Nous voyons de plus en plus d’enfants «gros» dans les cours d’école, mais souvent, papa et maman trouvent que ce n’est pas méchant, que ce n’est pas un signe de mauvaise santé, au contraire, le petit se nourrit bien, et tant mieux !

Attention danger!
Il faut tirer la sonnette d’alarme quand nous voyons nos enfants devenir plus ronds que la moyenne. Un enfant qui a tout le temps la bouche pleine,  n’est pas un enfant qui se nourrit bien. Non. C’est un enfant qui court de vrais risques pour sa santé, et ce, dès son jeune âge. L’obésité infantile fait son entrée en beauté  dans notre société, alors qu’on la croyait réservée à la société américaine, ou aux sociétés occidentales en général.

La mauvaise alimentation
La mauvaise alimentation est un des problèmes majeurs de la société actuelle. Plus nous consommons des aliments sucrés, ou gras, plus nous en redemandons… C’est ainsi que ça fonctionne et cette sensation de faim extrême après avoir mangé un premier croissant ou un pain chocolat s’appelle une hypoglycémie réactionnelle. C’est un cercle infernal duquel il faut sortir de toute urgence.

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Vous utilisez très probablement du papier Alu dans beaucoup de choses en cuisine, pour emballer le goûter des enfants, pour couvrir des plats à-la-va-vite, et même pour la cuisson en four ! On y met du poisson, quelques épices, on ferme bien…et c’est délicieux. En plus très bon pour la santé ! Pas si sûr…

De l’Alu partout…

L’Alu est un métal vraiment caractéristique de l’époque. C’est le deuxième métal à être utilisé après le fer. C’est dire son succès. Il est très malléable, s’adapte à toutes sortes d’utilisations, il est même utilisé en adjuvant dans certains vaccins, il est dans l’agroalimentaire (additif alimentaire), il est dans les cosmétiques : Lisez bien l’étiquette sur le déodorant que vous avez, il y aura peut-être de l’E 17… c’est du sel d’aluminium.  Il est surtout dans les emballages, regardez le pot de yaourt que vous donnez tous les jours à vos enfants, regardez l’intérieur des bouteilles ou des paquets de jus ou autres, etc.

Une substance neurotoxique…

Vous avez peut-être sursauté en lisant cela. Mais il en effet confirmé que cette substance est neurotoxique. Vous vous demandez maintenant pourquoi tellement de nos produits du quotidien sont-ils toujours en vente libre, en contenant cette substance ? Comment ça se fait que des autorités de santé ne s’y soient pas opposées, etc.

La réponse est simple. Tout ce qui se vend n’est pas forcément très bon, ou sans effets néfastes, sur la santé. La question est beaucoup plus complexe que cela, car en jeu, des lobbys très puissants, à commencer par celui de l’agroalimentaire…

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la recherche scientifique se veut indépendante, mais elle ne l’est pas toujours nécessairement. C’est un peu plus subtil… quand on a des informations qui peuvent porter atteinte à certains produits, certaines pratiques très répandues, on ne va pas les crier sur les toits !

Que faire ?

La seule règle qui vaille est celle de la responsabilité du consommateur. Vous êtes responsable de ce que vous achetez, de vos décisions, de ce que vous donnez à vos enfants, de ce que vous mettez dans votre assiette, etc. Renseignez-vous bien avant d’adopter des comportements de consommation, directement induits ou manipulés par l’effort marketing des industriels. Principe de prudence si non, ce qui peut semer le doute, il vaut mieux s’en éloigner, surtout quand il s’agit de vos enfants.

Personnellement, j’ai arrêté d’acheter du papier alu depuis longtemps, j’utilise des serviettes de coton pour emballer le goûter des enfants ! Et ce n’est pas plus compliqué…ça fait une petite machine de plus le dimanche. Rien de plus !

