Le Centre National des Technologies en Education (CNTE), annonce aux enseignants, parents et élèves le lancement de la plateforme “l’école virtuelle tunisienne” sur le lien : https://evt.cnte.tn

L’école virtuelle est une plateforme éducative destinée à tous les intervenants du système éducatif : élèves, parents et enseignants, disposant de plusieurs services numériques éducatifs organisés dans des espaces dédiés en fonction des cycles, des niveaux et des disciplines, précise le CNTE sur sa page Facebook.

L’école virtuelle tunisienne offre, notamment, l’espace des apprentissages à distance.
C’est un espace pour les classes virtuelles où les enseignants et les élèves peuvent interagir ensemble, soit d’une façon synchrone dans des visio-conférences et travailler d’une façon collaborative sur des documents partagés, soit de façon asynchrone en s’échangeant les documents, les activités et liens et en discutant dans les forums disciplinaires entre eux et avec leurs enseignants respectifs.

Il s’agit aussi d’une bibliothèque virtuelle, qui est un espace qui recense les ressources pédagogiques libres confectionnées par les enseignants tunisiens et validées par les inspecteurs pédagogiques. Ces ressources sont classées et répertoriées selon les standards éducatifs afin de faciliter la recherche et l’indexation, ajoute la même source.

On trouve également, un espace de révision pour les classes terminales meublé par des séquences vidéo de révisions pour les élèves du baccalauréat, la neuvième année et la sixième année primaire. En plus d’un espace dédié au cycle primaire et préparatoire offrant une panoplie d’activités interactives, des ressources audio-visuelles et des livres scolaires pour l’accompagnement scolaire.

Une banque de ressources éducatives partagées par des enseignants, est également disponible, sous forme de devoir et des séries accompagnées par leurs corrections.

Cette banque offre aussi les anciennes séquences vidéo de révision diffusées par la chaîne de télévision nationale.

L’école virtuelle offre également, un espace hébergeant les sujets d’examens nationaux ainsi que leurs corrections.

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L’inscription à distance dans les collèges et lycées secondaires sera prolongée de 48h et se poursuivra jusqu’au 14 septembre 2018 à minuit, a annoncé un communiqué publié mercredi par le ministère de l’éducation.

Tous les élèves qui ne se sont pas encore inscrits à distance doivent régulariser leurs situations dans les délais fixés pour pouvoir rejoindre leurs établissements scolaires le 15 septembre 2018 dans de bonnes conditions, ajoute le communiqué.

Le ministère précise qu’il a été décidé de prolonger les délais d’inscription pour permettre à tous les élèves de s’inscrire puisque cette opération est obligatoire et il n’existe pas une autre alternative.

Selon la même source, 90% du total des élèves se sont déjà inscrits à distance.

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Le ministère de l’Education a annoncé que l’inscription pour les collégiens et les lycéens va devenir en ligne à partir de cette année scolaire 2017-2018.

Les élèves pourront s’inscrire grâce à leur ordinateur ou leur téléphone portable à partir du 29 août 2018.

Les élèves n’auront plus à acheter les enveloppes et les timbres postaux auprès des bureaux de la poste tunisienne. Le courrier hybride sera le moyen d’envoi des bulletins de notes aux élèves et le service web Télégram servira aux correspondances destinées aux parents des élèves.

L’inscription pour collégiens et lycéens tunisiens se fera donc uniquement via internet sur le site www.inscription.education.tn ou bien en s’inscrivant sur le service de payement mobile par téléphone portable.

Les frais d’inscription comporteront des frais au profit du ministère de l’Education, ainsi que des frais pour le traitement et l’envoi des bulletins de notes et des correspondances destinées aux parents au profit de la poste tunisienne estimés à 3 dinars.

Inscription en ligne sur le web :

Inscription en ligne sur téléphone mobile:

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Les résultats de la deuxième enquête sur la consommation des stupéfiants en milieu scolaire en Tunisie ont révélé que 31% des lycéens dont la tranche d’âge est comprise entre 15 et 17 ans ont consommé au moins une fois dans leur vie une drogue (Cannabis, médicament, colle, cocaïne, Subutex, Ecstasy).

