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La 17ème édition du congrès mondial de la fécondation in vitro se tient dans la banlieue nord de Tunis du 4 au 7 septembre sur le thème “Les techniques de l’assistance médicale à la procréation au 21ème siècle”, avec la participation 1500 scientifiques de différentes régions du monde.

La Tunisie a introduit la fécondation in vitro en 1988. Le congrès a pour objectifs “d’offrir un forum pour l’échange et la discussion de nouvelles idées scientifiques et médicales afin de promouvoir la recherche, améliorer la pratique médicale et jeter les bases de la nouvelle médecine du 21ème siècle”, écrit dans un communiqué Dr Khaled Mahmoud, président du congrès et de la société tunisienne de gynécologie obstétrique (STGO).

“Le taux de croissance annuel de la population en Tunisie, estimé à 1,08%, nous interpelle et commande qu’on accorde aux problèmes de la stérilité des couples l’attention requise et de leur apporter les solutions idoines dans le strict respect de l’éthique médicale”, a estimé Abdellatif Mekki, ministre de la santé, à l’ouverture du congrès.

Actuellement, la Tunisie compte deux centres publics à Tunis et à Sousse et 7 centres privés. Deux nouveaux centres publics ouvriront prochainement leurs portes à Monastir et à Sfax.

M. Mekki a aussi souligné l’importance de consacrer l’un des ateliers du congrès à la question de la préservation de la fertilité chez la femme atteinte de pathologies cancéreuses. “Un défi qui occupe une place prioritaire dans les programmes du ministère de prise en charge de la santé périnatale”, a-t-il assuré.

Au programme de cette rencontre, des cours, des ateliers et des conférences portant sur les analyses basiques recommandées pour l’exploration de l’infertilité, les anomalies génétiques en reproduction et l’évaluation invasive et non invasive des embryons.

sie a été choisie en 2009, est organisé par la société internationale de fécondation in vitro et la société tunisienne de gynécologie obstétrique.  La tenue de ces assises scientifiques coïncide avec le 35ème anniversaire de la naissance du premier bébé in vitro dans le monde. La Tunisie a introduit la fécondation in vitro en 1988. Le congrès a pour objectifs “d’offrir un forum pour l’échange et la discussion de nouvelles idées scientifiques et médicales afin de promouvoir la recherche, améliorer la pratique médicale et jeter les bases de la nouvelle médecine du 21ème siècle”, écrit dans un communiqué Dr Khaled Mahmoud, président du congrès et de la société tunisienne de gynécologie obstétrique (STGO).

“Le taux de croissance annuel de la population en Tunisie, estimé à 1,08%, nous interpelle et commande qu’on accorde aux problèmes de la stérilité des couples l’attention requise et de leur apporter les solutions idoines dans le strict respect de l’éthique médicale”, a estimé Abdellatif Mekki, ministre de la santé, à l’ouverture du congrès.

Actuellement, la Tunisie compte deux centres publics à Tunis et à Sousse et 7 centres privés. Deux nouveaux centres publics ouvriront prochainement leurs portes à Monastir et à Sfax.

M. Mekki a aussi souligné l’importance de consacrer l’un des ateliers du congrès à la question de la préservation de la fertilité chez la femme atteinte de pathologies cancéreuses. “Un défi qui occupe une place prioritaire dans les programmes du ministère de prise en charge de la santé périnatale”, a-t-il assuré.

Au programme de cette rencontre, des cours, des ateliers et des conférences portant sur les analyses basiques recommandées pour l’exploration de l’infertilité, les anomalies génétiques en reproduction et l’évaluation invasive et non invasive des embryons.


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