Sondes Khalifa

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Un matin comme tous les autres. On marche dans la rue, pour aller tranquillement à son travail. On conduit sa voiture, en s’ennuyant un peu de la routine et de la circulation interminable. Et hop, le miracle se produit. On ressent une chaleur intense, dans son cœur. Il bat la chamade, on n’y peut rien. C’est hors de contrôle…

Cet étranger qu’on voit pour la première fois serait-il le prince charmant ? La moitié de notre âme ?

De la chimie ?

C’est ce que nous dit la science. Le coup de foudre c’est une sorte de réactions en chaine. Des hormones qui s’affolent d’un seul coup, on ressent des choses très intenses. Simplement on ne peut pas encore dire pourquoi cela se produit…

Une des pistes avance qu’il s’agit de ‘prédispositions’. Nous avons par exemple, chacun de nous, un certain nombre de phéromones. Des substances chimiques que synthétisent les animaux, les humains aussi. Ces substances sont pratiquement imperceptibles par nous, par notre odorat, mais elles sont perceptibles par contre à un autre niveau. Ainsi, deux personnes ayant des ‘phéromones’ particulièrement proches ou compatibles, s’attireraient de façon systématique. Elles ne savent pas pourquoi, et elles ne sont même pas conscientes de ce processus.

Autres explications ?

Il existe par ailleurs des quantités d’explications. Des clés différentes en somme pour comprendre comment deux personnes, qui ne se sont jamais vues, sentent des « choses » aussi intenses d’un seul coup, avec souvent cette certitude que « c’est à côté de toi que je trouverai la paix ».

On dit par exemple, dans les plus grandes traditions spirituelles asiatiques, que chacun de nous est animé par une énergie vitale, ou un flux énergétique, le tchi… la terminologie varie selon les maîtres spirituels.  Cette énergie serait caractérisée par une certaine fréquence vibratoire. Et quand deux personnes pensent tomber amoureuses, c’est que leurs fréquences vibratoires sont très voisines ou très compatibles. Bien entendu dans ce cas aussi, on ressent des choses intenses, mai son ne sait pas -on n’est pas conscient- qu’il s’agit de « proximité énergétique » pour faire simple.

Une dernière explication, celle de la mythologie grecque : le coup de foudre serait la manifestation du désir originel de la fin de la dualité. L’union du mâle et de la femelle réaliserait la fin de cette dualité, la réalisation du tout et de l’unique, ou du divin, en d’autres termes. Divin, fondateur de tout ce qui est dans ce monde.

Bon, phéromones, ou fréquence vibratoires, peu importe à  la fin. Si vous avez le cœur qui bat très fort à la vue de cet étranger, foncez lui parler, n’attendez pas. C’est peut-être ce qui vous arrivera de plus beau, non pas dans la journée, mais dans votre vie.

Sondes Khalifa

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Un enfant qui n’arrive pas à écrire les mots correctement, qui s’arrête à chaque syllabe, qui a une lecture saccadée, etc. Est-ce toujours un enfant fainéant ? Est-ce qu’il faut juste le motiver un peu ? Il a peut-être un rythme plus long que celui de la grande sœur, ou celui du grand-frère? Ou alors y a-t-il autre chose derrière…

La dyslexie, qu’est-ce que c’est ?

Dyslexie est un mot composé qui vient de  «Dys»: trouble, et «lexie»: lecture. C’est donc un trouble de la lecture. Il faut savoir qu’on parle d’une maladie, qui peut trouver son origine dans des lésions cérébrales. Autrement, certaines parties du cerveau, sensées être à l’œuvre lors de l’activité cognitive ‘lecture’, ne sont pas activées. Lésions qui peuvent être héréditaires selon certaines recherches.

 Mais il n’y pas que cela, la cause peut se trouver également dans l’environnement de l’enfant, une classe surchargée, un désintérêt de l’école et de l’apprentissage de façon globale, et ce pour différentes raisons… Le social, le psychologique, tout s’imbrique. Et il faut faire un bilan de la situation globale de l’enfant et de son environnement, pour avoir une bonne lecture de la dyslexie en question.

