societe_portrait-de-la-semaine-raoudha-belhaj-la-femme-a-larmure-de-dentelle2

Baya: L’avez-vous fait?

Raoudah: En fait, non. Le Festival de la Mode a bouleversé mes plans, dans le bon sens bien sûr. Là j’ai d’autres préoccupations, je dois préparer une nouvelle collection pour la Fashion Week à Milan. Je dois aussi suivre une formation avancée à Paris, pour perfectionner mon savoir et mon savoir-faire… Il y a plus d’un programme.

Baya: Revenons à votre participation au Festival de la mode. Comment s’est-elle faite?

Raoudah : (Sourire). J’ai entendu parler de l’événement par hasard sur le net. J’ai postulé tout en gardant en secret le type de mes créations. Je n’ai pas voulu le dévoiler pour ne pas être exclue et afin de maximiser mes chances. Ce n’est qu’à la fin du casting et suite à l’acceptation de mon dossier de candidature que j’ai informé la directrice de l’événement.

La confession était dure à accepter au départ, pour la simple raison qu’elle n’était pas préparée à ça! Nous avons trouvé un terrain d’entente qui était de faire défiler les mannequins avec des tenues peu légères! C’est pour cette raison que vous aurez du mal à voir les lingeries lors du défilé. Elles n’étaient pas à leur «état brut», si on peut dire ça.

Baya: Pouvez-vous nous donner une idée sur les prix?

Raoudah: Tout d’abord, vous devez savoir que tous les matériaux utilisés, le tissu, accessoires… sont importés de l’étranger, puisqu’en Tunisie le marché est restreint. Les prix sont raisonnables, et c’est à partir de 20 dinars la pièce, les deux sont à partir de 55 dinars.

M.S


1 COMMENTAIRE

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here