessinée pour les enfants et les adolescents. La Bande dessinée intitulée « Objectif Terre », montre la différence entre deux états : un état de loi et un état anarchique, et ce pour sensibiliser les jeunes quant à l’importance des droits et des obligations dans un état de droit.

Le tirage de cette bande dessinée sera de 4000 exemplaires, lesquels seront mis en vente à partir  du  14 Août 2015. 2000 exemplaires seront vendus aux rayons des librairies et 2000 autres seront distribués gratuitement lors de l’organisation des Ateliers de la Citoyenneté dans une vingtaine d’écoles primaires de différentes régions de la Tunisie. Ces ateliers comprendront des séances de lecture collective de la bande dessinée, une occasion pour les enfants d’exprimer leurs visions à propos des valeurs citoyennes. Des ateliers de dessin et de théâtre compléteront le programme de ces ateliers pour une meilleure assimilation des notions que présentera l’association aux enfants tunisiens.

« Enfants d’Aujourd’hui, Citoyens de Demain »

Les bénéfices des ventes de la bande dessinée seront utilisés pour fournir 350 lots de fourniture scolaire pour les enfants nécessiteux et ce pour les besoins de la rentrée scolaire 2015-2016. Les lots qui seront distribués comprendront en grande partie des cahiers SELECTA. En effet, l’association Kolna Tounes a construit, dans le cadre de son programme,  un partenariat avec l’entreprise SOTEFI fabriquant des cahiers SELECTA pour véhiculer des messages servant à promouvoir les valeurs de la citoyenneté. Le support des cahiers scolaires SELECTA a été choisi et 200 000 cahiers portant le slogan « Enfants d’Aujourd’hui, Citoyens de Demain » ont ainsi été conçus et fabriqués spécialement pour soutenir l’association dans son action de sensibilisation et de solidarité.

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Pour beaucoup d’entre nous ayant grandi dans l’ère du numérique, les livres deviennent rapidement une sorte d’antiquité dans nos maisons – au moins dans leur format physique.

Assoiffés de plus de connaissances, nous sommes constamment à la recherche de façons les plus rapides et les plus efficaces pour consommer la connaissance; de ce fait, avec l’Internet, les livres physiques deviennent lentement une chose du passé et surtout pour la prochaine génération. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas ceux d’entre nous qui préfèrent acheter la copie physique que la télécharger à partir du Web.

Bien que nous ne puissions pas avoir assez de livres physiques pour remplir une bibliothèque, nous pourrions certainement bénéficier de serre-livres sympas pour aider à garder nos livres organisés sur l’étagère. En dépit du déclin des ventes de livres physiques, il y  a une expansion de ces accessoires de rangement.

En voici une petite  sélection insolite que vous pouvez adopter et adapter à vos goûts de décoration.

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Le livre :

« Avec l’espoir de voir mon livre sortir les pouvoir publics de leur inertie, je me résigne pour le moment à observer qu’en 58 ans d’indépendance, la Tunisie n’a pu donner au monde des sportifs que deux champions olympiques: Mohamed Gammoudi et Oussema Mellouli. Peu, trop peu en comparaison avec d’autres nations émergentes. La faute a toujours été imputée à tort au manque de moyens financiers. La réalité c’est que le sport profite encore sous sa forme de propagande aux régimes autoritaires et autocratiques.

Il n’a pas encore connu un progrès substantiel et ne risque pas de le connaître, tant que l’on s’accorde par convention, à le larguer entre les mains de bénévoles absents, peu généreux, pas connaisseurs, indifférents, oisifs et matérialistes. » Khadija Mellouli.

L’auteure :

Khadija Oueslati Zribi, épouse Hédi Mellouli, est née à Dachrat Boujlida, village du Nord-Ouest de la Tunisie. Elle intègrera plus tard l’Ecole normale de Carthage Présidence après avoir réussi le concours d’admission pour consacrer 37 années de sa vie à l’enseignement, suite auxquelles elle occupera le poste  de directrice de l’école de base Habib Bourguiba à la Marsa, école où elle fut inscrite comme élève en 1961.

Passionnée de lettres et de sport, elle conjuguera ses deux passions pour écrire ce livre- témoignage retraçant la vie d’une famille qu’elle a voulue exemplaire.

Le livre est disponible en librairies et sur ceresbookshop.com

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