Deux prix ont été remis pour des film tunisiens au Dubai film festival.

Ainsi, le prix du meilleur interprétation masculine est décerné à Lotfi Abdelli pour son rôle de Sami dans le film «Les frontières du ciel» de Fares NAANA, et «À peine j’ouvre les yeux» de Leyla Bouzid remporte le grand prix du festival.

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Le président des Journées Cinématographiques de Carthage vient d’annoncer le maintien de la programmation dans son ensemble, sauf demande des autorités.

Festivaliers et public sont les bienvenus, et ce dans les meilleures conditions.

Toutes nos pensées vont vers les martyrs et leurs familles.

LES JCC CONTINUENT
La culture et le cinéma vivront.

Le Directeur de la 26ème édition des JCC, Ibrahim LETAIEF.

Il faut rappeler qu’une mesure d’interdiction a été décrété à compter de 21H00 à 5H00 du matin dans le grand Tunis, ce qui devrait entraîner une modification dans les programmes des projections du soir.

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Le coup d’envoi officiel de cette édition a été donné par la ministre de la culture et de la sauvegarde du patrimoine Latifa Lakhdhar qui a relevé que la tenue des noces du cinéma et de la création est la meilleure réponse aujourd’hui au fléau du terrorisme qui touche non seulement la Tunisie mais qui frappe l’Humanité toute entière.

Un grand nombre d’invités et de vedettes ont été présents pour ne citer que le marocain Nabil Ayouch, l’acteur égyptien Khaled Abou Nagua, l’artiste libanaise Maya Dhiab, le cinéaste égyptien Daoud Abdessaied ainsi que les tunisiens Ali Bennour, Lotfi Bouchnaq, Ferid Boughdir, Dorra Bouchoucha, Mohamed Ali Ben Jemaa, Fériel Youssef, Amel Alouane…

L’édition 2015 s’est ouverte par des aires symphoniques à savoir « Le lac des Cygnes » du compositeur russe Tchaikovski et de musique de deux films célèbres « Zorba le grec » du réalisateur grec Michael Cacoyannis et « Halfaouine » de Férid Boughdir. Les morceaux ont été interprétés par l’Orchestre symphonique tunisien sous la houlette de Hafedh Makni.

Un grand dispositif sécuritaire a été installé sur les lieux pour l’ouverture de cette importante vitrine cinématographique, aussi bien pour les cinéastes que pour les cinéphiles venus nombreux saluer les stars à leur passage sur le «Red Carpet».

L’animateur Mourad Zeghidi a présenté les hôtes du festival de retour avec une édition riche en hommages à des artistes vivants mais aussi à «des figures qui ont quitté la vie mais toujours présents dans les esprits», selon l’expression de l’animateur vedette des émissions sportives.

Sur le Red Carpet, Letaif a déclaré aux médias que «tout est bien organisé pour cette semaine où on fête le cinéma par la présentation de 300 films dans toute la république, soit 1000 projections dans 12 villes avec une entrée dans les prisons, les écoles et les universités».

Selon Letaief «cette édition verra la présentation en avant-première de neuf films arabes et africains et 10 films de grands cinéastes comme Solimene Sissé, Nabil Ayouch et Merzek Alouech ainsi que de jeunes réalisateurs, tels que Fares Naanaa et Leila Bouzid.»

Pour la chanteuse et actrice espagnole Victoria Abril, marraine de la 26ème édition des JCC, «le cinéma représente une thérapie en cette conjoncture difficile». Habillée en marraine et jasmin à la main, elle s’est déclarée «très contente, fière et honorée d’être la marraine ibérique parfumée au jasmin».

En fin de cérémonie, l’Ethiopie a été à l’honneur aux JCC à travers la projection en première africaine et arabe du film «Lamb» (Mouton) de Yared Zeleke, entouré par les membres de son film. Il a déclaré «je suis extrêmement honoré d’être avec toute l’équipe de mon film pour l’ouverture des JCC.. ».

D’autres hommages ont été rendus aux membres de la compétition Takmil présidée par le Tunisien Najib Belkhadi, la compétition première œuvre présidée par l’Algérien Elias Salem et les membres de la compétition officielle présidée par le Marocain Nourredine Sayagh. «Carthage continue de remplir sa mission… ».

Tout au long de cette semaine du cinéma, des hommages seront rendus au cinéaste tunisien Nouri Bouzid, aux cinémas italien et argentin et à plusieurs femmes artistes ayant marqué le cinéma arabe, à l’instar de Faten Hammama, Maali Zayed et Mariem Fakhreddine.

Des figures disparues du cinéma national et étranger, à savoir le Tunisien Habib Masrouki, le Portugais Manoel de Oliveira et l’écrivaine et cinéaste française d’origine algérienne Assia Djebar seront également à l’honneur.

La soirée de clôture des JCC, prévue le 28 novembre, sera assurée par l’animateur vedette égyptien Bassem Youssef.

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Le 6 novembre 2015 s’est tenue à la Maison du Barreau avenue Bab Bnet la projection d’ouverture de la seconde saison du ciné club les Avocarts Cinéphiles avec à l’affiche du court métrage ” Et Roméo épousa Juliette” et le long métrage documentaire “يا من عاش ” de la jeune réalisatrice tunisienne Hinde Boujemaa. Elle a déjà été primée à plusieurs reprises, notamment au Festival de Dubai, pour ces deux œuvres.

