Une réussite qui mérite d’être citée, celle de Nesrine Gharbi, une jeune tunisienne primée dans le cadre du prix de la Société française d’énergie nucléaire(SFEN), pour sa thèse sur les réacteurs nucléaires à eau pressurisée.

«Le prix Jean Bourgeois m’a été attribué pour mes travaux de thèse de doctorat, qui ont porté sur la contribution à la compréhension de la déformation sous irradiation des alliages de zirconium à forte dose des assemblages combustibles de réacteurs nucléaires à eau pressurisée», a déclaré Nesrine Gharbi.

La thèse de la jeune lauréate a fait l’objet de deux publications et de 5 conférences dont deux organisées aux États-Unis.

Encore une autre Tunisienne qui se distingue à l’international… dans le bon sens.

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La journaliste Tunisienne, Mariem Nasri  a remporté, dimanche 06 décembre 2015, le premier prix des droits de l’Homme lors du Forum « Arab Reporters for Investigative Journalism» en Jordanie, grâce à son film d’investigation sur la torture dans les prisons tunisiennes.

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Elles sont mères, chefs d’entreprises, fonctionnaires et femmes aux foyers; elles ont peu de temps à consacrer à elles-mêmes et à leur bien-être vu qu’elles sont présentes sur tous les terrains. Parce que donner procure plus de bonheur que recevoir.

Les femmes de Rotary Club la Marsa plage ont organisé un brunch le dimanche 15 novembre à l’hôtel Concorde Les Berges du Lac. Un moment de solidarité dont les bénéfices serviront à la restauration d’une école primaire et à rendre le sourire à ses élèves.

Les participants ont eu droit à une escapade musicale inédite et profiter par la même occasion des expositions de bijoux et des produits de beauté, de bien-être… exposés à l’occasion, joignant ainsi l’utile à l’agréable.

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Le 6 novembre 2015 s’est tenue à la Maison du Barreau avenue Bab Bnet la projection d’ouverture de la seconde saison du ciné club les Avocarts Cinéphiles avec à l’affiche du court métrage ” Et Roméo épousa Juliette” et le long métrage documentaire “يا من عاش ” de la jeune réalisatrice tunisienne Hinde Boujemaa. Elle a déjà été primée à plusieurs reprises, notamment au Festival de Dubai, pour ces deux œuvres.

Il est à noter que ciné club a été créé il y a exactement un an par un groupe d’avocats cinéphiles. Il a pour ambition de promouvoir le 7ème art tunisien principalement au sein du barreau. Les projections sont donc réservées aux porteurs des robes noires.

Pour le choix des films, la priorité est toujours donnée aux films et aux réalisateurs tunisiens comme pour le film “Conflit” qui a été projeté en avant première la veille des JCC 2014 au sein du barreau tunisien.

Pour cette seconde édition des Avocarts Cinéphiles, la jeune réalisatrice Hinde Boujemaa était l’invitée d’honneur. La projection a commencé par son court métrage ” Et Roméo épousa Juliette ” sélectionné dans la complétion des courts métrages pour les JCC 2015 suivi du long métrage documentaire ” يا من عاش ” tourné instantanément durant la révolution tunisienne pendant plus d’une année.

Deux jeunes œuvres porteuses d’espoir pour le Cinema tunisien révélant ainsi une jeune réalisatrice talentueuse qui fera parler d’elle dans les temps à venir.

Hinde Boujemaa a été “une belle découverte pour les robes noires”, selon maître F. Mouelhi qui ont animé un débat fort intéressant de trois quart d’heure avec la jeune réalisatrice sur les conditions de tournage, les protagonistes, l’aspect d’incarcération, juridique et social traités par ce film documentaire. La projection a a commencé à 15h30 pour prendre fin à 18h30 autour d’une petite réception en l’honneur de ce jeune talent dont vous entendrez parler très souvent.

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La chanteuse populaire Fatma Boussaha est décédée mardi 27 octobre 2015 dans la matinée chez elle, après un long combat contre la maladie.Fatma boussaha est une chanteuse populaire née le 22 janvier 1942 à Zaghouan. A son actif plusieurs tubes comme «Ya ami echiffour» et «Ya karhebt Kamel», sans oublier la chanson qui a bâti sa notoriété «Achchibani wass » produite en 1999.
Sa dernière chanson fut «trabek ghali ya touness» en 2011 après la révolution tunisienne.

