“Je crois que j’ai un problème avec la nourriture, soit je mange beaucoup, soit je ne mange plus rien…”

Pour le Dr Mohamed El Mechat, psychiatre, nous mangeons comme nous vivons. Un rythme de vie stressant, des difficultés professionnelles ou affectives peuvent induire chez certain(e)s un rapport malsain à la nourriture. Manger devient alors un refuge. Le stress doit être évacué par d’autres moyens (le sport par exemple). S’il est encaissé, accumulé de jour en jour, on risque très vite de prendre de mauvaises habitudes culinaires.

Les envies ne sont pas éternelles et dépendent des émotions. Les repas se dégustent et s’apprécient,  mais encore faut-il avoir le cœur aux plaisirs. Donc c’est généralement une question de moments qui passent. Mais si les envies et les refus deviennent incontrôlables, il faut alors se faire aider par son médecin de famille.

 


1 COMMENTAIRE

  1. C’est ce passage entre les extrêmes qui nuit à notre équilibre. La gestion de la nourriture est aussi une question de maitrise de soi comme vous le dites, et en Tunisie on parle souvent de “tenir la règle” ce qui prouve que cela dépend en fait de nous. Or, trop souvent à l’instar de certains européens qui misent sur une liposuccion par exemple pour perdre du poids sans effort, nous remettons à plus tard la mise en place des bonnes pratiques comme l’exercice ou la décision de manger plus sainement en variant les aliments.

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