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]]>“Plusieurs parents ont déposé une plainte devant le procureur de la République près le Tribunal de première instance de l’Ariana qui les a déférés devant la police judiciaire pour être entendus”, a-t-il indiqué, soulignant que les parents “tiennent aux poursuites judiciaires”.
Le ministère public avait ordonné ce lundi l’ouverture d’une enquête judiciaire au sujet de la séquence vidéo relayée sur les réseaux sociaux et “représentant des scènes d’agression et de mauvais traitements infligés par une femme sur un ou plusieurs enfants dans un établissement situé à el-Menzah 7”, indiquait plus tôt dans la journée un communiqué du ministère de la Justice.
La brigade de la police judiciaire de l’Ariana a été chargée de mener l’enquête et de convoquer la directrice de l’établissement et les autres parties concernées.
La séquence vidéo, partagée samedi en masse sur les réseaux sociaux et suscitant une indignation générale, montre des enfants autistes subissant des violences physiques choquantes de la part des éducatrices d’un centre spécialisé du gouvernorat de l’Ariana.
La Présidence du gouvernement va demander une ordonnance judiciaire du juge de la famille pour placer tous les enfants du centre pour enfants autistes de l’Ariana sous le contrôle médical et psychologique de spécialistes relevant des ministères des Affaires Sociales et de l’Education “en vertu des dispositions l’article 59 ter du Code de protection de l’Enfance”, indique-t-elle pour sa part dans un communiqué publié lundi après-midi.
Il a également été décidé, a-t-elle ajouté, de placer ce centre sous le contrôle pédagogique du ministère des Affaire Sociales jusqu’à la fin de l’enquête judiciaire en cours.
Le délégué régional à la protection de l’enfance Mehiar Hammadi avait déclaré dimanche soir à l’agence TAP que “ce centre sera fermé par l’autorité de tutelle si ces crimes sont vérifiés”.
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]]>The post Un mois à deux ans de prison pour une mini-jupe au Maroc, le procès qui révolte! first appeared on Baya.tn.
]]>L’affaire de la jupe en Algérie: le ministre s’excuse (vidéo)
Les deux jeunes femmes, coiffeuses de profession, ont été appréhendées mi-juin sur un marché alors qu’elles se promenaient en robe. La police était intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ».Leur arrestation a suscité une vague d’indignation dans le royaume.
Plus courte sera la jupe, moins chère sera la facture
Ces deux Marocaines, risquent de un mois à deux ans de prison, selon l’article 483 du code pénal. Le verdict « sera prononcé le 13 juillet », a déclaré la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli.
L’affaire de la jupe courte tourne à la dérision
Selon cette dernière, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exigüité de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Le procès est en outre suivi par des dizaines de militants et associations des droits de l’Homme”.
hier soir Tanger
Posted by Zohra Benelfaquih on mardi 7 juillet 2015
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]]>The post Discrimination à l’embauche à cause de son hijab: Elle obtient justice devant la Haute-Cour des Etats-Unis first appeared on Baya.tn.
]]>La Cour suprême a examiné une plainte de discrimination en matière d’emploi d’une femme musulmane qui a été rejetée car elle portait un foulard noir. L’éventuel employeur n’est autre que l’enseigne vestimentaire de prêt-à-porter Abercrombie & Fitch (A&F).
Les faits remontent à 2008, quand Samantha Elauf, une jeune musulmane américaine de 17 ans, a postulé pour le poste de “personnel de vente” dans un magasin Abercrombie Kids au un centre commercial de Tulsa, Oklahoma.
Ayant impressionné le directeur adjoint du magasin pendant son entretien, celui-ci restait hésitant vis-à-vis de son foulard ou hijab qui entrait en conflit avec la politique et le code vestimentaire de l’entreprise qui dérivait du style collégial côte Est ou le style «preppy».
Du coup, la Commission fédérale Equal Employment Opportunity a déposé plainte au nom d’Elauf, et un jury lui a finalement octroyé 20.000 dollars comme dédommagement.
Mais la cour d’appel fédérale à Denver a rejeté la sentence et a conclu que Abercrombie & Fitch ne pouvait pas être tenu pour responsable parce que Elauf n’a jamais demandé à la société d’assouplir sa politique de lutte contre le foulard.