La chanteuse s’est imposée comme une valeur sûre et a marqué l’histoire de la chanson populaire tunisienne.

Après avoir été solidaire, pendant des années, avec les personnes en situation sociale difficile, ironie de l’histoire, la chanteuse s’est finalement retrouvée seule dans les derniers jours de sa vie à cause de son combat contre un cancer sans le moindre soutient de la majorité de ses amis qui l’ont oubliée et abandonnée.

Suite à sa situation critique le ministère de la culture l’a honoré avec un spectacle à Carthage et a pris en charge les soins de santé de Fatma Bousseha, dans le cadre de son programme d’aide aux artistes.

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Produite par la compagnie Dumanle, mise en scène par Sow Souleymane et interprétée par Kompaore Rebecca et Guhei Eve Sandrine, « Quand le temps s’arrête » pièce théâtrale  ivoirienne a réussi  l’espace d’une heure environ a accaparer le public composé d’étudiants et d’élèves en plus des professionnels et des amateurs du théâtre. La salle El Hamra était archicomble et même les retardataires ont accepté  les strapontins pour ne pas rater cette œuvre. Après un  long moment de silence  qui paraissait interminable, deux  comédiennes installées sur des chaises au cœur de la scène ont fini par s’exprimer. Mais les mots qu’elles ont prononcés n’ont fait que les plonger dans un cercle vicieux de questionnement sur le temps qui refuse qui semble suspendu. Dans un dialogue de sourds, les deux femmes sombrent dans un délire autour du temps et se trouvent piégées par elles-mêmes dans une incapacité de communiquer.

Leurs obsession d’inventer des histoires pour passer le temps, et de provoquer des conversations pour combler le silence mortel. Face aux situations absurdes qui frôlent par moment le comique, le public avait du mal à déchiffrer les signes et les symboles  de la dramaturgie jusqu’à ce que le voile se soit levé pour laisser apparaitre les clés de compréhension de cette œuvre fortement codée. Le silence et le dialogue impossible ont poussé les deux protagonistes de la pièce à commettre l’irréparable. Une série de tableaux s’enchaîne pour démontrer que  l’horreur qui constitue le quotidien africain avait lui aussi pour point de départ des histoires banales. Avec cette pièce qui a réuni deux comédiennes  à la fois puissantes et  sensibles, maitrisant l’art du comédien dans son intégralité,  et avec une scénographie intimiste très dépouillée, Sow Souleymane le metteur en scène a prouvé que le théâtre africain  est loin d’être prisonnier du carcan traditionaliste, mais très ouvert à techniques modernes sans pour autant perdre de son authenticité.

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Mardi 20 octobre, le chef de coopération de l’Union européenne, Armelle Lidou, et la ministre tunisienne de la Femme et de l’Enfance, Samira Meraîi Friâa, étaient à Bizerte à l’occasion de l’ouverture de la “Journée d’accompagnement des jeunes femmes tunisiennes dans leur insertion professionnelle“.

Cette rencontre ayant pour thème “Entreprise: mode d’emploi” était organisée dans le cadre du projet de promotion de l’égalité professionnelle femmes-hommes en Tunisie, financé par l’Union européenne à hauteur de 240.000 euros (plus de 500.000 dinars).

Ce projet, lancé en mars 2015, est mis en œuvre par la Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE) en collaboration avec l’Association des responsables de formation et de gestion humaine dans les entreprises (ARFORGHE). Son objectif est de réduire les discriminations liées au genre dans le milieu professionnel. Il implique les associations tunisiennes de promotion des droits des femmes, les entreprises et les pouvoirs publics. Il vise essentiellement à sensibiliser une centaine d’entreprises tunisiennes sur l’égalité professionnelle, ainsi qu’à accompagner plus de 150 jeunes femmes tunisiennes dans leur recherche d’emploi et à favoriser leur insertion professionnelle.

Le soutien de l’UE à cette action s’inscrit dans un cadre plus général d’aide à l’égalité homme-femme en Tunisie. Mme Lidou précise à cet effet que “ce projet s’inscrit dans un soutien plus vaste en faveur des femmes: l’Union européenne finance actuellement en Tunisie plus de dix initiatives sur cette thématique et s’est engagée à travailler encore davantage dans cette direction dans le cadre du plan d’action signé avec la Tunisie”.

