La Tunisie a été classé 17e sur 52 pays africains dans l’indice de l’égalité entre les genres établi par la Banque Africaine de développement (BAD).

Dans ce classement, la Tunisie est venue en tête des pays maghrébins. L’Algérie a occupé la 21e place et le Maroc la 26e. La BAD s’est basée, dans son rapport, sur trois volets pour mesurer les disparités fondées sur le genre.

Il s’agit de l’égalité au niveau des opportunités économiques, l’égalité dans le développement humain et l’égalité dans la législation et les institutions. L’Afrique du sud occupe, dans ce rapport, la tête du classement avec 74,5 points sur un total de 100 points, alors que la Tunisie a obtenu 60,4 points. Au niveau de l’indice du développement humain, la Tunisie a remporté 93,5 points, ce qui lui a permis d’être classée 2ème.

Quant aux points qu’elle a accumulés au niveau de l’égalité dans les opportunités économiques, ils s’élèvent à 53,6 contre 34,1 seulement dans le volet relatif à la législation et institutions. L’indice de l’égalité entre les genres en Afrique est un outil qui permet de comparer les différences de traitement entre hommes et femmes dans 52 pays des 54 pays du continent.

Le rapport qui sert à mesurer les disparités et à promouvoir le développement, a proposé un plan d’action qui peut aider les gouvernements et les décideurs en Afrique à concevoir de nouvelles politiques en faveur du renforcement de l’autonomisation de la femme africaine. Selon le rapport, le Rwanda est le seul pays africains où la présence des femmes au parlement est supérieure à celle des hommes.

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” Depuis sa création, l’Académie berbère ambitionnait de créer une ‘’ère berbère’’, comme il existe une ère chrétienne qui commence à partir de la naissance du Christ et une ère musulmane (de l’hégire) qui a pour point de départ l’exil du prophète de la Mecque vers l’oasis de Médine. C’est Ammar Negadi¹ qui créa le premier calendrier berbère en 1980.Il lui fallait trouver un évènement marquant dans l’histoire du peuple amazigh, un fait historique incontestable pour en faire le point zéro du calendrier.

Son choix s’est porté tout naturellement sur l’an 950 avant Jésus-Christ et qui correspond à la date où le roi berbère Chachnaq 1er(orthographié également Chichnaq, Chichneq, Sheshonq) fût intronisé pharaon d’Egypte et fonda la XXIIème dynastie qui régna sur l’Égypte jusqu’à l’an 715 av. J-C. Ce roi berbère avait réussi à unifier l’Egypte pour ensuite envahir la Palestine. On dit de lui qu’il s’empara des trésors du temple de Salomon à Jérusalem. Cette date est mentionnée dans la Bible et constitue par-là même la première date de l’histoire berbère sur un support écrit…”

Cependant, cette célébration a été de tout temps l’œuvre des populations,  même après l’indépendance des pays du Maghreb. En Tunisie, la célébration était encadrée par l’Association Tunisienne de la Culture Amazighe.

Lire aussi:

VIDEO : interview du vice président de l’association de la culture Amazigh en Tunisie

Activiste Amazigh

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Les  Algériens de Bechar et Tindouf ont exprimé leur solidarité avec les Marocains touchés par les intempéries. Ils ont distribué de la viande bovine, d’agneau et de mouton aux habitants de Guelmim.

La ville de Guelmim, (située à 200 kilomètres au sud d’Agadir) a connu d’importantes inondations.

Elle  a été déclarée « zone sinistrée » par les autorités qui ont du mal à secourir ses habitants. Depuis dimanche dernier, plus de 32 personnes sont mortes dont une femme enceinte et plus de 6 disparus.

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Allure svelte, chevelure longue et ondulée, regard perçant, physiquement aussi, cette jeune femme que l’on dit très coquette a plus d’un atout pour séduire. Une multitude de qualités qui ont conduit le prince à succomber au charme de cette jeune femme «presque parfaite».

Née le 3 février 1987, Oum Keltoum est la benjamine de la famille Boufarès. De ses deux grandes soeurs, Abla et Oum El Ghait, fille de Moulay Mamoun Boufarès, fils de Lalla Khadija, sœur du sultan Mohammed V, « La Oum », comme on la surnomme en privé, possède un arbre généalogique auréolé d’ascendance royale.

