La photographie sera au cœur de la première exposition collective “(Contre) Nature” de la série “Nouveaux Regards”, organisée par la Maison de l’Image qui est un centre culturel privé dédié à l’image.

“(Contre) Nature” dont le vernissage aura lieu, jeudi 5 mars, à 19h, sera visible du 05 au 29 mars 2020 à la galerie de la Maison de l’Image à Mutuelleville à Tunis. Cette exposition placée sous le commissariat du photographe Hamideddine Bouali sera l’occasion de découvrir l’univers hétéroclite des photographes Amir Ghozlani, Helmi Dlhmi, Noureddine Ahmed, Yasmine Abed, Yassine Triki et Zayene.

Dans une déclaration à la TAP, Wassim Ghozlani, artiste photographe et directeur de la Maison de l’Image, a annoncé que “les expositions collectives se feront dans le cadre du cycle Nouveaux regards, tout en s’ouvrant sur d’autres disciplines comme la BD, le digital art et l’illustration”.

Les expositions, “Nouveaux regards” mettront en avant les créations d’artistes confirmés mais aussi les travaux de jeunes talents à travers des expositions collectives et personnelles.

L’exposition sera ouverte au public du lundi au dimanche, de 10h à 19h.

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114 images de 19 photographes tunisiens et européens, professionnels ou amateurs sont réunis dans une exposition qui se tient du 3 juillet au 2 août à la galerie de l’Institut français de Tunisie (IFT).

Baptisée « Regards posés, Hammams de la médina de Tunis », l’exposition est conçue par l’association L’Mdina Wel Rabtine -Actions citoyennes en Médina, en partenariat avec la Maison de l’Image avec le soutien de l’IFT.

Pour la réalisation de cette exposition, les photographes ont eu accès à un ou plusieurs hammams en activité ou abandonnés souvent peu connus du grand public, et dont certains remontent au moyen âge.

Par ailleurs, 16 étudiants de l’Ecole nationale d’Architecture et d’Urbanisme ont réalisé de courts documents vidéos (entretiens, reconstitution 3D des lieux, etc) consacrés à ce patrimoine tunisien en péril. Leurs travaux inédits seront projetés dans l’exposition.

Les 114 images ainsi que les recherches de terrain exposées par l’association tirent de l’oubli un patrimoine riche et méconnu, mais également en danger.

En effet, sur les 50 Hammams historiques signalés au 19ème siècle, seuls 26 ont pu maintenir leurs activités, 17 ont été détruits et 7 autres sont fermés.

L’exposition alimentera un plaidoyer pour sensibiliser les décideurs et le grand public à la valeur indéniable de ce patrimoine et à la nécessité de le sauvegarder.

L’association L’mdina Wel Rabtine-actions citoyennes en Médina, a été créée en janvier 2012. Elle réunit des habitants, commerçants, passionnés et amoureux de la médina de Tunis ainsi que des chercheurs et des artistes autour d’une vision partagée de gouvernance démocratique du patrimoine.

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Le propriétaire du plus célèbre bisou depuis des générations vient de rendre l’âme à l’âge de 86 ans, le 14 mars 2014. Il s’agit de Glenn McDuffie, le jeune marin de Time Square pris en photo embrassant une infirmière le 14 aout 1945. Il avait 18 ans quand la photo a été prise.

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Bayrem Ben M’Rad est parmi ses jeunes artistes. Un photographe qui a de l’expérience dans les shooting de mode et des défilés en Tunisie. Il a fréquenté de nombreux créateurs et stylistes dont Salah Barka, Ahmed Talfit, Ali Karoui…

Il utilise son appareil comme seul moyen de communication. Lumière, ombre, maquillage et couleurs sont ses compagnons de route. Nous le découvrons ces jours ci du 7 au 14 mars, sous une autre affichette, celle de «Ben M’Rad –expo» au cœur du centre ville de Tunis à «Whatever salon».

Nous nous sommes rendu sur les lieux, un café culturel avec une ambiance urbaine à la new-yorkaise nous découvrons plus d’une surprise! Des portraits en blanc et noir, des identités méconnaissables et pourtant connu par le monde de la mode. Sans maquillage, ni retouche nous découvrons «une laideur» mise en beauté naturellement!

Une exposition qui confirme qu’il y a bel et bien plus d’une notion de la beauté: une beauté intérieure, une beauté naturelle ou encore une triste beauté…

Assisté par ses amis mannequins et le styliste Salah Barka, le jeune artiste Bayrem Ben M’rad a réussi son premier projet autofinancé en plaçant la barrière haute.