C’est ainsi qu’en avril dernier une convention de financement a été signée avec le ministère du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale et le ministère de la Femme, la Famille et l’Enfance pour un nouveau programme bilatéral de 7 millions d’euros. Ce programme, consacré spécifiquement à la réduction des inégalités homme-femme aux niveaux national, régional et local, permettra notamment de lancer d’autres projets sur le thème de l’autonomisation économique des femmes.

Pour plus d’informations: Délégation de l’Union européenne en Tunisie – Mélanie Bride, attachée de coopération, chargée des programmes égalité homme-femme et société civile melanie.bride@eeas.europa.eu

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Notre talent tunisien est reconnu à l’international. La preuve? Lors de l’émission «Arab Casting» qui se déroule en Egypte, en ce moment, Jalila Chaouachi, ou Julia comme elle a l’habitude qu’on l’appelle, a séduit les membres du jury grâce à sa performance d’actrice.

Julia Chaouachi a choisi d’interpréter un texte qui parle de la situation des Syriens, et ce, fut un carton plein vu qu’elle a reçu 4 « play » et se qualifie ainsi aux demi-finales.

Rappelons que Julia Chaouachi baigne depuis son enfance dans le milieu artistique, puisque son père n’est autre que l’illustre chanteur tunisien Adnen Chaouachi. Elle a lancé sur Facebook une page sous le nom “Zapping بنت بوها” pour critiquer les séries tunisiennes ramadanesque en postant ses propres vidéos. Ces derniers ont fait le buzz.

Zapping بنت بوها, la vidéo qui buzz de Julia Chaouachi

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Yasmine Attia, une jeune avocate tunisienne au barreau de Tunis, a remporté le prix du jury du 25ème concours de plaidoiries des avocats au Mémorial de Caen (France), selon le site officiel du concours.

Axant sa plaidoirie sur le « Djihad des femmes », Yasmine Attia a mis l’accent sur la « prostitution masquée en participation à une guerre sainte »…

Concours international de Plaidoiries des Avocats de Caen, Yasmine Attia est à l’honneur

Cette année l’avocate tunisienne revient sur les devants de la scène, dans l’auditorium du Conseil national des barreaux (CNB), à Paris. 9 avocats se sont opposés, Attia était parmi eux, sa  plaidoirie contre la peine de mort n’a pas laissé le jury indifférent.  Une plaidoirie qui a mis en avant  l’histoire de Maher Manaï, qui a passé neuf ans dans les couloirs de la mort pour «s’être retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment». Les conditions de détention inhumaine sont aussi dévoilées…

La Tunisienne a gagné, à égalité avec Michèle Ndoki, 42 ans, avocate camerounaise, et a reçu le premier prix du concours. ­

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Selon le dernier classement publié jeudi 17 septembre 2015, établi par le célèbre magazine américain Forbes Middle-East, Six Marocaines figurent dans le top 100 des femmes d’affaires les plus puissantes du monde arabe en 2015.

La liste des femmes consacrées par Forbes Middle-East sont :

1-Rita Maria Zniber, PDG de Diana Holding, (30e),
2-Laila Mamou. présidente du directoire de Wafasalaf, (42e),
3-Salwa Idrissi Akhannouch, PDG du groupe Aksal, (46e),
4-Hind Bouhia, PDG de Global Nexus, (61e),
5-Miriem Bensalah-Chaqroun, PDG de la société « Les Eaux Minérales d’Oulmès » et administrateur de Holmarcom Group, (63e),
6-Saïda Lamrani, vice-présidente déléguée des Holdings Safari-Sofipar-Cofimar, (89e).

Notons que dans ce classement la femme d’affaires saoudienne Lubna Al Olayan, PDG de la « Olayan Financing Company », figure à la 86e position de ce top 100 de Forbes en 2014.

Le Maghreb arabe est représenté par sept femmes dans ce classement, dont la Tunisienne Jalila Mezni, PDG de la Société d’Articles Hygiénique (SAH) ainsi que les six Marocaines citées ci-dessus.

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