Oum Keltoum passe une enfance dorée à Marrakech, dans la maison de fonction de son père, située face à la Koutoubia, depuis sa nomination au poste de gouverneur de Marrakech Médina en 1994. Primaire à l’école Auguste Renoir, lycée Victor Hugo, cette fille de haut fonctionnaire suit le parcours scolaire classique des jeunes filles marrakchies aisées. À l’école, elle se fait plutôt réservée, autant sur les bancs de la classe que dans la cour de récréation.

La princesse est décrite par ses amis (qui préfèrent rester anonymes) comme « une jeune femme très douce, indiscutablement gentille mais plutôt secrète, presque rêveuse». Une nature discrète qui se prête idéalement à la tradition monarchique et au protocole.

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Le Maroc est en fête, avec la célébration des cérémonies du mariage de Moulay Rachid, frère du roi Mohammed VI du Maroc, deuxième dans l’ordre de succession de la monarchie, et de Oum Kaltoum Boufarès, ont commencé jeudi 13 novembre 2014 et ont duré 3 jours, au palais royal, sous la présidence de son frère le roi Mohammed VI.

Plus d’un millier d’invités ont assisté à ce mariage princier, à l’instar de notre chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomâa, qui compte parmi les invités de marque. Venu à la base dans le cadre d’une visite de travail de deux jours, Mehdi Jomâa a profité de cette occasion pour partager la joie de la famille princière et assister au mariage de l’émir Moulay Rachid, au Palais royal à Rabat.

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Solution facile, Antonio G.F décide alors d’acheter un enfant à 1.000 euros. Il entre en contact avec une mère marocaine qui accepte de lui vendre son bébé dès la naissance au prix de mille euros.

Pour défendre son client, l’avocat insiste sur le fait qu’Antonio G.F. avait prévu de s’inscrire sur les registres officiels comme père biologique, mais le projet ne s’est pas déroulé comme prévu.

N’ayant toujours pas baissé les bras, en septembre 2011, Antonio G.F s’adresse à une autre mère célibataire, Mounia H. Celle-ci accepte de lui céder son enfant mais pour la somme de 3.000 euros. Mais la transaction s’est mal passée, car Mounia H s’est rendue à la police. Antonio G.F. a été condamné à 18 mois de prison et 6 ans d’interdiction de l’exercice de l’autorité parentale.

Vanessa E.M., son épouse, a écopé de 6 mois de prison et d’une amende de 3.240 €. La jeune maman, Mounia H., qui a dénoncé les faits, a été condamnée à 3 € d’amende par jour pendant un mois et demi.

Cependant, le commerce des enfants n’est pas une première ni un cas isolé à Ceuta, des trafics de plus grande ampleur ont été dénoncés.

Par ailleurs, en février 2013, à Alger aussi, un procès impliquant 13 personnes pour trafic d’enfants entre l’Algérie et la France, s’est tenu. Ce réseau proposait à des couples français d’acheter des bébés algériens abandonnés par leurs mères. Le procès a finalement été reporté en l’absence de cinq des accusés. Ces trafiquants à l’origine de « l’enlèvement et le détournement » d’un nombre « indéterminé » d’enfants, restent ainsi en attente de jugement.

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Pour la journée du 10 mai, la première séance a commencé par la participation de 6 femmes, chacune représentant son pays. Sabah Chraibi (Maroc, professeur universitaire et fondatrice de l’association ESPOD), Oum Khalthoum Hamdinou (Mauritanie, professeur universitaire et sociologue), Naânaa Wanani (Algérie, présidente de la SEVE), Sahar Saleb (Egypte, professeur universitaire et présidente du conseil d’administration et activiste sociale), Ibtissam Bn Ameur (Libye), présidente du Comité des femmes d’affaires, Riadh Zghal (Tunisie,  professeur Emérite consultante).

Ces femmes ont donné un bref aperçu sur l’évolution de l’entrepreneuriat dans leurs pays et ont répondu aux question du modérateur.

D’importantes synergies multiculturelles seront créées, des propositions seront avancées et des parcours de success stories retracés au service d’un échange maghrébin de pointe.

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