Abercrombie & Fitch a depuis changé sa politique sur le voile et a réglé les poursuites semblables ailleurs, mais il a continué à combattre la demande de Elauf à la Cour suprême.
Un comité de soutien à la jeune femme s’est organisé, il englobe différentes organisations gouvernementales locales musulmanes, chrétiennes, des organisations de défense juives et des groupes des droits des homosexuels.
Comme réponse à la Cour d’appel fédéral de Denver, le comité des Juifs orthodoxes représenté par l’avocat Nathan Lewin soutient dans sa déposition devant la Cour suprême qu’exiger aux demandeurs d’emploi un traitement spécial lié à la religion les rend moins susceptibles d’être embauchés, sans raison donnée pour la décision.
Les juifs orthodoxes qui portent une calotte ou kippa, ou qui ne peuvent pas travailler le samedi sont systématiquement avisés de retenir ces informations au cours de l’entretien d’embauche et ne les dévoilent qu’une fois ils sont embauchés.
Au final, la Haute-Cour a jugé que la discrimination religieuse à l’embauche n’était pas tolérable, même quand le postulant ne fait pas explicitement une demande d’aménagement du règlement et a tranché en faveur d’une jeune musulmane.
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]]>The post Tunisie – Justice: Migalo et Moez Ben Gharbia placés en détention first appeared on Baya.tn.
]]>De ce fait, un mandat d’arrêt a été émis à l’encontre de Moez Ben Gharbia et Migalo, qui seront emprisonnés jusqu’au jour de leur procès prévu pour le 25 mars 2015.
Plus de détails concernant cette déclaration sur le site « Al Masdar ».
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]]>The post Le coup de gueule de Hind Meddeb, elle quitte la Tunisie et échappe à la justice first appeared on Baya.tn.
]]>Voici la lettre en question
“Pourquoi j’ai décidé de ne pas assister à l’audience du lundi 17 juin
Ce lundi 17 juin, je ne me suis pas présentée à ma convocation devant la police judiciaire à Tunis.
Hier, j’ai quitté mon pays, car je n’ai plus confiance dans la Tunisie d’aujourd’hui où pour une chanson, on condamne un rappeur à deux ans de prison ferme et on relâche ceux qui ont attaqué l’ambassade des Etats-Unis au mois de septembre dernier.
Quelques minutes avant de se présenter devant le tribunal, dans une interview tv qu’il donnait au journaliste tunisien Karim Kouki, le rappeur Weld el 15 expliquait : « Si je me présente devant le tribunal aujourd’hui, c’est parce que je veux savoir si nous vivons dans un pays qui a fait sa révolution ou si nous sommes en train de revenir à la dictature. C’est un test pour le droit, pour la justice de mon pays. Mon jugement nous dira où nous en sommes en Tunisie. » (voici le lien pour voir le reportage de 45 minutes réalisé par Karim Kouki https://www.youtube.com/watch?v=a2LBQmK81OY).
Le verdict est tombé. Il était injuste mais je ne l’avais pas encore compris. Les magistrats sont sortis de la salle. Je n’ai pas entendu le verdict, le juge avait parlé à voix basse, j’ai donc demandé autour de moi. Lorsque plusieurs personnes m’ont répété «deux ans ferme», j’ai été sous le choc. J’ai alors exprimé avec d’autres mon indignation. Nous avons aussitôt été violemment bousculés par les policiers très nombreux dans la salle d’audience. Ils m’ont saisie par le bras et m’ont poussée violemment vers la sortie. C’est là que j’ai manifesté ma colère en disant: «Maintenant je comprends mieux le sens de la chanson pour laquelle Weld el 15 vient d’être condamné». J’ai appris par la suite qu’après mon arrestation, les policiers ont lancé du gaz et ont frappé sans discernement, n’épargnant personne, pas même les journalistes.
