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]]>«Il n’y a eu aucun accord sur le nom du futur chef du gouvernement», a déclaré Rached Ghannouchi, président du mouvement Ennahdha à l’issue d’une réunion, hier soir, avec le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Hassine Abbasi, à laquelle avait également assisté le dirigeant au mouvement Ennahdha, Ameur Laarayadh.
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]]>«Pure affabulation», c’est ainsi que Rached Ghannouchi a qualifié les propos qui lui ont été attribuées par plusieurs titres nationaux de la presse. A la suite du passage de Ghannouchi, le week-end dernier, au colloque du MSP, plusieurs quotidiens ont rapporté qu’il avait publiquement soutenu le leader du MSP pour la présidentielle de 2014.
Il a affirmé qu’il n’était pas légitime pour «proposer la candidature de telle ou telle personne». «Je ne suis pas un électeur dans ce pays, mais je dirais que le poste de président est occupé par quelqu’un qui le mérite», a-t-il affirmé.
Message à Ghannouchi
Quand on a eu un passé de terroriste, on n’est pas vraiment les bienvenus dans un pays dont le peuple a combattu des gens comme vous pendant 15 ans…
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]]>Deux salafistes sont récemment décédés en prison après plus de 50 jours d’une grève de la faim. Vous avez déclaré qu’ils avaient commis un «péché» …
J’ai moi-même observé une grève de la faim. Si son but est d’attirer l’attention, elle est permise. Elle est illicite si elle amène à la mort. La punition du suicide est très grave en Islam…
On vous accuse souvent de laxisme envers la composante violente du mouvement salafiste…
Ceux qui disent cela veulent une guerre sans merci, du type de celles menées par Ben Ali, contre les salafistes. L’incitation est nourrie par ceux qui essayent de provoquer une guerre civile. Les salafistes sont le produit des politiques de Bourguiba et de Ben Ali. La fausse modernité tunisienne a fait perdre au pays son rôle de référence islamique.
Lors d’un récent prêche du vendredi, vous avez appelé vos partisans à boycotter les marchands qui vendent de l’alcool. Vous leur avez également suggéré de «conseiller» auxdits commerçants de renoncer à leur vente. Est-ce une incitation à la violence ?
Il y a un hadith (parole du prophète Mahomet) selon lequel «celui d’entre vous qui voit un mal qui se pratique, qu’il le change par sa main. S’il est incapable, avec sa langue, qu’il déteste cela par son cœur». Le rôle de «la main» revient à l’État mais on peut conseiller au commerçant de craindre Dieu, lui rappeler que l’alcool est mauvais pour la santé et que c’est haram (illicite)…
La vente de l’alcool est un monopole de l’État tunisien. Faudrait-il «conseiller» à l’État d’arrêter ce commerce ?
On peut le lui conseiller. On peut faire pression sur l’État, mais on ne peut pas incendier des usines, par exemple. Ce serait le chaos. Comme citoyen, je ne suis pas favorable à la consommation de l’alcool. Mais pour transformer cela en décision politique, il faut que ça passe par un débat de société. L’opinion publique doit en être convaincue…
A la fin de l’interview, le leader politico-religieux, avec un air de grand-père attentionné et bienveillant ne manque pas de me demander : «Dis-moi mon fils, fais-tu tes prières?».
Pour lire le reste de l’interview: Le soir
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