“Ce taux était de l’ordre de 25% en 2013, lorsque la première enquête sur la consommation des stupéfiants dans le milieu scolaire a été menée”, a indiqué, jeudi, la directrice générale de l’Institut National de la Santé, Hajer Aoun Allah Skhiri, en marge du 1er congrès international d’addictologie en Tunisie.

Menée au cours de la deuxième moitié d’octobre 2017 par l’Association Tunisienne de la médecine des toxicomanies en collaboration avec l’Institut National de la Santé et du groupe Pampidou relevant du Conseil de l’Europe, cette enquête a ciblé un échantillon constitué de 7400 élèves de 15 à 17 ans scolarisés dans des lycées publics et privés.

La directrice générale de l’Institut National de la Santé a indiqué que ce fléau est lié à l’état psychologique de l’élève, précisant que la consommation des stupéfiants chez ce dernier est d’autant plus grande s’il souffre de troubles psychologiques.

Sur un autre volet, elle a fait savoir que la consommation du Cannabis s’élève à 3.8% chez les garçons et à 0.2% chez les filles.

La consommation de l’Ecstasy s’élève, quant à elle, chez les garçons à 1.2% et à 0% chez les filles.

Selon la même source, le reniflement de la colle s’élève à 1.6% chez les garçons et à 0.5% chez les filles, ajoutant que 17.7% des élèves se procurent ces substances au sein des établissements éducatifs.

Et de préciser que 33% des élèves se l’approvisionnent dans les endroits avoisinant les établissements.

La responsable a souligné que l’objectif de cette enquête est de lancer un cri d’alarme sur la gravité de la situation qui requiert l’implication de toutes les parties prenantes afin d’améliorer l’environnement éducatif.

Le ministre de la Santé, Imed Hammemi a indiqué, que son département œuvre actuellement à réviser les législations dans ce domaine qui remontent à 25 ans, les qualifiant d”obsolètes”.

Il a ajouté que le nouveau projet de loi soumis depuis 2015 à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et qui vise à prévenir la consommation des stupéfiants est de nature à considérer la toxicomanie comme une maladie.

Le ministre a, dans ce contexte, souligné la nécessité d’accorder l’intérêt requis aux centres de médecine des toxicomanies à l’instar du centre Djebel Ouest dont les activités démarreront prochainement.

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Un élève a été poignardé à l’abdomen, vendredi matin, dans la cour du lycée ” Ahdath ” à Douar Hicher (gouvernorat de Manouba), par un individu cagoulé qui s’est introduit dans l’établissement avec un complice, avant de prendre la fuite, selon le témoignage des enseignants et élèves qui étaient présents.

L’élève (inscrit en 4e année secondaire) a été transporté d’urgence par une unité de la protection civile à l’hôpital local d’Ettadhamen, puis transféré à l’hôpital Rabta. Son état de santé est stationnaire, selon le cadre médical de l’hôpital.

L’incident a provoqué un état de panique au lycée. Les cours ont été suspendus pour protester contre l’intrusion répétée d’inconnus menaçant les élèves, les enseignants et les surveillants, affirme à l’agence TAP le secrétaire général du syndicat de base de l’enseignement secondaire à Douar Hicher, Hassan Arfaoui.

Des agents de la Garde nationale ont ratissé les lieux à la recherche des assaillants. Une enquête a été ouverte.

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Quelque 2 millions 88 mille élèves répartis sur un ensemble de 6093 établissements éducatifs retrouveront vendredi les bancs de l’école.

Une hausse de 41 mille élèves par rapport à l’année écoulée a été enregistrée pour cette nouvelle année scolaire 2017/2018, selon les statistiques fournies lors d’un point de presse tenu jeudi au siège du ministère de l’éducation.

Le nombre global des élèves inscrits dans les cycles préparatoire et primaire est estimé à 1 million 185 mille élèves répartis sur 4581 écoles primaires, selon le Directeur Général du cycle primaire, Kamel Hajjem, qui a annoncé à cette occasion la création de 355 nouvelles classes préparatoires accueillant jusqu’à 6517 écoliers.

Il a également annoncé la mise en place d’une école numérique dans 52 établissements de l’enseignement primaire.