Les policiers qui m’ont empoignée m’ont hurlé: «Puisque tu soutiens le rappeur Weld el 15, tu vas le rejoindre en prison». Ils m’ont descendue dans une cellule qui jouxtait celle dans laquelle ils ont enfermé mon ami Alaa Eddine Yaacoubi, alias Weld el 15; il a été surpris et paniqué en me voyant fermement prise de chaque côté par deux policiers. Après avoir retrouvé mon calme, j’ai demandé aux policiers d’accepter mes excuses. Je leur ai dit que j’étais journaliste et que je n’aurais pas dû protester dans la salle d’audience mais que comme le rappeur Weld el 15 est un ami, j’avais été emportée par l’émotion. Ils n’ont pas accepté mes excuses. Ils m’ont dit que j’allais rester deux ans en prison avec mon ami Alaa car ma réaction dans la salle d’audience équivalait à un outrage non seulement à agent mais aussi à magistrat, ce qui est passible de deux ans de prison ferme. Ils ont ajouté que je serai confrontée au même juge qui se vengerait en me condamnant (pourtant je n’ai pas protesté devant le juge, il était déjà sorti au moment des faits). «Ce n’est pas parce que tu es journaliste ou française qu’on ne va pas te condamner ! Tu vas payer ton soutien à Weld el 15 ! Ce soir tu dormiras en prison!»
J’étais terrorisée. J’essayais de les raisonner, mais ils refusaient de m’écouter ou de me parler. Par la suite, on m’a laissée pendant trois heures dans une cellule sans me donner aucune information.
J’entendais d’autres personnes interpellées arriver, les policiers les ont frappés, j’entendais les coups et les cris.
Brusquement les policiers ont changé de ton, ils m’ont dit : « Vous allez être libérée, nous vous emmenons au commissariat pour le procès verbal. »
J’ai été emmenée avec les 6 autres personnes arrêtées au commissariat en fourgonnette. Parmi les personnes arrêtées, il y avait des amis : le rappeur Mr Moustafa, le rappeur Aymen et Mohammed, un ancien rappeur devenu graphic designer. Quand ils ont vu que je connaissais Aymen et Moustafa, ils nous ont séparés.
Au commissariat, ils m’ont mise dans un bureau à l’écart pour me faire entendre du commissaire. Au moment de la déposition et du procès verbal, ils m’ont de nouveau isolée des autres prévenus. J’ai d’abord refusé de signer le procès verbal car je ne pouvais pas le lire, il était écrit en arabe classique et je ne parle que le dialectal, je ne lis pas l’arabe. Je leur ai dit : je ne peux pas signer un document que je ne comprends pas. Laissez-moi téléphoner à un avocat ou à quelqu’un de ma famille qui viendra me le traduire. Ils me l’ont lu en l’adaptant au dialectal. De ce que j’ai pu comprendre, j’ai contesté plusieurs points, ils ont refusé de les modifier. Pendant une heure, ils m’ont soumise à une pression insoutenable et me répétaient : «Si tu ne signes pas, tu ne sortiras pas, on te remettra en cellule».
En désespoir de cause, j’ai signé un procès verbal dont j’ignorais l’essentiel ; et en plus, ils ont refusé de m’en livrer copie. La seule chose que le commissaire m’a donnée, c’est une convocation à me présenter devant la police lundi 17 juin à 8h30 pour ensuite être conduite en fourgonnette devant le procureur.
J’ai été arrêté à 14h30 et il était 19h lorsque je me suis retrouvée de nouveau libre. L’avocat de Weld el 15, Ghazi Mrabet, mes amis les blogueurs Azyz Amami et Lina Ben Mhenni ainsi que le rappeur Abdesslem Naouali alias Phenix sont venus me chercher quelques minutes après ma sortie.
Vendredi, j’ai demandé à Maître Ghazi Mrabet l’avocat de Weld el 15 s’il acceptait de prendre ma défense à l’audience du lundi 17 juin. Nous avons décidé que nous aurions une défense commune avec les 6 autres personnes interpellées.
Etant donné les vices de procédure et l’absence d’information sur les chefs d’inculpation qui étaient retenus contre moi, vu les dernières décisions de la justice tunisienne, indulgente avec les salafistes, féroce avec les artistes, incarcérant un rappeur pour une chanson, laissant courir ceux qui saccagent les ambassades ou qui appellent au meurtre allant jusqu’à tuer les opposants (Chokri Belaïd), j’ai décidé de ne pas me présenter à l’audience du 17 juin et de continuer à partir de Paris ma lutte pour les libertés, toutes les libertés, de la liberté d’expression à la liberté de conscience. C’est le combat nécessaire pour que nous ne retournions pas à la dictature. A la sortie du tribunal, Maître Kouthayr Bouallegue, (l’un des avocats qui a défendu Weld el 15, le dernier a avoir plaidé) a déclaré à la presse : «Ce verdict est scandaleux, aujourd’hui nous mettons le premier pas dans la dictature».