La dyslexie va donner probablement lieu ensuite à une dysorthographie, c’est-à-dire difficultés d’assimilation des règles d’orthographe. Sinon, à terme, c’est l’échec scolaire pur et simple qui attend l’enfant. Car ces difficultés basiques -de lire, écrire, ou s’exprimer correctement-, si elles ne sont pas traitées à temps, vont le poursuivre durant son parcours scolaire, et lui rendre la tâche de plus en plus difficile. Et bien souvent celui-là baisse les bras. Il préfère sortir de la course. Cela devient effectivement pour lui une sorte de course. Il n’arrive pas à rattraper les autres, qui vont trop vite, selon lui.

  Le rôle du parent

Quel peut être le rôle du parent dans tout cela ? Surtout si la cause est organique (une lésion cérébrale)…Peut-on espérer que l’on en guérisse ?

 Tout à fait…

Il faut savoir que le cerveau est un organe on ne peut plus souple et évolutif. Il évolue selon les expériences qu’il entreprend. Et il renforce les ‘dispositifs’ lui permettant d’accomplir une tâche cognitive donnée, autant qu’il répète cette tâche. Le premier rôle du parent est donc d’être attentif à l’enfant. Quand les signes d’un retard de lecture sont là, il faut agir. Il ne faut pas laisser aller et laisser s’accumuler le retard, car cela rend les choses de plus en plus difficiles pour l’enfant…

Il faut consulter, et si le diagnostic confirme une dyslexie, alors le médecin vous orientera peut-être vers des méthodes ou des techniques pour aider votre enfant. Le plus important c’est de développer autour de lui une atmosphère détendue et rassurante. Faute de quoi, la dyslexie s’aggrave. La confiance en soi est un déterminant majeur du succès de tels processus. Si la classe est (et reste) surchargée, il est pratiquement vain d’espérer une quelconque amélioration… Si la maîtresse ignore l’enfant, ne s’adapte pas à son rythme, ou pire… si ses camarades se moquent de lui, le processus peut être carrément bloqué. L’affectif et l’émotionnel généralement ont un rôle primordial dans le développement des différentes capacités cognitives.

Consacrez entre 15 et 30 mn par jour à votre enfant, essayez de lui apprendre des mots simples, à l’écrit comme à l’oral, essayez de composer des phrases avec lui, sur un ton ludique toujours, avec des livres colorés et des images attirantes. Ne surtout pas le gronder. Ne surtout pas hausser le ton et s’énerver… Rappelez-vous, c’est en grande partie, une question de confiance et d’affect.

Sondes Khalifa

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Des milliers de recettes de régimes circulent à travers le monde. Internet est capable, à lui seul, de vous donner tellement de pistes… Mais souvent, rien ne marche ou presque. Pour la majorité des personnes, c’est une question de cycles. On fait des efforts et on se prive à un certain moment, à l’approche de l’été le plus souvent. Ensuite vient un autre cycle où on se lâche, l’hiver en général, et ainsi de suite. D’où les très disgracieuses vergetures…

Alimentation consciente

C’est le nom, non pas d’une nouvelle méthode de régime, mais d’une nouvelle philosophie. A vrai dire, elle n’est pas si nouvelle que cela, mais elle revient au devant de la scène simplement. Depuis l’antiquité, ‘penser’ à ce qu’on fait est un rite presque sacré. Surtout dans les sociétés très imprégnées par le religieux ou le spirituel en général. En Inde par exemple, il persiste cette habitude de « tout penser »… Il s’agit de penser simplement à ce qu’on fait. Quand on donne le bain à son bébé par exemple, on pense très fort aux différents gestes, on suit une logique et un processus presque sacrés. On parle à son enfant, et on est concentrée sur cela, on n’a pas la tête ailleurs.

