L’association hispano-tunisienne “JISER Réflexions méditerranéennes” vient de lancer un appel à candidatures pour la sélection d’un artiste tunisien afin de participer à la “Résidence de Création 2012-2013” entre Tunis et Barcelone. La date limite de soumission des projets a été fixée pour le samedi 15 Septembre 2012.

Il s’agit de la deuxième édition de la “Résidence de Création” qui permettra à un jeune artiste tunisien de développer un projet artistique à Barcelone pendant deux mois, à partir du 1er novembre, et d’exposer son travail dans le Centre “Civic Fort Pienc” à Barcelone, du 16 janvier au 16 février 2013.

D’une durée de trois mois, cette résidence est adressée aux jeunes artistes visuels tunisiens travaillant dans le domaine de l’art contemporain. Tous les médiums seront acceptés. Les artistes candidats doivent travailler dans le domaine de l’art depuis au moins trois ans. Les résidences JISER sont des résidences de recherche et d’expérimentation plastiques s’adressant aux artistes tunisiens professionnels émergents ou confirmés. L’association JISER vise à travers ces activités à soutenir la jeune création en devenir et à présenter un large panel des expérimentations artistiques des deux cultures espagnole et tunisienne.

Ce projet consiste à proposer à l’artiste lauréat un espace de création pour développer un travail en relation directe avec les espaces d’expositions du lieu, dans un temps déterminé.
Le jury sera composé par des membres de l’association JISER à Barcelone et à Tunis, ainsi que par deux professionnels du secteur qui sélectionneront l’artiste lauréat sur la base de la qualité de son travail et son potentiel à bénéficier au maximum de la résidence.

Pour rappel, la première édition de ces résidences 2010-2011 a retenu la candidature de l’artiste tunisien Mohamed Ben Soltane. Diplômé de l’institut supérieur des Beaux Arts de Tunis, cet artiste a remporté en 2006 le premier prix au concours pour jeunes artistes ATB Challenge et en 2010, le deuxième prix dans les ateliers du centre des arts vivants de Rades.

source: TAP


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