Il est à noter que ciné club a été créé il y a exactement un an par un groupe d’avocats cinéphiles. Il a pour ambition de promouvoir le 7ème art tunisien principalement au sein du barreau. Les projections sont donc réservées aux porteurs des robes noires.

Pour le choix des films, la priorité est toujours donnée aux films et aux réalisateurs tunisiens comme pour le film “Conflit” qui a été projeté en avant première la veille des JCC 2014 au sein du barreau tunisien.

Pour cette seconde édition des Avocarts Cinéphiles, la jeune réalisatrice Hinde Boujemaa était l’invitée d’honneur. La projection a commencé par son court métrage ” Et Roméo épousa Juliette ” sélectionné dans la complétion des courts métrages pour les JCC 2015 suivi du long métrage documentaire ” يا من عاش ” tourné instantanément durant la révolution tunisienne pendant plus d’une année.

Deux jeunes œuvres porteuses d’espoir pour le Cinema tunisien révélant ainsi une jeune réalisatrice talentueuse qui fera parler d’elle dans les temps à venir.

Hinde Boujemaa a été “une belle découverte pour les robes noires”, selon maître F. Mouelhi qui ont animé un débat fort intéressant de trois quart d’heure avec la jeune réalisatrice sur les conditions de tournage, les protagonistes, l’aspect d’incarcération, juridique et social traités par ce film documentaire. La projection a a commencé à 15h30 pour prendre fin à 18h30 autour d’une petite réception en l’honneur de ce jeune talent dont vous entendrez parler très souvent.

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L’avant-première du court-métrage “Feu” de Nejma Zeghidi sera présenté le 8 février à la salle Le Mondial à Tunis. Ce film est la première œuvre en tant que réalisatrice de cette actrice qui a à son actif une vingtaine d’années d’expérience.

Le film est d’une durée de 29 mn, produit par Fadhel Jaziri, et dont la projection est prévue à 19h, le spectateur pourra découvrir le personnage de Yemna qui a perdu son fils dans un attentat à la voiture piégée en septembre 2014.

Deux ans plus tard, une caméra s’introduit dans la demeure familiale et filme trois habitants ayant survécu à ce drame en s’accrochant à un pseudo-quotidien. Mais un jour, Yemna est trahie par son mari.

Les interprètes sont Sabeh Bouzouita, Brahim Zarrouk, Dejla Douissi, Lobna Mlika et Besma El Euch.

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Les “Premières Journées Cinématographiques du Djérid” ont démarré jeudi 6 février, et se poursuivront jusqu’au 9 du mois, à la maison de la culture Abou Kacem Chebbi à Tozeur, à l’initiative de l’association culturelle “Les Voix du Sud”.

Un débat sur “La réalité du cinéma dans le Djérid” a été organisé à l’ouverture de cette manifestation au cours de laquelle les intervenants ont mis l’accent sur la réduction du nombre de films tournés dans le sud tunisien qui constituait un produit culturel qui attirait les touristes.

Parmi ces productions figure “L’Or Noir” de Jean-Jacques Annaud tourné notamment à Ong Jmel du producteur Hichem Ben Ammar.

Abdelaziz Guezzi, président de l’association culturelle Voix du Sud a déclaré que cette manifestation vise essentiellement à dynamiser le 7ème art dans le Djérid; il a passé en revue l’histoire du cinéma dans la région et son rôle dans le développement de la dynamique culturelle

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Un thriller avec plusieurs stars, dont Brad Pitt, Cameron Diaz, Penelope Cruz, Javier Bardem et Michael Fassbender, réunies sous la direction de Ridley Scott (producteur de Galadiator, American Gangster…).

Synopsis : «Cartel» est un film racontant la descente aux enfers d’un avocat pénal, attiré par l’excitation, le danger et l’argent facile, du trafic de drogues à la frontière américano-mexicaine, mais qui découvre qu’une décision trop vite prise peut le faire plonger dans une spirale infernale, aux conséquences fatales.

Il est déjà dans les salles de cinéma en France. Combien de temps lui donnez-vous pour qu’il soit en ligne?

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Le long métrage documentaire de Hichem Ben Ammar, “Contre l’oubli”, sera présenté au public, d’ici la fin de l’année 2013. Ce film, actuellement en cours de montage, est le 9ème documentaire à l’actif du réalisateur.

“Il restitue les témoignages de victimes de la torture en Tunisie durant les dernières décennies, des témoignages d’hommes et de femmes de diverses générations et de différents courants politiques depuis le début de l’indépendance”.

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La projection du film «Ma Nmoutech, Beautés cachées» du réalisateur tunisien Nouri Bouzid n’a pas pu avoir lieu comme prévu samedi soir à cause d’une incroyable histoire de code périmé!

D’après les organisateurs, pour la projection d’un film en format numérique DCP, il est nécessaire d’avoir un code d’accès pour pouvoir lire le dossier. Ce code appartient au producteur qui doit le transmettre aux responsables de projection. Mais le code qui a été transmis samedi soir aurait tout simplement été périmé!

SBF

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