D’après le rapport du mois de mai, la violence sous sa forme impulsive et qui est une réaction irréfléchie, arrive en deuxième position pour représenter environ 22% de la violence totale observée.

Viennent ensuite la violence domestique, qui représente environ 20% de la violence observée.

Pareillement aux mois précédents, les violences sexuelles ont symbolisé les formes de violence les plus importantes observées avec 15% des incidents violents enregistrés en Mai 2020.

L’espace résidentiel a été celui qui a connu la partie la plus importante des violences observées au cours du mois de Mai 2020, suivi des espaces publics et les routes.

Les cas de violence survenus au mois de Mai 2020 sont répartis à parts égales entre la violence sous sa forme individuelle et la violence sous sa forme collective.

Le gouvernorat de Sousse se classe premier dans les cas de violence observés au cours du mois de Mai 2020 avec plus de 15% du nombre total de cas de violence enregistrés, suivi de Kairouan (près de 14% du nombre total de violences enregistrées) puis Kasserine et Monastir avec 8%, Tunis et Gafsa avec environ 7% et enfin Mahdia et Nabeul à hauteur de 6%.

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Les autres cas de violence ont été répartis entre les espaces commerciaux (4%) et les espaces de santé, notamment les hôpitaux (environ 2,5%), les transports en commun et l’espace virtuel (1,2%).

La cartographie de la violence n’a pas connu de changements significatifs pendant la période de confinement général, les gouvernorats de Tunis, Kairouan et Sousse ont enregistré le plus d’incidents de violence, suivis des gouvernorats de Siliana, Ben Arous et El Kef.

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Une journée de sensibilisation à la violence à l’encontre des Femmes et des filles en Tunisie, s’est tenue, samedi, au centre culturel d’El Menzah 6, à Tunis, avec la participation d’organismes internationaux, d’associations et d’institutions publiques actives dans le domaine des droits de l’homme et de la lutte contre la violence faites aux femmes.

Organisée à l’initiative de l’ONU Femmes en partenariat avec une vingtaine d’associations et organismes, cette journée portes- ouvertes destinée au public s’inscrit dans le cadre des 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes (25 novembre au 10 décembre 2015).

A ce propos, Emma Hassairi, membre du bureau directeur des associations tunisiennes des femmes démocrates (ATFD) a déclaré à l’agence TAP que cette manifestation a pour objectif de sensibiliser et d’informer un large public sur les activités et les actions des associations et organismes en matière de lutte, de prévention et de prise en charge des femmes victimes de violence.

Hassairi a, par ailleurs, souligné que cette journée de sensibilisation vise à mobiliser l’opinion publique en faveur de l’adoption d’une loi intégrale pour lutter contre la violence faites aux femmes avec la mise en place des mesures législatives nécessaires pour l’application de l’article 46 de la constitution tunisienne stipulant que l’Etat prend les mesures nécessaires pour éradiquer la violence contre la femme.

A cette occasion, les organisateurs proposent en plus des activités culturelles, un atelier de formation pour les journalistes sur le traitement des sujets relatifs à la violence faites aux femmes.

A ce sujet, Fathia Saidi, formatrice et sociologue a mentionné à l’agence TAP que la formation a pour objectif de mettre en valeur les pratiques journalistiques adéquates lors du traitement médiatique des sujets ayant trait à la violence faites aux femmes.

Saidi estime, à cet égard, que les médias tunisiens véhiculent des stéréotypes normalisant la violence faites aux femmes, ajoutant que le traitement médiatique des faits relatifs à la violence subie par les femmes reste non conforme aux normes nécessaires pour lutter contre ce phénomène sociétal.

A rappeler que selon une étude effectuée en 2010, par l’Office national de la famille et de la population (ONFP), 47,6% des femmes tunisiennes (18-64 ans) ont été victimes d’une des formes de violence, 65% des femmes victimes ne demandent pas assistance pour des raisons socioculturelles, 17,8% seulement portent plainte et 40% quittent le domicile familial en raison de violence.

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Le  restaurant  « Tableau n°5 » d’Islamabad au Pakistan a cru bon d’utiliser des propos sexistes dans sa stratégie de marketing afin d’attirer des clients, comme promouvoir des slogans misogynes du genre «les femmes doivent savoir faire des sandwiches»,  «Si elle ne vous fera pas un sandwich, nous le ferons», «derrière chaque homme qui a réussi, une femme qui fait des sandwichs pour lui»… Une stratégie de marketing fondée sur des «blagues» usées sur le travail de la femme, son rôle dans la société et le fait qu’elle soit complémentaire à l’homme (père, mari, fils).