C’est pour la liberté d’expression et en réaction aux abus de la répression policière, que les Tunisiens se sont révoltés et renversé le régime de Ben Ali. Mais deux ans après la révolution, la police n’a toujours pas été réformée, elle est encore un instrument de répression politique et non une police destinée à assurer la sécurité dans la cité.
Les rappeurs tunisiens ont participé à la révolution avec leurs chansons, ils ont en son temps dénoncé le régime de Ben Ali. Au lieu de les jeter en prison, les nouveaux gouvernants devraient leur être reconnaissants.
La Tunisie a encore aujourd’hui l’opportunités de montrer au monde qu’elle peut être gouvernée selon les principes fondateurs de la révolution qui a eu un effet considérable sur l’ensemble des peuples arabes. Notre pays est en mesure d’être le promoteur des droits de l’Homme et du citoyen dans toute l’aire culturelle à laquelle il appartient. Pour réaliser un tel dessein, il doit être celui-là même qui respecte les libertés, et non celui qui les bafoue.
Pour toutes ces raisons, j’adresse cette supplique à la justice tunisienne : «Rendez à la liberté le rappeur Weld el 15».
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]]>The post Le procès des trois Femen européennes reporté ! first appeared on Baya.tn.
]]>Radio Mosaique FM rapporte que le juge a décidé de reporter le procès à une date ultérieure.
Par ailleurs, le juge devrait annoncer un peu plus tard dans la journée la date du procès et sa décision quant à leur remise en liberté.
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]]>The post Amina soutenue à Alger ! first appeared on Baya.tn.
]]>Rappelons que cette jeune militante en détention comparaîtra devant les juges à Kairouan pour profanation de sépulture. Pour cela, elle risque deux à cinq ans d’emprisonnement.
Amina, qui avait fait la une en Tunisie pour avoir pris la pause, seins nus, dénonçant la morale islamiste rétrograde qui s’installe dans son pays et revendiquant l’émancipation de la femme et de son corps, a été interpellée dimanche 19 mai à Kairouan, au centre de la Tunisie, après avoir tagué le mot «Femen» sur le muret entourant le cimetière mitoyen de la grande mosquée Okba. Une action coup de poing qui lui vaut un procès pour profanation de cimetière.
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]]>The post Examen en cassation de l’affaire de Sami Fehri le 13 novembre first appeared on Baya.tn.
]]>L’audience pour examen du recours déposé par la défense du producteur et directeur de la chaîne de télévision « Ettounissia » Sami Fehri a été fixée au 13 novembre. Selon l’avocat de l’accusé, Me Abdelaziz Essid, ce recours conteste la décision de la chambre criminelle de la cour d’appel émise, le 24 août dernier, de déférer l’accusé devant le tribunal criminel et d’émettre un mandat de dépôt à son encontre. «Si le recours en cassation est approuvé, son client sera relâché», a lancé Me Abdelaziz Essid. Nous rappelons que Sami Fehri est détenu depuis deux mois, accusé “d’usage illicite des ressources de la télévision tunisienne”.
Source: Direct Info
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]]>The post Nouvelle plainte contre Nessma TV first appeared on Baya.tn.
]]>Les courts métrages en question:
– “Ordure” de Lotfi Achour
– “Casting pour un mariage” de Fares Nanaa
– “Perversions” de Wissem Tlili
Producteur: Ibrahim Letaief
SBF
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]]>The post Le procès de Habib Kasdoghli reporté first appeared on Baya.tn.
]]>Le procès de Habib Kasdoghli, doyen de la Faculté des lettres, des arts et des humanités de la Manouba qui devait avoir lieu aujourd’hui, 25 octobre 2012, a été reporté au 15 novembre prochain. Rappelons que Habib Kasdoghli a été accusé par des étudiantes portant le niqab d’actes de violence.
SBF
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