S’agissant des travaux de construction et restauration des établissements éducatifs, le responsable a fait savoir que les travaux de réalisation de 13 écoles primaires dont le coût estimé à 4.5 millions de dinars viennent d’être achevés.

“D’autres travaux d’extension de 174 écoles moyennant un coût global estimé à 11 millions de dinars viennent également d’être réalisés alors que les projets de maintenance ont ciblé 154 écoles primaires et coûté 20,7 millions de dinars”, a-t-il ajouté.

Pour ce qui est des élèves inscrits dans les cycles secondaire et de base, leur nombre a atteint prés de 902 mille 595 élèves répartis sur un ensemble de 1512 établissements, selon le Directeur Général des cycles de l’enseignement de base et du secondaire, Mondher Dhouib.

Il a annoncé, par ailleurs, la construction de 4 établissements éducatifs dont 3 lycées, précisant que le coût de ces établissements a atteint 12.750 millions de dinars.

Sur un autre volet, le Directeur de l’Office des Œuvres scolaires, Tarek Loussif, a indiqué qu’une enveloppe de 40 millions de dinars a été consacrée aux services d’hébergement, dont 7 millions de dinars ont été allouées aux bourses scolaires dont bénéficieront 60 mille élèves.

Il a également annoncé la création de deux foyers et de 45 cantines scolaires et la réhabilitation de 6 autres foyers, ajoutant qu’un repas sera offert à 353 mille élèves des différents cycles.

Six complexes sportifs et culturels scolaires ainsi que 150 fermes pédagogiques ont été également crées, selon le même responsable

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Le ministère de l’Éducation a publié sur sa page Facebook une circulaire rappelant l’interdiction de fumer au sein des établissements scolaires -dans la cour, les salles de classe, les ateliers, la salle des professeurs, les bureaux administratifs et les sanitaires; les buvettes dans les établissements scolaires n’ont pas le droit de vendre des cigarettes aux élèves sous peine de se faire retirer le droit d’exploitation.

Le directeur des établissements scolaires peut mettre à la disposition exclusive des fumeurs -parmi le cadre éducatif et les agents- un fumoir.

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La goute de trop est venue quand son fils de 10 ans passe jusqu’à trois heures par jour à faire ces devoirs à la maison. “Si il ne finit pas, le lendemain, à l’école, il ne sera pas autorisé à jouer,” a confirmé la maman Eva à la chaine BBC.

La mère espagnole a lancé une pétition sur Change.org pour demander au gouvernement de réglementer les devoirs – un appel à l’action qui a fait de l’écho sur Facebook.

Bailen a trois enfants – âgés de 8, 10 et 12 ans-, qui vont tous à la même école primaire, mais ils n’ont pas tous la même quantité de devoirs. “Le problème en Espagne est que le fardeau de devoirs est à la charge de chaque enseignant“.

Sa campagne a quelques partisans improbables. Lorsque Alfonso Gonzalez, enseignant du secondaire, a entendu parler de la pétition, il a non seulement signé, mais il lui a envoyé aussi une confession dont il avait écrit aux enseignants de sa fille. «Je l’ai fait pour ma fille, en l’aidant à faire ses devoirs et je ne le regrette pas! Je l’ai fait parce que je voulais qu’elle ait une enfance heureuse et dix heures de sommeil la nuit”, écrit-il. “Je dirais que grâce à cela, ma fille est maintenant une adolescente en bonne santé, et une grande athlète qui aime lire.”

«Je crois que les devoirs sont un non-sens,… J’ai l’habitude d’avoir cette conversation avec les enseignants de ma fille et ils me disaient qu’un jour elle serait reconnaissante. Eh bien, maintenant, je leur dis qu’ils ont donné ces bonnes notes aux devoirs que je faisais“, a-t-elle déclaré à la BBC.

Jorge Casesmeiro, un membre de l’Association des enseignantes et enseignants de Madrid, dit que le débat sur les devoirs est un problème récurrent qui ravive chaque fois que quelqu’un le soulève. “Ce que nous avons ici [en Espagne] est une tradition de distribuer de devoirs. Mais il est un fait que trop de devoirs est préjudiciable.”

