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Adultère, la Chine innove dans la sanction

(AVERTISSEMENT: Cet article contient des images que certains peuvent trouver pénibles)

Entre la lapidation à mort dans l’Etat islamique, ou les coups de fouets en Arabie Saoudite, la Chine « arrache » sa place sous le soleil de la torture à l’égard de la femme.

Il est vrai qu’il existe une petite distinction:  ce n’est pas une sanction législative comme le cas des pays précédemment cités. En cas d’adultère, la maîtresse est frappée à coup de poing, de pieds par l’épouse ainsi que ces amis.

Le calvaire ne s’arrête pas là, l’équipe des faux justiciers a pour habitude de déshabiller la « responsable » de l’adultère en pleine rue sous le regard des passants et des commerçants tout en la frappant sur la poitrine et les parties génitales.

Il paraît que ni les passants, ni la police n’intervient pour arrêter le massacre. Seule face à l’humiliation, la torture et les douleurs, la maîtresse fait fasse. Elle ne peut rien faire à part crier, pleurer et prier que les moments relatifs à sa sanction soient courts et passent vite.
C’est le cas de Lin Yai, 38 ans, qui a été prise en embuscade en rentrant chez elle à Puyang, par quatre femmes, dont la femme de son amant. Elle a été violemment battue, complètement déshabillée sur une rue commerçante animée.

Personne n’est intervenue pour aider la jeune femme, d’après les passants c’est « une histoire de cœur » et qu’elle ne méritait pas d’aide parce qu’elle couchait avec un homme marier.

Lin Yai a été ensuite transportée à l’hôpital pour se faire soigner.

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