Voici le témoignage
Leyla Kébir :
« Ce matin à l’ aéroport de Tunis Carthage une douanière a demandé a ma fille âgée de 19ans une autorisation du père, elle lui dit c un kanoun « une loi », à ce moment j interviens pour lui demande une copie du kanoun, elle répond que son patron lui met la pression et comptabilise les autorisations et le kanoun n’existe pas donc finalité c mafieux qui nous gouvernent qui soit disant pour des raisons de sécurité et pour arrêter le départ des filles vers le djihad de la prostitution »
autant résoudre le problème a la source »veulent faire passer et appliquer une loi qui n existe pas, il faut bouger pour dénoncer avant que ça ne soit tard. »