Selon le Programme international pour le suivi des élèves (PISA), il y a une corrélation entre le nombre d’heures que passe un élève à faire ses devoirs, les examens et les résultats. “Mais si l’étudiant passe son temps à faire trop de devoirs, l’effet cesse d’être positif“, explique Daniel Salinas, chercheur à PISA. “Après quatre heures de devoirs par semaine, ce temps n’est plus significatif.” La moyenne en Espagne est de six heures par semaine – le même qu’aux Etats-Unis, et une heure de plus qu’au Royaume-Uni.

D’autres prennent un point de vue différent. Jose Miguel Campo, un membre de l’Ordre professionnel de l’Éducation de Madrid, concède qu’il y a un manque de cohérence entre les classes. Pourtant, il estime que les devoirs de maison sont importants pour le processus d’apprentissage d’un enfant. “Personnellement, je crois qu’il est important de développer la capacité de faire un travail à la maison, et je ne pense pas que six heures par semaine soient excessives“, dit-il.

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Après des négociations marathon, un accord final a été signé lundi soir entre le ministère de l’Education et le Syndicat général de l’enseignement secondaire. En vertu de cet accord, trois nouveaux grades en faveur des enseignants ont été créés.

L’accord prévoit également de faire bénéficier le corps des enseignants du secondaire, tous grades confondus, de deux promotions exceptionnelles sur dossiers pour la période allant du 1er janvier 2015 au 1er janvier 2017. Il a été convenu aussi d’augmenter la prime mensuelle spécifique prévue par l’arrêté n° 3759 de l’année 2013.

Cette bonification d’un montant additionnel de 150 dinars sera répartie comme suit: -50 dinars à partit du 1er juillet 2015 -50 dinars à partir de janvier 2016 -50 dinars à partir de janvier 2017 Malgré le temps qu’ont pris les négociations, le ministère de l’Education et le Syndicat de l’enseignement secondaire sont parvenus à un accord «historique qui balisera le terrain à la réforme du système éducatif», a déclaré le ministre de l’Education, Néji Jelloul, à l’agence TAP, à l’issue de la signature de l’accord final.

S’agissant du calendrier des examens scolaires, le ministre a fait savoir qu’il sera procédé au rattachement du premier et deuxième trimestres en comptabilisant les meilleures notes, assurant que les examens nationaux et le reste de l’année scolaire se poursuivront normalement.

De son côté, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Maher Ben Dhia, a indiqué que les négociations-marathon étaient tumultueuses, mais s’étaient déroulées dans un climat démocratique avec le souci de trouver des solutions appropriées pour la famille éducative.

Pour sa part, le ministre des Affaires sociales, Ahmed Ammar Youmbai, a estimé que «la réforme du système éducatif n’a pas de sens, si le professeur n’a pas la place qui lui est due dans la société».

Le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Mouldi Jendoubi, a, quant à lui, souligné que la détermination du Syndicat général de l’enseignement secondaire à réaliser cet acquis n’avait pas une pure motivation financière. Le but était, selon lui, de réussir la réforme du secteur de l’éducation.

Pour le secrétaire général du Syndicat de l’enseignement secondaire, Lassad Yaacoubi, la foi des enseignants en la légitimité de leurs revendications puise dans la volonté de défendre leur dignité et de répondre aux campagnes de dénigrement dont ils sont la cible.

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Dans la semaine du 9 au 14 mars 2015, 9.247 professeurs ont été absents et n’ont pas assuré leurs cours. Alors que le mouvement de grève était censé être limité aux examens de la semaine bloquée.

On se rend aujourd’hui compte du fossé entre la réalité du militantisme syndical des enseignants et les valeurs du travail qu’ils sont censés inculqués aux générations futures.

Aujourd’hui on assiste à un véritable massacre de l’enseignement et des valeurs auxquels les parents ont tout sacrifié.

Les dernières déclarations de Lassaad Yaacoubi, secrétaire général du syndicat des enseignants, ne vont pas dans le sens d’une volonté de trouver une solution amiable au conflit avec le ministère de tutelle.

Certains vont même jusqu’à soupçonné que ce conflit est influencé par des considérations politiques et n’hésitent pas à dire qu’on avait ce même niveau de zèle Salem Labiadh.

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