Et bien c’est la même philosophie qui est à l’œuvre dans l’alimentation consciente. Penser très fort, et se concentrer sur ce que l’on mange. Ne pas avoir la tête ailleurs. Ne surtout pas manger devant la télé, ou you tube. Ne pas manger vite, bien mastiquer. Penser aux différents composants de ce qui existe dans l’assiette, les glucides, les protéines, les vitamines, etc. Penser à la manière dont ils vont se diffuser dans l’organisme, irriguer le sang et les cellules. Penser donc à la quantité de beurre, ou de sucre, qui est dans l’assiette, visualiser la manière dont cette graisse va se déposer dans les artères, causer à terme du cholestérol, etc.

Explications…

Tout cela permettrait de mieux harmoniser le fonctionnement de notre métabolisme. Et nous serions plus à l’écoute de notre estomac, de notre corps, de ses besoins réels, et de ses envies réelles. Quand on mange lentement, quand on pense à tout le processus qui est à l’œuvre, on n’aura pas besoin peut-être de terminer le fondant au chocolat qu’on a commandé. Parce qu’on ‘sent’ que ça y est, on n’a plus envie. J’utilise en effet le concept ‘sentir’ et non pas ‘comprendre’, car c’est bien là le cœur de cette philosophie. Cela passe par le ressenti, non pas par le mental.

On n’est plus alors dans ces comportements compulsifs, où la nourriture sert plusieurs autres besoins. Combler l’angoisse et le stress en premier lieu.

Avec la philosophie de l’alimentation consciente, la nourriture reprend son rôle principal, nous nourrir, nous donner l’énergie, avec le plaisir de la table.

Essayez, vous verrez les résultats aussitôt.

Sondes Khalifa

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En effet, elle peut dormir moins, beaucoup moins quand les enfants sont trop jeunes, et assumer le même nombre de tâches, si non plus. Travailler, ranger, cuisiner, faire les courses… Elle devient alors poly-tâches. C’est obligé ! Elle est capable de faire plusieurs choses à la fois, et ce n’est pas une mince affaire.

Elle peut faire la cuisine, écouter les infos à la télé (faute de quoi elle sera en dehors de son temps)… Résoudre les éternels conflits entre la grande et le petit, faire attention à ne pas glisser sur la peau de banane qui est par terre, et faire le travail de l’éducation nécessaire : c’est-à-dire de ramener celui qui a laissé la peau de banane à l’endroit même «des faits», lui dire très calmement « qu’est-ce que c’est ça mon cœur? », lui qui continue de sauter en disant «Laisse-moi maman ! Je veux voir la télé ! »…Répéter sa question, dans le calme, et sans affect, surtout pas déverser sa colère sur son fils …! « Qu’est-ce que c’est ça mon cœur, tu as laissé la peau de banane par terre, on n’avait pas dit de mettre les peaux dans la poubelle ? » « Ah mais je peux pas maman, je regarde la télé tu vois bien, fais-le toi bon sang ! Et puis je sais pas où elle est la poubelle… ! »

Et ainsi de suite jusqu’à ce que les nerfs de cette femme soient grillés, et qu’elle laisse sortir sa colère, en criant « Merde alors ! Nettoyez-moi tout ça ou je vous mets deux bonnes claques ! Vous croyez que je suis faite en acier ou quoi !? »

Décidemment, les conseils des pédo psy et des nounous de la télé ne marchent qu’à la télé… ou dans les livres. La théorie reste théorique, et le terrain est d’une autre complexité.

Essayez de limiter le nombre de choses que vous faites à un moment donné. Ancrez-vous dans le présent. Même si vous pensez qu’il y a tellement de tâches à accomplir… pensez bien que ce n’est pas en voulant tout faire d’un seul coup et le plus rapidement possible, que vous y arriverez. Non, vous serez au contraire très fatiguée, et vidée de votre énergie. Pour garder son énergie vitale à son summum, il ne faut pas être poly-tâches !

Sondes Khalifa

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