Nous vous laissons découvrir ses propos en vidéos.

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A l’occasion de la Journée mondiale de la Femme, le 8 mars, l’artiste-photographe connu sous le nom de Moujahed Modjo, organise une exposition-reportage intitulée «F comme Tunisie» à la galerie La Kasbah à la Médina de Sfax du 8 au 28 mars.

L’artiste estime que «l’histoire de la Tunisie se confond avec celle de ses femmes. Combattante et révolutionnaire, son histoire a été marquée par des figures féminines fortes, d’Elissa, la fondatrice de Carthage à El Kahena en passant par Aziza Othmena et Majida Boulila».

Moujahed rajoute: «En 2011, il y a eu la révolution, et là encore, la Femme Tunisienne contribue à écrire l’histoire de son pays. Toujours présente dans les rues, elle milite pour la liberté, elle revendique ses droits chèrement acquis et participe aux moments les plus forts.

F comme Tunisie, une exposition qui rend hommage à toutes ces Femmes anonymes dignes et courageuses, modestes mais combattantes rencontrées par hasard dans les rues. Plus tard, on retrouve ces femmes dans leurs villes et leurs foyers pour découvrir ce qu’elles sont devenues. Cette exposition revisite leur image et on y découvre encore une Femme qui milite pour sa patrie, qui défend son statut personnel et transcrit une histoire collective dans un combat personnel au rythme des difficultés de chaque jour».

Une exposition qui met en lumière la vie de 10 de ces Tunisiennes et les retrouve dans leur quotidien. Un reportage qui retrace leurs témoignages, l’origine de leur engagement et qui nous aide à comprendre le rôle primordial qu’elles jouent dans la transition vers la démocratie.

A noter: Si vous êtes au alentour de la belle ville de Sfax, nous vous recommandons vivement d’assister à cette exposition. Connaissons le travail artiste, vous serez ravie une fois arrivé!

M.S

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Le Palais Kheireddine ouvre ses portes pour faire découvrir près de 100 œuvres mettant en valeur les joyaux du patrimoine culturel, architectural, et artisanal de la ville de Sfax, souligne la délégation de l’Union européenne en Tunisie. Ces clichés, pris par les artistes qui ont participé à la première Résidence euromaghrébine de Photographes en novembre 2013, reflètent, notamment, le contraste de la relation entre l’espace et les personnes, et captent l’émotion du quotidien ainsi que les influences de l’individu sur son quotidien.

En parallèle, à l’avenue Habib Bourguiba, près de la station TGM, le “Projet Sfax” offre aux passants et curieux une présentation du travail des artistes.

Pour rappel, en mai 2013 et durant 4 jours, 30 photographes du Maghreb et d’Europe se sont joints pour la Première résidence euromaghrébine de Photographes, afin de valoriser le patrimoine architectural tunisien. Cette série de photos ont fait l’objet d’une exposition en novembre 2013 à Sfax. Ce projet est “particulièrement important, alors que la Médina de Sfax, symbole d’architecture euro-méditerranéenne” qui date du 9ème siècle, est candidate au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

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La première a été prise en 1940, pendant la Seconde Guerre mondiale. L’image représente Hitler qui arpente Paris, sa conquête, avec ses différents disciples.

La deuxième, c’est celle du dernier juif, quelques secondes avant son exécution, de Vinnista en Ukraine et qui date de 1941. Plus de 28.000 juifs furent assassinés.

Prise en 1943, c’est l’une des images les plus connues de la Seconde Guerre mondiale. Elle décrit la terreur des juifs cachés au ghetto de Varsovie face aux nazis.

La photo floue d’un soldat américain dans la mer lors de l’embarquement pendant la Seconde Guerre mondiale.

Une photo décrite sous le nom de «life» (vie), celle d’un soldat embrassant une infirmière, qui lui est inconnue, dans la rue de Times Square, une fois la guerre finie.

Une photo représentant les troupes soviétiques qui élèvent leur drapeau au sommet de l’immeuble du Reichstag allemand pendant la bataille de Berlin, le 2 mai 1945, considéré comme une des images les plus populaires de la guerre vue l’importance historique et symbolique du bâtiment.

Celle des marines américains qui élèvent le drapeau au sommet du mont Suribachi lors de la bataille d’Iwo Jima pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les hommes présents sur l’image sont morts au combat.

L’explosion d’une bombe atomique, le 6 août à Hiroshima, au Japon. Il s’agit de la deuxième bombe atomique jamais utilisée et le nuage de champignon sur la photo donne l’étendue de la dévastation: 150.000 personnes furent tuées ou blessées.