Dans son menu, les clients ont le choix entre autres à des sandwiches nommés aux noms d’hommes célèbres impliqués dans des affaires de viol où de violence domestique, comme celui de Chris Brown, Bill Cosby, Mike Tyson…  Les responsables du marketing ont pris soin de faire des fautes d’orthographes dans la nomination des sandwiches pour éviter toutes responsabilités juridiques vis-à-vis de ces célébrités.

Les menus du restaurant ont été postés sur les réseaux sociaux et les internautes ont commencé à protester contre cette provocation et les suggestions implicites de violence à l’encontre des femmes.

Le mouvement de protestation en ligne a fait son effet : une promesse de changer le nom des sandwiches, parce que la stratégie de marketing a marqué son coup de publicité. «Qu’elle soit une bonne où une mauvaise publicité, l’important c’est que le monde parle du restaurant», telle est la première base du marketing.

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Après une nuit chargée de travail,  elle rentre chez elle le matin pour se reposer. N’ayant pas la force de répondre au coup de téléphone de son mari, ce dernier de retour chez lui se jeta sur elle et lui arracha le nez. L’épouse s’est fait hospitaliser à l’hôpital de Jinan où les médecins ont constaté que l’ensemble de son nez, y compris le tissu mou, avait disparu.

Ils ont tenté de récoler une partie du membre qu’elle a ramenée mais le reste son époux l’avait mangé.

Le mari de la femme est toujours en fuite et la police a lancé une enquête à sa recherche. Il parait que ce n’est pas le premier cas en son genre. C’est déjà arrivé en 2013 dans la province de l’Anhui.

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Au bout de 24 ans de vie commune et de violences domestiques, la maman prend la décision de quitter son mari Ali Zein en emportant avec elle ses enfants. Ce dernier avait un autre plan …
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L’Association Femme et Citoyenneté (AFC) lance une nouvelle campagne de sensibilisation contre les violences faites aux femmes dans le gouvernorat du Kef. Cette campagne est menée par 10 éducateurs et éducatrices formé-e-s par l’association. Son objectif  est d’encourager les femmes à dénoncer la violence et diffuser les services offerts par le Centre Manara pour les femmes survivantes de violences.

 Plus d’une vingtaine de séances de sensibilisation seront réalisées par les Éducateurs et Educatrices dans l’ensemble du gouvernorat avec l’appui de la Radio du Kef et différentes organisations: Taysir, Enda, l’Association Femme et Progrès, l’ONFP, etc.

Il convient de préciser que cette action se réalise dans le cadre du projet « Prévention de la violence fondée sur le genre et accompagnement des femmes victimes de violences dans le Nord-ouest Tunisien » financé par l’UE et mené depuis mars 2013 par l’AFC en partenariat avec la Fondation CIDEAL et l’ONFP.

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Une mère “sans âme” a scandaleusement tué son fils de 20 mois dans les toilettes d’un burger à Midtown lundi dernier.

D’après les témoignages, elle a même empêché les travailleurs du restaurant de secourir le garçon condamné tout en blâmant par la suite le diable, de ce crime, affirme une source policière au Dailynews.

La femme de 35 ans est de Lower East Side, Latisha Fisher, a emmené son enfant  Gavriel Ortiz-Fisher à  l’intérieur des toilettes. Une des clientes du burger avait vu la mère mettant sa main sur la bouche du garçon.

Pour calmer la cliente, Latisha Fisher lui a dit: «J’ai mis ma main sur sa bouche pour le faire dormir, c’est comme ça qu’il aime faire sa sieste».

À un certain moment, la mère s’est enfermée dans les toilettes. Les clients et les employés sont finalement devenus inquiets avec le temps.

Lorsque les travailleurs ont fait irruption à l’intérieur, l’enfant était inconscient. Le petit enfant Gavriel a été transporté à l’hôpital le plus proche où il est mort. La mère a été placée en détention pour meurtre.

“C’est dur, c’est vraiment incroyable. Je sais que ma fille aime son fils “, affirme la  grand-mère maternelle de l’enfant, Merial Fisher, 54 ans, “Je ne sais pas ce qui est arrivé. C’est tellement triste. “

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Dans cette série de photos réalisées par la photographe américaine Allaire Bartel dans le cadre du Programme Mentorinc en alliance avec les jeunes photographes, vous verrez une femme, représentée dans les situations de routine quotidiennes selon le concept de droit «des mâles»: attouchement, harcèlement, violence physique et autres.

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The «social-experience», un concept que nous avons découvert à travers les vidéos postées sur les différents réseaux sociaux. Qu’elle soit réalisée par des amateurs ou par des professionnels, elles ont toutes le même but : étudier les réactions des «sujets» (humains) dans un contexte bien déterminé afin de mieux comprendre la nature humaine, les mécanismes de la pensée et des différences culturelles.

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