En marge de la 56ème session de la Commission de la Condition de la Femme, à New york (27 février-9 mars 2012), l’accent a été mis sur l’urgence de l’adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies d’une résolution sur l’interdiction mondiale des mutilations génitales féminines en tant que violation grave et flagrante des droits humains.« cette pratique, touchant notamment l’intégrité physique et psychique des femmes et des filles, ne peut en aucun cas être acceptée et doit être condamnée et totalement interdite », a affirmé, à cette occasion, Mme Sihem Badi, Ministre des Affaires de la Femme et de la Famille.

La ministre a indiqué que cette pratique est inexistante en Tunisie et, totalement, rejetée par le peuple tunisien.


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