
Ce projet de texte ne contient aucune notion d’égalité puisque la femme n’est pas considérée comme un individu complet et à part entière mais comme un simple complément. La réciproque, par contre, n’est pas vraie et c’est là où le bât blesse.
D’après le groupe de travail onusien, « les droits sont garantis aux femmes non par le fait qu’elles soient des êtres humains, mais plutôt sur la base qu’elles sont complémentaires aux hommes ».
Le gouvernement tunisien a accepté une autre visite du groupe d’experts sur la discrimination à l’égard des femmes en novembre prochain. Ce groupe est composé de Kamala Chandrakirana (Indonésie), Emna Aouij (Tunisie), Mercedes Barquet (Mexico), Frances Raday (Israël/Royaume-Uni) et Eleonora Zielinska (Pologne).
SBF