C’est la photo du premier ordinateur, c’était en février 1946, lorsque le dispositif comprenait 18.000 tubes à vide, de nombreux fils et 170.000 watts de puissance et remplis une salle de 1.500 pieds carrés.

Une image surréaliste prise par Philippe Halsman en hommage à la fois à la nouvelle ère atomique et au Salvador Dali “Leda Atomica”. La photographie est en fait une combinaison de personnes sautant et de l’eau et des chats étant jetés. Le tournage a duré six heures, 28 sauts et divers assistants lançant des objets dans l’air.

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Décidément les Londoniennes vont nous faire voir de toutes les couleurs! Ce n’est pas un projet de loi lucide, mais juste une action «féministe» lancée depuis quelques semaines sur les réseaux sociaux pour dénoncer certains clichés machistes de la société.

Le projet «Bush» lancé par «Mother London» invite toutes les femmes à photographié leurs poils pubiens et les publiés aujourd’hui (jeudi 3 octobre)! Présenté comme «un appel aux femmes de se lever contre les pressions de la société moderne et de présenter leurs “buissons/arbustes” dans toute leur gloire».

Les questions qui se posent: avons-nous vraiment besoin de cela? Où trouvent-elles, ces associations et autres agences publicitaires de telles idées? Est-ce vraiment une action féministe? …

Je ne vois vraiment pas l’essence de ce projet ni même les raisons qui ont poussés les groupes féministes à utiliser le corps de la femme comme instrument, matériel de lutte!

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Il s’agit d’un jeune et bel homme talentueux qui s’exprime à travers ses photos et clichés. Il s’appelle Bayrem Ben Mrad, âgé de 27 ans et armé de son appareil photo.

« Passionné du cinéma,  j’ai étudié la photographie en tant que matière secondaire à l’Ecole des sciences et des technologies du design, petit à petit je me suis trouvé envahi de cette “chose” ! Lors de mon premier cliché,  je me suis retrouvé emprisonné et capté. Ce qui m’a le plus subjugué, c’est le fait de raconter une histoire, transmettre des sensations à travers une image fixe. Depuis ce jour, je me suis orienté vers la photographie».

-Quelle style de photos tu aime prendre ?

« J’aime tout mais je suis plus à l’aise et plus créatif avec les portraits ou sur le podium. Les photos de mode, de mannequins sont mes préférées. Je m’y sens comme un poisson dans l’eau. C’est peut-être pour cette raison que je me sens proche des créateurs et stylistes. S’il n’y a pas d’événement de mode à couvrir, j’aime prendre des photos de ma petite sœur Salima. Elle est ma muse et je lui souhaite une très grande carrière dans le mannequinat. Ce n’est pas parce que c’est ma sœur mais je trouve qu’elle a un très potentiel».

–En Tunisie, nous avons une certaine variété des gens de la mode, mais ils n’ont pas la même touche de créativité. Comment tu arrives à les satisfaire ?

« Il est vrai que chaque styliste, et chaque shoting est différent des autres, celui d’Ahmed Talfit n’est pas le même que celui de Salah Barka, de même pour Ali Karoui et les autres. Il suffit de comprendre, voire imaginer l’image que designer à en tête lors de la création de sa collection et tenter au maximum de la concrétiser comme telle».

-Un dernier mot Bayrem ?

« J’ai juste envie de souligner qu’il faut aller de l’avant et laisser le domaine de la photographie et de la mode s’exprimer. C’est des gens qui regorgent de ressources et de talents et qu’il faut encourager au lieu de leur mettre les battons dans les roues. Car en fin de compte, c’est un miroir qui reflète l’image des Tunisiens créateurs à l’étranger».

Pour plus de photos, cliquez ici.

Mariem Soualhi

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Be the Change” est un projet d’art participatif, initié par l’ONU qui réunit 17 pays et 23 villes à travers le monde. Le but de cette initiative est de partager les histoires de ceux qui croient au changement à travers la photographie.

Un groupe de photographes tunisiens font partie de ce mouvement et vont participer, aujourd’hui, vendredi 21 septembre, à l’occasion de la Journée internationale de la paix, à un collage qui se fera dans le monde entier en même temps, de portraits de citoyens de divers pays afin d’illustrer la paix et la fraternité entre les peuples. Le vernissage du collage tunisien aura lieu à l’Espace Sadika, à Gammarth, aujourd’hui, à 18h.

SBF

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